26. Kidnapping

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Kyle.



Au QG d'Athènes.

Putain, mais quelle salope ! J'aurais dû m'en douter ! crie Antonio.

Ça faisait déjà 4h qu' on était arrivé au QG, Antonio a dû dire à tout le monde que le repas était terminé sans vraiment se justifier.

Athéna s'est fait kidnapper et en plus par sa mère.

La culpabilité me ronge déjà depuis des heures.

J'aurais dû être à ses côtés pendant toute la soirée.

Je n'ai pas dit un seul mot depuis que nous sommes arrivés. J'ai trop de colère pour le faire.

On trouvera une solution, dit Nayla.

Et comment ? Dis-je pour la première fois depuis des heures.

Tout le monde se retourna dans ma direction.

Avant que la soirée ne commence, je lui ai mis une puce GPS sur ses chaussures, explique Noé.

Mes yeux s'écarquillent.

Et elle est au courant de l'existence de cette puce ? Demande Nayla.

Non, j'ai trouvé ça préférable qu' elle ne soit pas au courant de ça. Je me suis dit que c'était mieux de lui mettre une puce au cas où elle se fait kidnapper.

— On peut avoir accès à sa localisation ? Demande Antonio.

Oui, à part si ils ont trouvé la puce et l'on bousillé...Mais oui on peut. dit-elle.

Montre.





_______

Athéna

Mon corps pèse une tonne, j'ai l'impression d'avoir été assommé avec une drogue tellement forte.

J'ouvre mes paupières et plisse les yeux à cause de la lumière, j'essaye de bouger mais je me rends compte que mes bras et mes pieds sont attachés.

J'analyse la pièce du regard, il y a rien autour même pas une fenêtre pour s'échapper, juste moi attaché sur une chaise.

J'entendis la porte en fer s'ouvrir et laisser place à une silhouette masculine.

— Oh tu t'es enfin réveillé je commençais à m'ennuyer ! S'exclame cette voix qui m'insupporte au plus haut point.

Emrick.

J'aurais dû m'en douter.

Je relève la tête pour lui faire face avant de répondre d'un ton tranchant :

— Laisse-moi sortir espèce de connard.

— Oh non déjà ? Le jeu vient juste de commencer !

Un psychopathe !

— J'attendais ce moment depuis tellement longtemps Athéna, soupire t-il.

— Mais je dois avouer que travailler avec ta mère est une bonne affaire, reprit-il.

Et mon cœur tomba à mes pieds.

Ma mère ?

Elle est derrière tout ça ?

— Ma mère ? demandai-je.

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