II.10

247 8 0
                                    

Moi : TOUT ÇA PARCE QUE TU NE SAIS RIEN FAIRE DE TA CHATTE ET DE TES DIX DOIGTS?

Je la giflai copieusement avant de la faucher. Elle tomba au sol comme un margouillat et Du sang sortait de sa bouche.

Moi : La prochaine fois que tu essaies de me toucher je ne répondrais plus de moi.

Bien fait pour cette chiennasse. Je tournai le talon et continuai mon chemin. Je ne saurais dire ce qui lui avait bien pris pour venir me porter main ainsi. La prochaine fois qu'elle s'amuse ainsi elle verra. J'entrai dans ma chambre . Je me deshabillai et pris ma douche avant de me vêtir d'une jupe tube rouge avec un chemisier blanc col ouvert. Je me fis un chignon strict et me maquillai d'un vif rouge à lèvres, et un peu d'Eyeliner. Je portai mes talons rouges hauts de 10cm. Je ressemblais à une de ces secrétaires qui en faisaient baver à leurs patrons. Je me regardai une dernière fois dans le mirroir et sortis de ma chambre.
Je me dirigeai vers la chambre de Leila. Je frappai et entrai. Elle me remit une enveloppe marron qui paraissait assez grosse.
Moi ( prenant l'enveloppe ) : Mais si je pars qui s'occupera de toi ?

Elle : Ne t'en fait pas . J'ai un cousin qui est venu ce matin . Il va passer 2mois ici. Et avec lui on ne s'ennuie jamais. Tu auras la chance de le connaître ce soir.

Je lui souris.

Moi (Étonnée ) : C'est des liasses de Billets ?

Elle : On peut dire ça comme ça. Tu t'es enfin décidée à y aller.

Je rougis et baissai la tête.

Elle ( rigolant ) : Tu es toute mignonne quand tu rougis. Allez dégage !

Je lui souris et sortis de la chambre.

Je courus à la recherche du nouveau chauffeur Melvis.

Moi ( criant au jardin ) : Melvis !

Lui (sortant calmement des toilettes) : Oui ma toute belle.

Moi : Je ne suis pas ta toute belle. Nous devons aller au bureau de monsieur. Sa soeur m'a donné une enveloppe à lui remettre.

Lui : Tu n'es pas ma toute belle mais tu es bien celle du patron. Parait-il qu'il ne jouit que par toi. Est ce vrai ? Tu es même arriver à séduire le patron.

Moi ( lui affligeant une copieuse claque) : Ne t'avise plus jamais de me parler ainsi sinon tu regrettera d'être venu travailler ici.

Lui ( Nettoyant le sang de sa bouche) : Bordel tu as la force d'un éléphant toi. Tu es une vrai tigresse. Belle et douloureuse telle une rose. Si tu n'étais pas la préférée du patron je te rendrais cette gifle.

Moi : Tu es un gros con. Tu sais quoi je vais prendre un taxi.

Lui : Tu ne connais même pas l'adresse du cabinet.

Moi: Je vais la demander à Mademoiselle Perez. Et je lui dirait aussi qu'au lieu de faire ton travail tu as préféré me draguer et manquer de respect au patron.

Lui :Non ne fais pas ça ! T'es folle ou quoi ? Je serai renvoyé sur le champs. Elle croit tout ce que tu lui dit elle.

Moi : Parce que je ne fais que lui dire la vérité sans cacher des bouts.

Lui ( m'attrapant la main ) : Je t'en prie n'y va pas. Je ne parlerai plus de ça.

Moi : Merci. On peut y aller ?

Il hocha positivement la tête. Nous alliosn vers la voiture il m'ouvrit la portière de manière Obséquieuse et je m'introduisis à l'intérieurde la voiture. Alors qu'il démarrait , Lexus accourut et monta à mes côtés.

.Noblesse.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant