chapitre 3

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Nous nous dirigeons ensuite vers la salle de séjour et nous nous installons à la table à manger. Je suis émerveillée par la diversité des plats qui se situe sur la petite table en bois vêtu d'une nappe. Du poisson, des frites, du poulet, un bouillon de pommes de terre, de la salade, des petits pois, du pain, des sauces,et de la boisson. Je suis affamée mais je me demande comment a t'elle pu cuisiner tous ces plats en un aussi court délai. Je me redresse et je croise son regard qu'elle n'hésite pas à ancré dans le mien.

— Je me suis dit que tu aurais faim. Donc, je tes fais tous ces plats.

— En un si petit temps ?

— Oh, tu sais cuisiner avec le coeur est vraiment rapide. Me répond t'elle le sourire au lève.

C'est à ma première bougée que ma faim sort de sa cachette. J'ai des tonnes de questions à lui poser mais, je préfère attendre à la fin du repas. Pour mieux le savourer. Mon assiette se vide assez rapidement et en quelques minutes, tous son contenu se retrouve dans mon ventre. Je bois un grand verre d'eau histoire de faire passer repas.

J'attends maintenant qu'elle termine pour commencer l'interrogatoire que je lui est préparée. J'ai eu le temps de réfléchir sur quelques sujets que j'aimerais qu'elle éclaircisse pendant mon bain. Et puis j'aimerais rentrer chez moi au plus vite.

Elle pose ses couverts et se met à siroter un verre de whisky.

— Je peut connaître votre nom ?

— Mireille.... Appel moi Mireille. Dit elle entre deux gorgées.

— ok merci, moi c'est Mika.

— comment es tu retrouvées dans cette forêt ?

— pour faire court, je ne sais pas vraiment. Ce dont je me rappelle est que je me suis réveillée à l'entrée de cette forêt et que je vous est rencontrée après. Je ne sais même pas si j'ai été déposée la par quelqu'un où si........

Elle ne me laisse pas terminer ma phrase et s'empresse de m'himiter.

— Pour faire moi aussi court, les blessures que tu as le long de ton corps n'ont pas pû être causée par un objet tranchant ou je ne sais quoi encore. Elle ont été faites à la main et par pas tes mains mais par celle de quelqu'un qui possède de longs ongle voir des griffes. Et même si tu le voulais tu ne pourrais pas t'enfoncer les doigts aussi profond que sa et en plus tes ongles sont assez courts et faible. Mais je suppose que tu l'aurais deviné par toi même un jour ou l'autre. C'est tellement évident.

Je suis stupéfaite par ces propos. J'ai tous d'un coup l'impression de me trouver dans un film de détective en noir et blanc. Et, que l'on essaye de me retirer les vers du nez. Mais, non seulement elle a un talon dans se domaine et elle attend aussi que je me mets au jeu de la proie. Je ne peux pas décliner son offre. Car même si elle ne me le dit pas ouvertement, je peux le voir dans son regard malicieux qu'elle attend mon arrivée dans le jeu. Je me racle la gorge et me mets en position d'attaque :

— Que soutenez vous par là ?

— Rien, juste qu'il pourrait avoir une personne sur les lieux de l'agression.

— Vous parler de l'agresseur lui même ?

— Oui bien sur. Dit elle en se levant de sa chaise.

Nous continuons ainsi jusqu'à ce que nous soyons épuisées. Nous nous sommes plutôt bien amusées et avons pas mal appris à se connaître. Je lui est aussi annoncée que je voulais rentrer au plus vite. Cependant, son visage c'est vidé de couleur à l'instant où elle compris le sens de ma phrase. Elle me répondu vaguement avant d'aller se coucher sans rien dire d'autre. J'ai trouvé ça bizarre mais je suis déterminée à rentrer à la maison.

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Je déambuler dans les couloirs à la recherche d'une porte ouverte par laquelle je pourrais m'échapper. Il fait noir et j'entends des pats qui provienne de derrière moi. J'accélère la cadence dans l'idée de pouvoir leur échapper. Mais hélas il me rattrape et se dirige vers une porte. Je me débats mais en vain. Et en moins de temps qu'il ne faut pour le dire,j'étais dans une pièce au mur teintées d'un liquide rouge vif. Je regarde autour de moi et j'appersois avec froideur le corp sans vie de ma mère gisant dans une mare de sang. Je me précipite à son chevet et je me mets à pleurer toutes les larme de mon corps. J'ai l'immense regret de ne pas avoir pu te protéger, mère.

*Je me réveille en sursaut et je tombe nez à nez avec l'obscurité de la pièce. mon inconscient à décidé de ne faire revivre la mort de ma mère. Je soupire et  regarde sur l'horloge qui se trouve près de mon lit et je découvre qu'il est seulement deux heures trente trois minutes. Je decide de me recoucher même si mes draps sont à moitié tranpé par la sueur. Je pose ma tête sur l'oreiller et je ferme les yeux espérant pouvoir me rendormir très vite.

*Au faite. Je crois que j'ai beaucoup exagéré sur la rapidité de mon sommeil parce que sa fait près de vingt deux minutes que je suis allongée et je m'épuise même à essayer de dormir. Je me redresse légèrement et j'envisage d'aller boire un verre d'eau quand j'entends Mireille parler à voix basse. Au début je pensais que c'était mon imagination qui me jouait un tour mais quand je l'entendis une deuxième fois. La curiosité me poussa à aller voir se qui se passait.

J'ouvris doucement la porte de la chambre pour ne faire aucun bruit. Je m'avance maintenant dans le couloir et je peux distinguer sa silhouette planté dans l'obscurité du salon. J'allais la traiter de sannombule si je lougais mais je devine parfaitement qu'elle s'adresse à une personne. Je continue d'avancer et je peux maintenant entendre cette conversation qui se déroule entre Mireille et l'inconnu. Elle semble mesurer ses mots et parler avec stratégie. Elle parle d'un travail et par son tont je pense a un travail qu'elle n'aurait pas terminer ou fait.

Cependant je ne sens plus la bienveillance et la confiance qui se trouvaient dans son aura.
La peur envahi mon être quand j'entends la voix de son interlocuteur. Non seulement elle ou il à une voix digne d'un film d'horreur et en plus cette personne se fond plutôt bien dans l'ombre. Car, j'ai beau ouvrir grandement les yeux, je n'arrive pas à la distinguer dans le noir. J'essaie encore de m'avancer et je percute une armoire. Notre collision produit un bruit qui je suis sure va éveiller leur soupçons.

Je me mets à courir sur la pointe des pieds et je rejoins à une vitesse phénoménale ma chambre.

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Salut mes pandas 🐼❤️. Alors sa vous à plu. J'espère que oui. Bon n'oubliez pas de voter pour mon histoire et surtout de laisser plein de commentaires. Bisous bisous 💋🤍.

La Découverte De Ma NatureOù les histoires vivent. Découvrez maintenant