𝑵𝒊𝒉𝒂𝒍: 𝑪𝒐𝒆𝒖𝒓 𝒑𝒊𝒍𝒐𝒕𝒆́

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Salem aleykoum, Salut

Bissmilah❤

Commentez mes vies.

Nihal: Cœur piloté

Seyfeddine

Elle m'a regardé rentrer, elle m'a suivie du regard jusqu'à ce que je m'assois sur la chaise à côté.
Puis elle a tournée sa tête de l'autre côté.

Moi: Nihal..

J'ai marqué une pause, je réfléchissais à ce que j'allais dire.
Mais j'ai fini par choisir de faire simple.

Moi: Je te demande pardon w'Allah.

Silence.

Moi: Je-

Nihal:*Faiblement* Laisse moi..

Moi: Arrête je vais pas te laisser toute seule.

Nihal: Tu l'as déjà fait..j'ai pas besoin de toi.

Je savais même pas quoi dire, fin appart lui demander pardon vous voulez que je lui dise quoi?

Elle a tournée la tête vers moi, j'ai vue qu'elle pleurait, putain tout ce que je voulais pas.

Nihal: Laisse moi tranquille.

Moi: Putain Nihal arrête de pleurer tu me rend fou, je voulais pas, je me suis énervé, j'ai pas cherché à comprendre je suis désolé.

Nihal: J'en veux pas de tes excuses, je veux juste que tu me laisse. Je veux-

Elle a marquée une pause pour essayer de reprendre son souffle.

Nihal: Je veux pas te voir, je te déteste c'es bon comme ça?

Ça m'allait droit au coeur sah, mais je le méritait amplement.

Nihal: Va voir Chaïnez et laisse moi tranquille.

J'ai soufflé puis j'ai passé mes pouces sur ses joues pour essuyer ses larmes.
Elle avait pas la force de me repousser, mais j'avais l'impression que quand je la touchais elle pleurait encore plus.
Putain mais je l'ai détruite cette fille.

Nihal: Je veux rester toute seule..je t'en supplie laisse moi.

Je me sentais trop coupable, je savais plus quoi faire, de base je baisse pas les bras, mais j'avais l'impression que ma présence la rendait encore plus mal alors je me suis dit que j'allais peut être la laisser tranquille.
Je me suis levé, j'ai soupiré.

Moi: Si t'as besoin..j'suis là.

Elle a pas répondue.
J'ai quitté sa chambre.

Nihal

Il est sorti de la chambre et je me suis retrouvée seule.
J'avais du mal à réaliser que j'avais fait un accident en rentrant, fin en fait je m'en souvenais plus trop.

J'avais mal un peu partout, j'étais pas du tout dans mon assiette.
Et voir Seyfeddine empirait la situation.
En soit j'aurais aimé qu'il reste, je meurs pour ses petites attentions quand il s'occupe de moi.
Mais là j'arrivais pas, ça passait pas.
Je me disais que c'était à cause de lui si j'étais ici, et ça j'arrivais pas à lui pardonner.