04. Because he love you.

19 6 1
                                    

To all the girls and boys who live a Rudolph and Catherine relationship.

.

.

.

Ville : ????
Heure : ??

Je me suis réveillée avec les mains attachées au-dessus de moi en même temps que j'essayais de reprendre mes esprits on me balance un saut d'eau glacé. Je respire fortement en rivant mon regard sur celui qui ma balancé de l'eau pendant que j'entendais d'autres rires. Ils étaient au moins quatorze. Je le regarde froidement avant de le fusiller du regard et il sursaute.

Quoi ? Tu as peur ? Me moquai-je.

Il ne répond pas mais un autre homme s'approche de moi et me prend par mes cheveux pour que je le regarde avant de dire :

Ne joue pas à l'insolente avec nous. Me menace-t-il avant de me taser puis me lâcher fortement.

Je ne m'attendais du tout pas à cela et en plus avec l'eau, je l'ai bien senti.

Masakit na parang impiyerno. (Ça fait très mal.) Murmure-je en Tagalog à moi-même.

Tu peux toujours parler ? Se moque-t-il.

Je le regarde avant de cracher sur lui, il me regarde énervé avant de me gifler. Mon oreille siffle, il m'a gifler vraiment fort pendant que les autres étaient toujours étonnés ou rigolait des événements. Je le regarde puis le fusille du regard avant qu'il me rend en me fusillant du regard à son tour. Au même moment, quelqu'un entre dans la pièce. C'était un autre homme, je m'attends à qu'il agisse pareil que les autres mais il ne le fait pas car dès qu'il m'a vu son visage s'est assombrit avant qu'il se tourne vers l'accusé et rétorque :

Qui t'a donné la putain de permission de faire ça ? Il a dit de ne pas la putain de toucher.

Ils font tous un pas en arrière avant qu'ils avalent leur salive de peur avant que les hommes qui rigolait au début pointe les deux hommes qui m'ont fait au moins quelque chose en disant :

C'est eux.

Oh, vraiment, dit sarcastiquement l'homme qui me défendait avant d'ajouter, car moi, je vous entendais tous rire en dehors.

Dès qu'il a ajouté cela, il y a un silence total avant qu'une autre personne débarque.

Mais, ils sont combien à la fin ?

Ils s'inclinent tous sauf celui qui venait de me défendre en disant tous en même temps :

Bonjour, Monsieur.

Il ne répond pas mais demande froidement à l'autre qui m'avait défendu :

Qu'est-ce qui c'est passer ici ?

Il lui raconte sans plus sans moins avant qu'il dit froidement :

Tue les tous. Je ne veux aucun survivant.

Quand les autres ont entendus cela ils ont commencés à paniquer et s'agiter pendant que celui qui m'a défendu était en train de les faire un par un, un était en train d'essayer de s'échapper mais il a été tué non par celui qui m'avait défendu mais l'autre. Dès qu'ils sont tous mort, l'autre s'approche de moi puis me dit froidement :

Tu peux arrêter de faire semblant d'être toujours attachée, je sais que tu ne l'ai pas.

Comment l'a t-il su ?

None of it was real it was all an illusionOù les histoires vivent. Découvrez maintenant