•4 ans après•Tsukiyama

•Chapitre 7•

Yamaguchi revient habillé puis ils dînent tout les deux dans le silence.

Une fois terminé, Tsukishima débarrasse la table puis fait la vaisselle.

Yamaguchi resta assit le regardant faire. Lorsque Tsukishima eu fini, il se mit devant lui. Yamaguchi le regarda dans les yeux. Tsukishima s'assit alors. Tsukishima regarda tout son visage, commençant par ses cheveux, passant par ses taches de rousseur, finissant par ses yeux. Ils se fixèrent ainsi pendant plusieurs minutes. Jusque l'un d'eux lâcha se duel. Puis ils se levèrent pour se diriger vers le canapé.

Ils finirent encore une fois par s'endormir l'un contre l'autre.

Le lendemain, Yamaguchi se réveilla en premier sortant d'un nouveau cauchemar. Il serrait de ses bras Tsukishima pour ce calmer. Il avait peur qu'il revienne, que ça ce reproduise sans que personne ne puisse intervenir encore une fois. Mais il senti les bras de Tsukishima le serraient fermement, pendant que sa main s'atteler à caresser ses cheveux. Il se détendait puis le leva sa tête vers Tsukishima. Il le regardait avec des yeux tendre. Ils restèrent ainsi quelques minutes, puis ils se levèrent. Ils déjeunaient en silence mais continuaient de se regarder.

Depuis qu'ils s'étaient retrouvés ils se sentaient nettement mieux, même si les vieux démons ne partaient pas. Tsukishima savait comment calmer Yamaguchi rapidement, ce qui étonnait Yamaguchi car il n'avait jamais su réellement se calmer aussi rapidement.

Tsukishima parti se doucher. Pendant que Yamaguchi passa un coup de balai. Lorsque Tsukishima sorti de la douche, il vit Yamaguchi allongé sur le canapé, alors il s'approcha. Il vit un sourire sur le visage de Yamaguchi.

"Qu'est-ce qui te fait sourire ?

- Être avec toi. Tu m'as extrêmement manqué.

- Toi aussi tu m'as manqué."

Ils avaient tous les deux changés. Ça ce voyait bien. Mais c'était toujours pareil être eux. Ils étaient même plus proche. Ils avaient toujours ces sentiments sans noms inavoués. Ils n'avaient pas besoins de se parler pour ce comprendre. Ils se comprenaient sans aucun mots. Ils savaient ce que l'autre ressentait sans même en parler. Et ça marcher bien comme ça. Ça a toujours marcher comme ça.