J'ai courru dans les allées,
Les mois et les années,
J'ai grandi d'un seul cout,
Et pris des coûts sans jamais tomber.Étouffé dans ma vacuité,
C'est seul que j'ai avancé.
Etourdi dans les échos,
Des cris sourt de l'école.La,est arrivé le lycée, la seconde .
Je la voyais pourtant au collège.
Mais une discussion,une seconde ,
Et la voici pilote de ce beau cortège.Elle partage ma vie ,
ma fatigue ,mes fléaux.
Elle a hanté mes nuits ,
Cette fille ,ce fléau.Je l'est vu comme un mirage ,
Et j'y est aperçu son reflet .
Il me reste encore l'image,
De ces yeux aussi beau que désintéressé.La j'ai vu éclore l'espoir,
S'évaporer ma vacuité.
La j'ai pu effleuré le soir,
Le goût de la vivacité.Elle semblait crier à l'aide,
J'ai tenté de lui tendre la main .
Elle me la tendu et ce n'est rien d'obsène,
Quand je lui la réchauffe le matin.J'en aurai des choses à dire,
Sur cette amie .
Des chose à écrire,
Sur son déni ,Sur nos aventure ,
Notre parcours,
Nos devantures ,
Et nos détours.Mais un poème ,
Ne suffira pas .
C'est un problème,
Que le temps résoudra,C'est une grande nouvelle ,
J'ai peur ,
Peur du bruit de son silence cruelle ,
Peur de blessures sur son enveloppe corporel.Définir mon ressenti à ces côtés,
M'est impossible sur quelque lignes.
Alor j'essaye de lui montrer ,de lui prouver,
Par quelques signes .Le plus dure est passé ,
Ce poème t'est dédié.
J'entrevois entre les barreaux de l'enfer ombragé,
Les rayons lumineux du paradis de la liberté.