10. Cordes et tissus

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(Attention, ce chapitre peu toucher la sensibilité de certain lecteur. Je vous rappel que je suis responsable de ce que j'écris et non de ce que vous lisez. Mes personnage ne sont ni des saint, ni des gentil...)

Leïla

Je ne comprend pas ce qu'il ce passe, je sortais mes poubelles et d'un coup il fesait noir, je ne voyais plus rien. J'ai senti que quelqu'un me portait, après je crois que je suis monté dans une voiture, enfin c'est ce que j'ai senti, puis ce que je suppose. Maintenant je suis dans une pièce plutôt petite, qui sent le renfermé et l'humidité, il fait très sombre, en regardant autour de moi je ne vois rien sauf une petite fenêtre qui contient des barreaux et des volets. Je suis sur une chaise, il y a des cordes autour de mes chevilles, ce qui m'empêche de bouger les pieds, j'ai aussi des cordes autour de mes deux poignets, les deux mains dans le dos, il y a un tissus  ma bouche, ce qui m'empêche de parler ou de crier, aucun mots peu sortir de ma bouche, je suis terrifié. Est ce que quelqu'un sait où je suis ?

non, personne ne le sait. puis si quelqu'un le savait il ne viendrait même pas pour te sauver.

Tu as raison, enfin... je crois.

Mes yeux se plissent quand la lumière les atteint. Une porte ? forcément sinon ils t'auraient mis comment dans cette pièce ? par magie peut-être ? Oui c'est vrai.

- Pourquoi tu essayes pas de crier ?

Je lève la tête vers cette voix grave, puis il dit:

- Ah, oui mince j'avais presque oublié ! Tu ne peux pas répondre.

Il s'approche de moi, ainsi que ses mains près de mon visage, il retire le morceau de tissu qui était dans ma bouche.

- Tu n'as même pas idée à quelle point tu as fait erreur de me kidnapper moi. Je lui dis.

- Oh... Ah bon ? Dis-moi pourquoi cela.

- Tu n'arriveras qu'à obtenir la poisse, tu n'auras rien de moi. Je réponds.

- En es-tu si sûr ? Il me dit.

Il sort un téléphone de la poche arrière de son pantalon, puis dit:

- Ahh... Pile au bon moment ! Et me remet le tissu dans la bouche.

Il tourne le téléphone en ma direction.

Je plisse les yeux pour essayer d'analyser ce qu'il y avait sur ce dernier.

Aaron...

J'écarquille les yeux, puis essaye de parler oubliant le tissu qui m'en empêche. Ma vue s'embue de plus en plus, mes pensées sont floues, la vois dans ma tête n'ose pas parler, l'anxiété ne pointe pas le bout de son nez.

Aaron paraît froid à travers le téléphone, je peux voir son regard à la fois vide mais aussi plein d'envie meurtrière.

Je vois ses lèvres bouger mais pas de son, je suppose que l'homme qui tient le téléphone à couper le micro. Mes sens sont en alerte, je ne vois plus Aaron a travers le téléphone, comme si l'homme qui le tenait l'avait fait tomber, je dois me contenter seulement d'un plafond. L'homme ou cet espèces d'humain, je ne sais pas trop, qui est dans la même pièce que moi retire le téléphone de ma vision, puis dit:

- Merde. Pablo. Putain.

Il s'approche, son regard a changer, si il le pouvait il me turait juste en me regardant, il enlève le tissu de ma bouche, puis hurle:

- PUTAIN ! DIT LUI D'ARRÊTER ! IL VA LE TUER ! STOP LE !

- Il ne m'écoutera pas, je ne suis rien pour lui. Puis je t'ai déjà dit, tu obtiendras rien de moi. Ecoute bien ce que je vais te dire. Je ne sais rien, puis même si je savais quelque chose je ne dirai rien ni a toi ni a personne, même sous la torture ! Je dit.

Welter (correction des chapitres)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant