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Salem aleykoum, Hey

Bissmilah❤

Nihal: Cœur piloté

Nihal

Ma mère: Nihal je veux que tu me dise la vérité.

Je me suis figé, comment ça la vérité?

Moi: Euh..la vérité de quoi?

Ma mère: Toi et Seyfeddine, tu vas pas commencer à me dire qu'il n'y a rien?

Moi: Non m-

Ma mère: Nihal tabghih? (Tu le veux/tu l'aimes)

Moi: Maman..je fin..

Ma mère: T'as pas besoin d'en dire plus j'ai compris.

Y'a eu un énorme silence.

Ma mère: Je suis ta mère, tu peux me le dire.

Moi: Je sais mais..fin..y'a rien d'officiel, on c'est rien promis.

Et c'était vrai, avec Seyfeddine on c'était rien promis, on vivait au jour le jour, sans penser à ce qu'on allait faire dans quelques mois, à comment sera notre relation plus tard etc..

Enfin bon, ma mère n'a rien dit.

Moi: Mais comment t'as su?

Ma mère: Je suis pas bête, c'était évident à force. J'ai commencé à douter le premier jour où je l'ai vu, quand il y'avais Ayoub ici. Sa réaction elle était pas normal, un patron normal n'aurait pas réagi pareil.

Je suis restée silencieuse.

Ma mère: Puis je crois que tu t'en rendais pas compte mais tu me parlais tout le temps de lui!

J'ai lâché un rire léger, c'est vrai qu'il y'avais un moment je parlais de lui tout le temps! Matin midi soir, je faisais même pas exprès.

Ma mère: Puis la paye que t'as touché à la fin du mois de Mai tu crois que c'est normal? Même s'il est riche et qu'il connaît ta situation il t'aurai pas donner autant!

J'avoue que c'est vrai ça..

Ma mère: Et quand j'étais en Algérie, y'a eu un moment où tu me répondais pas, quand tu m'as rappelé tu l'as fait avec celui de Seyfeddine. T'aurais bien pu le faire avec celui de quelqu'un d'autre. La fille là!

Moi: Hawa..

Ma mère: Oui elle! Mais c'était lui, encore une fois. Et ton nouveau téléphone je sais bien que ça vient de lui, les chaussures à l'entrée je suis sûr que c'est lui aussi.

Moi:..

Ma mère: Puis comment vous vous parlez, chien et chat. Aussi je vous ais vu tout à l'heure.

Moi: Hein? Quand tout à l'heure??

Ma mère: Bah quand t'es partie chercher ton sac hmara!

Oh non la honte! La honte je répète la honte.

Ma mère: Tu comptais me le dire quand?!

𝑵𝒊𝒉𝒂𝒍: 𝑪𝒐𝒆𝒖𝒓 𝒑𝒊𝒍𝒐𝒕𝒆́Où les histoires vivent. Découvrez maintenant