« Veuillez annoncer votre symbole.»Moi: Pique.
«La quatrième partie va commencer.
Urumi: Quoi ? Je ne comprends pas.
??: Ce n'était donc pas le Valet de cœur ?
Chishiya: Tu vois ? Je te l'avais bien dit. Les joueurs commencent déjà à dérailler. Même s'il n'y a pas de limite de temps, le jeu ne va pas s'éterniser.
Nous marchons tous vers la pièce à nourriture et ont s'assoit quant à moi je prends deux paquets de mes cookies préférés et je m'assois deux chaise loin d'eux
Urumi: Cette femme. Quand on voulait mentir à ce gars, elle était contre. Eliminons-la.
Chishiya: Yumi ont peut parler ?
Moi: Quoi.
Ippei: Je..je vais vous attendre la.
Chishiya: Bien.
Chishiya me prends délicatement la main et ont s'assoit sur une table loin des regards.
Moi: Qu'est-ce que tu veux ?
Je le questionne en continuant de manger mon paquet de cookies. Il me regarde et prends mes deux paquets ??
Moi: Mes cookies ! Rends les moi !
Chishiya: Pas avant d'avoir dit pourquoi tu m'évites.
Il sourit, orh le batard.
Moi: Je sais que tu le sais.
Chishiya: Oui je sais, mais ! Je veux que tu le dises toi même.
Moi: Je voulais pas que tu vas avec cette fille la bas parce qu'elle est trop louche.
Chishiya: Abrège Yumi, abrège.
Moi: Arrête de faire se sourire ! C'est parce que je suis jalouse c'est bon ?! Tu es contente mainten-
Je sens ses douces lèvres sur les miennes.
Chishiya: Bah voilà c'était pas si compliqué !
Moi: Prends pas trop la confiance !
Il me regarde dans les yeux avec se magnifique sourire.
Moi: Tu sais que tu es beau ?
Chishiya: Tu sais que tu es belle ?
« Veuillez annoncer votre symbole»
Moi: Cœur.
«La sixième partie va commencer»
Ippei: Pourquoi ils se mentent comme ça ?
Chishiya: Ce n'est pas étonnant. Personne ne veut mourir.
«La neuvième partie va commencer.»
Quelque minutes plus tard
Ippei: Ce jeu est vraiment tordu.
Moi: Carreau.
Ippei: Combien de temps ça va durer ? J'en peu plus..je croyais que les gens étaient meilleurs que ça.
Chishiya: Tu devais vivre dans une bulle. Ce que tu vois la, c'est la réalité à laquelle on doit se confronter. Tout ce qu'on peut faire, c'est se dire nos symboles. On ne survivra que comme ça. Faisons de notre mieux. S'il te plaît, dis-le-moi.
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