Mes rimes sonnent sans le moindre son ,
Je l'entend moi,Comme un accord de piano ,
Je m'exprime seul ,ce sont les partitions ,
De l'orchestre de mes fléaux.
Mon tempo est effrené et résonne en drame,
Mon inspiration est parfumé de tout mes détours,
Mon orchestre a mal ,
plus personne ne se regarde dans les âmes,
Le ritme suis mes respirations, il me rapelle "tu n'est pas mort ,cherche toujours "
J'ai vécu dans mon concert ,
La panne de l'instrument le plus précieux,
Pas à pas ,je l'est remis en état,
Et j'ai compris ,que le cœur met plus de temps à digérer que l'estomac.
J'ai vue cette homme au premier rang,
Il m'applaudissait, conqui par le spectacle .
Je ne lui avait chanté que pleure ,
Mais il ne me rendait qu'amour,
J'ai continué ,enbaumant sa mémoire, son cran ,
Il souriait toujours,
Cette homme c'était moi ,mon reflet,celui qui a peur de la scène.
Celui qui te tapote l'épaule et que tu ignore sans cesse ,
Celui que tu refuse d'admettre,
C'est pourtant lui dont l'aplause est une caresse ,
Lui que tu considère comme un méchant du plus profond de ton être,
Mais lui c'était moi ,et même les méchants ont besoin d'amour.
C'est pour chacun de nous au fond ,une raison d'être