chapitre 5

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Donc c'est ça son nom. Blade, ledit grogne et me lâche l'épaule pendant que je pousse un gémissement de soulagement.

— Laisse moi te dicter Les règles. Ici c'est nous qui dominons. Cela signifie que tu n'as pas le choix sois tu réponds soit c'est la sanction. Grince le prenomé Blade

— Encore une fois où se trouve ton père ?

— Je ne sais pas.

— Mauvaise réponse.

Je sens mon ventre se plier en deux. Ma chaise tombe sur le sol et je me cogne la tête en grognant. je sens le goût du sang dans ma bouge tellement que son coût à été puissants. La douleur qui s'empare de mon être est insupportable. C'est comme si des milliers de couteaux traversait mon côté. Je tousse légèrement et putain que je suis furax !

—  Vous êtes sérieux là. Faut être maboule pour frappé une fille d'une telle façon. Mais où son faut manière dit donc. N'avez vous pas de copine ? Pour être aussi brutal.

Un sourire narquois apparaît sur le visage de Blade. Avant qu'il ne s'abaisse à ma hauteur. Il ouvre la bouge et je ne sais pas se que je vois. Ses dents sont d'un blanc immaculé mais ses canines sont anormalement pointue et c'est comme si il était éguisé comme des couteaux :

— Je meurs tellement c'est ridicule remarqué je tout en riant de façon moqueuse. Tu te prends soudainement pour Dracula ou tu célèbre halloween en avance. Papi.

Puis sans même que je puisse énoncé un autre mot, il pencha violemment ma tête sur le côté avant de se jeter sur mon cou. Un cri de pur douleur m'échappe, ça fait mal, très mal même. J'ai l'impression que mon sang se fait aspirer et ma peur se fait plus visible. mais putain qui est il ?  j'ai la sensation que ma vie quitte lentement mon corps. C'est comme si l'on m'enfonçais  des couteaux dans la gorge.

Je ne sais pas pendant combien de temps je reste dans cette position avec la mauvaise tournure des évènements qui était déjà stressant. Ma tête commence à tourner et je vois à nouveau les étoiles dansée, mes paupières devienne lourdes et je sens que je glisse dans
Un état de semi-conscience :

— Blade arrête ! Tu vois bien qu'elle n'en peut plus. Elle est sur le point de s'évanouir.

Le concerné grogne contre mon cou avant de reculer et je le sens tout de suite un peu mieux.

J'entends faiblement un son strident et flippant. Quelques secondes plutart je sens mes liens être détachées et je sens mon corps être délicatement soulevé, je m'accroche ainsi au corps peu rassurant de l'un de ces homme.

Une angoisse terrible s'empare de ma personne avant de m'évanouir dans les bras peut rassurant de mon kidnappeurs.

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*Je me réveille en sursaut. Et je ferme rapidement les yeux. L'éclairage de la pièce est trop vive. Après quelques secondes, je réessaye et j'arrive maintenant à les garder ouvert. Je touche instinctivement mon cou et déplace délicatement les doigts le Long de celui-ci. C'est en l'inspectant minutieusement que je remarque deux fin trou qui si trouve. C'est quoi ça ? Des vampires ? Franchement très drôle. La peur injecte une fois de plus dans mes veines son venin et je me sens directement habité par un sentiment d'engoise et de solitude qui prend de plus en plus du terrain.Je me redresse et je prends une grosse bouffée d'air. Mon esprit envahit par les ténèbres, je tente peux à peux de prendre conscience et de me situer.

Je me trouve dans une chambre à l'allure luxueuse. Les murs sont peintent d'un royal jaune or et le plafond est d'un blanc immaculé. Un cintetique lustre donne une allure d'église de l'époque ancienne à la pièce. Les commodes et les armoires sont gravées d'hyhéroglife bizarre. Un lit moelleu à baldaquin se trouve au dessous de mon corps.

Est ce que je suis toujours chez mes kidnappeurs ? Et si oui, pourquoi une chambre aussi luxueuse ?

Pourquoi me mettre à l'aise après m'avoir maltraité ?
Et pourquoi me parler de mon père. Se ga est mort pour moi à la seconde où il nous a abondonné. Ma mère et moi. Je ramène mes mains à mon visage quand j'entends un bruit de métal. Je regarde  mon poignet et je remarque sans ardeur que ces hommes de l'âge de pierre mon maintenue au lit à l'aide d'une chaîne en métal. Je suis hors de moi, après la torture l'enchainement ? Je veux crier tellement je suis énervée. Des larme se mettent à couler le long de mes joues et je les attrape avant que la chambre ne devienne une lagune......

Je regarde à nouveau le nouveau le métal froid qui entoure mon poignet et je me rappelle que je peux crocheter la serrure. Avec ma deuxième main je fouille dans mes cheveux à la recherche d'épingle pour me plonger dans l'intro de mon évasion. C'est quand mes doigts en trouve une que je me mets à sourire.

J'espère pouvoir retirer se bracelet gris de mon poignet...

Après plusieurs tentatives je me résous a laisser tomber. Je remets le pic dans mes cheveux et m'allonge sur le lit. Je ferme les yeux et j'essaie de me fabriquer un monde meilleur.......
Plusieurs minutes s'écoule où plusieurs heures. Je je maîtrise plus la notion du temps depuis mon arrivée dans cet endroit.....
J'entends un raclement de gorge qui me fait sortir de mes rêveries j'ouvre délicatement les yeux en espérant voir Mireille où Silvia ma meilleure amie. Mais, au lieu d'eux. Mes yeux s'accroche à ceux d'une jeune femme extrêmement fascinante.

- tu as les yeux rose !..... Réussis je articuler sans détourner mes yeux des siens.

Elle se met à rire de plus belle. Dévoilant ses dents parfaitement blanche et un sourire des plus éclatant. Son rire est tellement sexy.......

Je secoue la tête pour me sortir ses genre de truc de la dedans. Avant d'examiner son corps qui se trouve à quelques mètres de ma position. Elle est fine, a un teint pâle et des courbes qui ne laisserais pas qu'un homme indifférent. Ses lèvres sont pulpeuse. Ses cheveux noirs jais mi-long et sa légère robe noir dessine parfaitement ses courbes. Elle tient un plateau sur lequel se trouve de la nourriture et du jus de fruits. Elle tient également des vêtements quelle dépose sur le lit.

— Tu es Mika ? Me demande t'elle en me scrutant du regard.

— Oui, ou il y a d'autres prisonniers ici ? Dis je d'un tont froid.

— Oh, je t'apporte de quoi te changer et manger.

— Pourquoi je suis dans une chambre ?

— À vrai dire tu es dans les locaux de Vlad le chef. Me déclare t'elle le plus normalement possible en prenant place près de moi toujours avec le plateau de nourriture.

— Pourquoi ?

— Je n'en sais rien. Affirme t'elle en haussant les épaules. Donc tu as remarqué mes yeux ?

— Oui....... Pourquoi sont'il rose ?

— Je suis née comme sa. Oh en faite j'ai soigné tes blessures et je t'es changées.

— Ah ok je vois merci. Je ne m'en étais pas rendu compte. Dis je d'un aire embarrassé. C'est quoi ton nom ?

La Découverte De Ma NatureOù les histoires vivent. Découvrez maintenant