La Découverte De Ma Nature

chapitre 12

Je me redressai et découvrir que Alice et mon père était devant la porte et il m'acclamaient fièrement. Vu l'expression de leur visage, il semblait ne pas avoir perdu une miette de se spectacle. Je descendus du lit et alla les rejoindre.

— C'était quoi ça ? Leur demandai je.

— Se sont t'es pouvoir ma chérie, félicitations !!

J'étais ahurie, mes pouvoirs. Alors comme ça j'étais en effet un être surnaturel. Je n'appartenait plus à la race humaine, j'étais à présent plus que ça, j'étais une surnaturelle. Me le dire était tellement bizarre que j'en avais la chaire de poule. Cependant, Alice me sortit de mes rêveries.

— Alors le rêve ?

Un rêve, le rêve que j'avais fait. celui qui avait déclenché mes pouvoirs, celui dans lequel il y avait cet homme à la beauté angélique. Celui dans lequel j'étais malgré moi, invulnérable. Oui, ce rêve. Je me raclai la gorge et les invita à s'assoir sur le lit. Seulement papa décida de rester debout.

— J'étais dans une pièce sombre, lugubre. J'avais plusieurs blessures et un énorme mal de tête. Puis, un homme imposant fut son irruption. Il était grand, très grand même. Les cheveux noirs retenu par un élastique. Une tenue très élégante et les iris représentant la cendre. Il m'a chuchoté un truc comme : ne croit pas que je te pardonne pour autant, au oreilles.

Plus je m'enfonçais dans la description de cet homme plus le visage de mon père perdait ses couleurs. Il passait régulièrement ses mains dans ses cheveux qui été aujourd'hui relâchés. Tapait quelques fois le parquet du pied et plissait souvent les sourcils. Tous laissait à croire que père le connaissais.

Alice quant à elle semblait intriguée par le personnage en question. Elle roulais quelques fois les yeux et souriait plus que d'habitude. Faut croire que la description de cet homme ne la laissait aucunement indifférente.

— Et c'est tout, il ne t'as rien dis d'autre ? M'interrogea père.

— Non, c'est tout. Tu le connais ?

— Non. Il me fait juste penser à quelqu'un. Informa t'il.

— Une bonne personne ?

Je vu dans son regard qu'il allait s'il le pouvait esquiver ma question.

— On peut dire ça mon cœur. Aller réendort toi, il fait tard.

— Très bien, bonne nuit papa. Dis je avant de me coucher.

— Oui, bonne nuit les filles. Dit il avant de sortir.

— Moi je dors avec toi. Pas question de louper une chance de te voir à la pratique.

Je ne retoquai rien. J'étais trop épuisée pour cela. Alors, je lui souris et elle éteint la lumière. C'est ainsi que nous fermâmes les yeux.

***

Je fus réveillée par un coup de pieds ,de la part d'Alice ,dans les côtes. La nuit fut très mouvementée car cette personne avec qui j'avais dormi était vraiment bruyante. Elle parlait, criait et même sifflait dans son sommeil ce que je n'avais jamais cru possible. Aussi, la plupart de ces phrases étaient incompréhensibles, un mélange de latin et d'allemand, peut-être. Je pris une douche rapide et je me remémorai les évènements de la veille. Mes lèvres s'étirent en un sourire magnifique quant je me rappelle que je suis à présent une surnaturelle. De tous les éléments pouvant déclencher les pouvoirs, le rêve est le moins concourant. En effet, la majorité des personnes présentes dans ce camp avait eu comme détonateur la colère, la triste ou encore la joie. Ce n'est qu'une infime partie qui eux affaire au rêve. Et moi, j'étais à présent comptée dans cette fourchette.