II.9

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Il s'avança vers la porte d'un pas déterminé. Je l'attrapai immédiatement par le bras.

Moi (chuchotant ) : Non . Ne fais pas ça. Tu sais que ta femme est une malade mentale et je tiens à ma vie moi. En plus je ne veux pas te créer de scandales.

Lui : Mais... C'est toi que je veux.

Je lui souris et l'embrassai. J'allai ensuite me cacher dans la bibliothèque.
Il ouvrit la porte pour laisser entrer une Raisa folle de rage. Je l'entendais crier et sincèrement j'avais peur qu'elle rentre ici. Pas que je ne pouvais pas la frapper ,je me pouvais et aisement , mais personne ne sait de quoi est capable un fou.

Elle : Je sens son parfum... Et tu me dis qu'elle n'est pas ici ? Tu n'es qu'un gros menteur je vais la trouver.

Lui :Très bien moi je pars. Je suis un gros menteur? Bien dit, notre mariage n'est que mensonges alors je ne m'en plains pas.

Elle : Comment tu peux dire ça?

Lui : Tu me sors pas les pores Raisa . Tu me fais chier. Quand je pense que ta mère t'a supportée pendant des années je la plains la pauvre.

Elle : Ne dis pas ça Peter , ne dis pas de telles bêtises. Je suis ta femme et ...

Elle n'eu le temps de terminer qu'il claqua la porte. Il venait de me laisser à sa mercie. Elle allait fouiller et me découvrir ici à moitié nue , le sperme de son mari dégoulinant sur mes cuisses. Ça promettait.

Raisa ( courant derrière lui) : Peter ... Écoute moi ! Tout ça c'est de ta faute Lexus.

Elle claqua à son tour la porte. Cette salope de Lexus m'avait vendue. Je sortis de la bibliothèque me trouvant nez à nez avec Lexus. Je lui souris avant d'ouvrir la porte et de sortir sous ses yeux ébahis. Je ne pu m'empêcher de la Narguer même si cela me portait préjudice. Elle voulait me rendre forcément méchante celle là.

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Point de vue de Raisa.

Merde . Je perdais mon homme. Je couru vers lui et l'enlacai à lui avant qu'il ne parte.

Moi : Pardonne moi mon...
Lui ( Se détachant de moi) : Tu es pardonnée.

Il continua sa route comme si de rien était.

Moi (le suivant) : J'ai le mariage de mon frère tu viendra? Dans une semaine mais moi je parle demain.

Lui : Dans une semaine j'ai un énorme procès.

Moi (chuchotant ) : avec ta petasse oui.

Il se retourna pour me faire face.

Lui : Une petasse? Ne me pousse pas à te dire des choses blessantes Raisa.

Moi (les larmes aux yeux ) : Qu'est ce qui c'est passé? Avant tu me faisais l'amour,  tu me faisais femme maintenant à peine tu m'embrasse. Tu ne me regarde même plus.

Lui : Non mais arrête cette comédie là. Tu sais très bien que je ne t'aimais pas. Tu m'as forcé à t'épouser et pour respecter la famille je l'ai fait. Ce mariage n'est qu'un arrangement des deux familles. Et toi tu es le pion joueur. Si tu m'aimes désolé mais ce n'est pas réciproque.

Moi :  Waouh. Mon mari me dit qu'il ne m'aime pas. Et si tu ne m'aime pas qui aimes-tu donc ?

Lui : Une personne qui n'est pas vite arrivée dans ma vie et je le regrette.

Il regarda derrière moi et sourit. Je me tournai pour voir cette petite chienne de Grace descendre le linge de Leila. Je n'avais qu'une seule envie la pousser dans les escaliers. Défigurer son si beau visage afin qu'aucun homme ne la regarde. Quand je pense que la moitié des hommes de MON mariage courait après cette traînée au lieu de s'occuper de moi.

.Noblesse.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant