Chapitre 1 .

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   Dans mes artères circule de l'acier
                                                                                     Bouillant et mortel

                                         Venice, Italy

19h05
                J'étais vraiment agacé par ses débats unutile qui aboutissent toujours au même résultat.  Tõt ou tard je gagnerai cette vente aux enchères,  je gagne toujours.  Encore une démi heure avant de pouvoir rejoindre mon confort; mon lit .

- Monsieur Romeno,  adjugé. Conclut le chef des enchères. 

- Il était temps... Je gagne toujours comme je l'ai dis , une preuve de plus . Franck vous avez quarante huit heures pour vidé les lieux.  Annonce- je à l'ancien propriétaire du restaurant que je viens de m'offrir pour mes vingt neuf ans tout en me dirigeant vers la sortie .

    Une fois dehors , je vis João le dos contre le mur , les mains dans les poches.  Il ne se déplace jamais sans aucune raison gros flemmard. 

- Salve amigo( Salut l'ami ) me dit -il en italien.  J'ai ce que tu m'a demandé.

           Un sourire s'afficha d'aussitôt sur mes lèvres après trois long mois à rechercher se batard je saurai enfin.  Changement de plan alors morphé peut bien attendre . 

            Une démi heure plus tard je me diriges à part déterminé dans l'entrepôt , celui ci était plongé dans l'obscurité  éclairé de quelque rayon lunaire , étant un habitué je pouvais appercevoir la silhouette de mon invité ligoté sur une chaise . D'un geste vif j'ordonne  à mes hommes de vidé les lieux.  Il ne reste plus que trois personne : João,  mon meilleure ami ; l'invité et le diable que je suis.

- Alors c'est quoi ton nom . Questionne-je mon invité tout en sirotant mon verre mi plein de téquilla. 

       Aucune réponse

-Réponds . Ordonne-je cette fois agacé par son manque de respect. 

- Car- los ; Carlos.... affirma mon interlocuteur ayant soudainement retrouvé la parole.  Vous allez me tué

             Son affirmation fut rire mon ami ironiquement.

- Bah non , emit mon ami tout souriant .

- Assez . Dis-je . On va joué à un jeu toi et moi  . Tu parles je te laisse t' en  allez sans aucune blessure mais dans le cas contraire ..... on verra

- Je ne dirai rien .

          La goutte d'eau qui faissait bédordé le vase . Je dépose pricipitament mon verre avant de m'approché vers lui .

- Tu as fais ton choix . Je fis signe a João de venir  avec la malette ,celui s'exécuta sur le champ .  Choisit un chiffre entre un et cinq . Dis-je à l'intention de mon ami ligoté tout en dévérouillant ma malette. 

- Deux , dit'il .

- Se sera donc la ceinture incapacitances,  bon choix .
     
           Ses yeux s'aggrandire tandis que les miennes étaient remplir d'une lueur malsaine.  L'obscurité de l'entrepôt traduissait chacune des idées qui me traversaires l'esprit. 

- C'est très simple , tu n'as pas interêt à me ta taché. 

         Cela fait des minutes que les décharges électrique traverse  son corps mais ce foutu chien fidèle à son maître ne l'ouvre toujours pas , ses cries d'agonies sont les seules bruits qu'il faisait,  ma colère étant au plus haut dégré je retires ma chemise et dépose la ceinture sur la table avant de dirigé mon point vers la machoire du prissonié..

- Fédirico Turan.  Dit'il avant de s'assoupir. 

- Dit à Peta de l'enfermé pour deux jours , aucune nourriture,  que de l'eau et qu'il baise sa meuf devant lui. 

- Et toi tu vas faire quoi ?.

- Une chasse au gébié et appendre à se batard qu'on ne défie pas la mafia italiano

- Rafael,  vas y mollo je ne veux pas que tu ailles en prison une nouvelle fois .

- Ne me dis pas quoi faire contente toi de me trouvé tout sur ce Turan .

- Comme tu veux amigo . Me dit -il en me tapotant l'épaule.

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