chapitre 8

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Je tremble, j'ai peur, je ne peux m'empêcher de penser qu'il est séparé de moi que par un simple rideau. Je l'entend parler dans sa chambre. Je me couche toute habillé et je met longtemps à m'endormir, ma dernière pensée avant de sombrer dans les ténèbres furent pour M. Velasquez.
Le lendemain je me réveille en sursaut. Je ne comprend pas pourquoi jusqu'à ce que j'entende un fracas impossible à décrire. Mais d'où es ce que ça vient ? Deuxième fracas. De la chambre de Bilal ! Mais il va réveiller toute la maison !
- Bilal ! Mais qu'es ce que tu fait !
Je m'écri.
- Je me prépare pourquoi ? Madame veut faire une grâce matinée ?
Il dit méchamment.
- Mais qu'es ce que tu raconte j'aller me lever !
- Oui bien sûr ! Alors pourquoi ça te dérange que je fasse un peu de bruit ! Tu préfère peut être un réveille un peu plus doux ?! Ah non pardon c'est vrai Madame préfère ce faire baiser par un riche !
Je ne peux me retenir et ma main atterri en plein dans ça tête.
- Tu ferais mieux de faire attention à ce qui sort de ta bouche si tu veux pas te retrouver avec un bon coup de pied où je pense!
Je lui lance avante d'aller me préparer. Il me regarde ébahi et je suis plutôt fière de moi. Je m'habille en vitesse avant de descendre rejoindre Marie.
- M. Velasquez m'a donner ça pour toi. Dit elle en me tendant une lettre.
Je rougis et la pris. Je vais dans la réserve pour être seule avec ma missive.Un papier:
" Chère Zaïna,
Je t'attend ce soir à minuit devant chez toi.
Tendre baiser.
Charles Velasquez"
Alors ça c'est bizarre. Vraiment bizarre.

ZaïnaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant