chapitre 32🙈

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Maria ne se fît pas prier et reprit son doux traitement sur les lèvres de sa compagne. Son baiser fût un peu moins pressant mais tout aussi passionné. Ses mains prirent celles d’Amanda et les plaqua au mur pour avoir un meilleur accès au corps d’Amanda sans que cette dernière ne puisse toucher Maria. D’une main, elle maintint les mains d’Amanda au-dessus de sa tête et de l’autre, elle lui prodigua de douces et avides caresses, ses lèvres descendant tout d’abord dans le cou d’Amanda avant de descendre sur sa poitrine. Amanda ne put retenir un gémissement tant Maria faisait monter en elle un désir et un plaisir jamais égalés. Maria sourit en entendant sa compagne gémir sans retenue. Elle plongea ses lèvres dans le cou d’Amanda pour lui faire subir la plus douce des tortures et fit glisser lentement la fermeture éclair de sa robe. Elle lâcha les mains d’Amanda afin de lui ôter plus facilement sa robe. Mais Amanda ainsi libérée changea de position et plaqua Maria à son tour contre le mur. Elle laissa sa robe glisser naturellement le long de son corps. Maria se retrouva plaquée visage contre le mur, le corps d’Amanda se pressant sur le sien.

— Finalement, moi aussi je veux jouer, murmura sensuellement Amanda à Maria.
— Profite, car si je te remets la main dessus…
— Compte sur moi mon coeur.

Amanda fit subir le même traitement à Maria, en l’embrassant dans le cou tout en faisant glisser la fermeture de sa robe. Une fois, l’ouverture faite, elle caressa et massa le dos de Maria qui s’accrochait au mur pour ne pas défaillir de plaisir, elle retenait encore ses gémissements, mais le traitement qu’Amanda lui infligeait était des plus agréables. Elle fit entrer ses mains dans la robe de Maria et commença des caresses des plus exquises sur le ventre et la poitrine de sa compagne. Amanda adorait sentir les tétons de Maria gonfler sous ses doigts, elle s’était toujours étonnée d’avoir cet effet quasi instantanné sur sa compagne, chose qui n’arrivait qu’après quelques minutes avec Lexi et qui l’avait toujours perturbé, elle sourit du plaisir de retrouver cela tout en embrassant les épaules de Maria. Elle s’amusa encore quelques minutes sur le corps de Maria, frôlant régulièrement son bas ventre avec dextérité. Puis elle fit glisser la robe à terre avant de retourner Maria et de se coller à elle contre le mur afin de mieux avoir accès à ses lèvres. Elle l’embrassa avec passion, envie et amour. Maria en profita pour faire jouer ses mains dans le dos d’Amanda. Quand elle agrippa les fesses de sa compagne, Amanda ne put retenir un gémissement de surprise et d’excitation mêlées.

— Putain Maria, tu me rends complètement dingue là.
— Et ce n’est que le début, dit Maria en soulevant soudainement Amanda pour la porter jusqu’au canapé où elle la fit asseoir avant de se mettre à califourchon sur elle.

Elle se mit à l’embrasser tout faisant courir ses doigts dans sa chevelure, elle descendit rapidement dans son cou, puis sur sa poitrine. Elle abaissa le soutien-gorge d’Amanda avant de prendre son téton dans sa bouche et de faire tourner sa langue autour. Elle sentit Amanda se tendre sous cette divine torture. Elle fit subir la même chose au second téton. Ensuite Maria fit glisser ses mains en un long et doux massage sur le corps d’Amanda, plus son massage descendait plus elle embrassait la peau d’Amanda avec envie. Elle descendit ainsi jusqu’à ses pieds, elle les libéra des talons dans lesquels ils étaient enfermés. Elle massa sensuellement Amanda avant de remonter sur sa poitrine puis sur ses lèvres.

— Je fantasme sur chaque centimètre de ton corps depuis tout ce temps alors je veux en profiter comme jamais, bébé.
— Et moi, tu sais quel est mon fantasme ?
— Non, dis-moi.
— C’est ça.
— Explique.
— Il y a deux ans, je n’ai jamais pu te faire l’amour dans ta maison. Depuis, je rêve d’embrasser chaque millimètre de ton corps dans chaque millimètre de ta maison et je rêve de te faire crier mon nom dans chaque pièce, je veux que chacun de tes murs, que chaque millimètre de ta maison entendent mon prénom résonner au point d’être imprégné ici.
— Alors, commençons tout de suite, parce qu’il y a du boulot.
— T’es sérieuse ?
— Très sérieuse.

C'était une Erreur. Peut-être pas...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant