𝑵𝒊𝒉𝒂𝒍: 𝑪𝒐𝒆𝒖𝒓 𝒑𝒊𝒍𝒐𝒕𝒆́

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Salem aleykoum, Salut

Bissmilah❤️

Nihal: Cœur piloté

Nihal

On venait de pénetrer dans la villa, j'avais invité Ayoub à entrer aussi. J'allais pas le laisser dehors, ça se faisait pas. Puis je vois pas pourquoi je le laisserais dehors mdr.

Ayoub: C'est grand, vous habitiez que tout les deux?

Moi: Bah oui, tu veux qu'il y est qui d'autres?

Ayoub: Mdr je sais pas on sait jamais.

Je l'ai fait visiter, ça me faisait vraiment tout drôle de revoir tout ça..ça me rappelais tellement de choses.

Ayoub: Tu vas revenir vivre ici?

Moi: Je pense oui. J'attends juste d'accoucher pour revenir ici.

Ayoub: En gros tu finis ta grossesse chez maman?

Moi: Ouais c'est ça. Tu peux me sortir la valise là tout en haut?

Il me l'a donc prise, je l'ai ouverte puis j'ai mis le reste des choses que je jugeais nécessaire pour le reste de ma grossesse. Je ne comptais pas revenir ici. Ça servait à rien, alors j'ai directement tout pris avec moi. J'ai pris deux/trois tee-shirt à Seyf..me prenez pas pour une folle. Mais j'avais besoin de le sentir près de moi d'une manière ou d'une autre.

Il restait de la nourriture dans le frigo, les choses périmées j'ai dû les jeter, dégoûtée, je déteste ça, le gaspillage.
Le reste je l'ai pris avec moi, puis on est sortie et j'ai bien verrouillé la maison.

Ensuite je suis passé faire un petit coucou à Hawa et aux gars. Ayoub le pauvre je l'avais vraiment trimballé partout mdrr, et il disait rien, mais il avait intérêt.

Puis j'en ai profité pour dire les paroles de la mère de Seyfeddine à Kenan, pour qu'il puisse les lui transmettre lors de son parloir avec lui.

Puis avec Ayoub on est rentrés, du moins il m'a posé chez ma mère avant de rentrer chez lui. Mdrr je l'ai vraiment dérangé pour le coup miskin, je lui avait fait faire le tour de la France.

Oui j'abuse.

Enfin bon je vous épargne les détails de la soirée, je vous passe jusqu'au jour où Kenan a eu son parloir avec Seyfeddine, je vous passe jusqu'à son retour à la villa. Nous l'attendions tous patiemment.

Bakary: Alors, comment il va?

Kenan: Il va bien hamdoulilah, il m'a dit qu'il tenait le coup et tout ça.

Et puis il c'est arrêté à là. Mais moi ça me suffisait pas, je voulais en savoir plus. Je voulais tout savoir.

Alors quand il est sortit faire un petit tour dans la terrasse je l'ai suivie.

Moi: Kenan attends moi.

Il c'est retourné vers moi.

Kenan: Qu'est-ce qu'il y'a?

Moi: Dit moi tout, tout ce qu'il t'as dit.