Dangerous Deal

14 | Âme brisée

NDA : attention violence
( conseil : écoutez du Billie eilish)

Léa

Je me suis de nouveau réveillée dans une pièce qui mettait totalement inconnue.

Cette fois si, je me trouvais dans un salon, un énorme salon. Il y avait énormément de place.

J'étais allongée sur le canapé et en face de moi se trouvait une grande télé.

Je me levai et regardai l'endroit où je me trouvais.

La personne qui a fait la déco a du goût ! C'est vraiment du luxe.

Il y avait une belle bibliothèque remplie de livre, intéressant...

Oh il y avait aussi un piano. J'adore jouer du piano. Ça me rappelais des souvenirs avec Claire de lorsque nous étions petites. J'avais des cours de piano avec elle.

Je m'approchai du piano avant de m'assoir sur le tabouret.

J'observais les touches.

Je ne sais pas pourquoi mais j'ai l'impression d'être dans un rêve, tout cela ne me semble pas réel.

Quand j'entendis des marches se dirigeant vers le salon...

Un bruit d'éclatement de verre retentit dans toute la pièce, il était là. Kol était là.

Je me retournai voir ce taré de psychopathe.

Il avait l'air frustré. Dans ses yeux une lueur de haine s'y trouvait.

Il venait de faire tomber son verre par terre.

Les vagues souvenirs de ce qui s'était passé hier me revenaient à l'esprit.

Cam...

Mon frère...

Seb l'a-l'a tué.

Le sang de mon frère...par terre...

Les sons des balles...

Seb et Kol en train de se chamailler...

Tout me revenait à l'esprit.

Il me regarda longuement sans rien dire. L'atmosphère était glaciale.

Mon regard était perdu dans le sien...

Il avait l'air perdu et désespéré. Tout comme moi. Sauf que lui c'est un monstre, impossible qu'il soit perdu.

Mon frère est mort.

Non, non...

Non...ce n'est pas possible.

Je commençais à avoir les larmes au yeux..

Il me regarda en lâchant un petit soupire avant de dire :

- Bouge de là, je ne t'ai pas autorisé à t'assoir là et à toucher à mon piano.

Je me levai donc regarder Kol fâché et déposer mon regard sur le vin par terre.

- Vous vous avez tuer mon frère. Bégaye je.

Il leva les veux au ciel avec dédain avant de répondre d'un ton glacial :

- Seb l'a fait, j'y suis pour rien.

- Assume que c'est putain de ta faute avant tout !! Crache-je d'une violence brûlante.

Mon frère est mort par sa faute.
C'est un monstre.

Il me fixa avec une haine infernale, ses yeux me transperçant comme si j'étais devenue son pire cauchemar, son ennemi ultime.