.68

7.3K 349 235
                                    

Salem aleykoum, Hey

Bissmilah❤️

Nihal: Cœur piloté

Nihal

Nous étions dehors, il faisait nuit, et il faisait également une chaleur insupportable.

Jihad: Mama yé chaud.

Moi: Moh mon pauvre bébé.

Je l'ai porté.

Seyfeddine: On rentre?

Jihad: Ui.

Du coup c'est ce qu'on a fait, on est rentrés. Moi j'avais toujours cette affreuse migraine, j'en pouvais plus. Ma tête devenait de plus en plus lourde, heureusement que Jihad avait parlé pour que l'ont puisse enfin rentrer.
Une fois arrivés, j'ai changé Jihad. Y'avais un lit deux places et un lit une place. Je dormais avec Jihad, et Seyfeddine tout seul.

J'ai mis Jihad au lit, Seyfeddine était déjà dans le sien.
J'ai pris mes affaires puis je suis partie dans la salle de bain. J'ai retiré mon voile..ça me faisait vraiment trop bizzare parceque dans ma tête on était divorcé..alors que pas du tout.

Maintenant j'avais carrément du mal à digérer le fait que l'ont soit encore marié. Bref je me suis mise en pyjama, c'était un bas en satin noir avec le haut qui allait avec.

Je me suis rafraîchit le visage, mais toujours rien. Je suis partie dans le lit, ils dormaient déjà tout les deux.

J'ai pas réussi à dormir, j'étais entrain de galérer de fou. Pas parceque j'avais pas sommeil mais parceque j'avais mal à la tête. Je me sentais pas bien du tout. Le temps passait d'une lenteur incroyable, c'était deux heures du matin.
J'ai soupiré.

Je suis partie boire de l'eau et je suis retournée à ma place, mais toujours rien, je me sentais de plus en plus mal, y'avais pas de doliparane, rien.

Le temps passait et j'avais pas fermé l'œil de la nuit, je me suis levée vers 5h pour aller au toilette, quand je suis sortie j'ai sentie le monde tourner autour de moi, et puis je me suis écroulée par terre.

[...]

Seyfeddine

??:*Pleure* Mama! Mama!

Putain j'avais oublié que ça faisait chier les gosses. Mais j'ai sentie qu'on me secouait.

Jihad: Papa, papa, papa mama elle est morte!

Moi: Hein?

Dis-je me redressant et en trouvant le visage de Jihad face à moi inondé de larmes. Il se décale et laisse place à sa mère allongée au sol.

Je me suis précipité vers elle avant de m'agenouiller près de son corps.

Moi: Nihal? Nihal??

Je l'ai secoué.

Moi: Nihal répond putain!

Jihad lui il arrêtait pas de pleurer.
Moi je savais pas quoi faire j'étais perdue.

𝑵𝒊𝒉𝒂𝒍: 𝑪𝒐𝒆𝒖𝒓 𝒑𝒊𝒍𝒐𝒕𝒆́Où les histoires vivent. Découvrez maintenant