Pur Hasard...Fruit du Destin

Leur fantasme

AVERTISSEMENT !

Ce chapitre se focalise en grande partie sur l'activité sexuelle d'un personnage.

Ceci pouvant heurter à la sensibilité de certaines personnes.

Si vous ne supportez pas les textes érotiques, ne lisez pas ce chapitre s'il vous plaît, c'est pour votre bien.

Concernant les personnes qui vont poursuivre la lecture du chapitre, merci d'apprécier la maturité et la noirceur que cette histoire peut proposer.

J'espère que vous allez aimer !

N'oubliez pas, le sexe ne consiste pas juste à se faire plaisir, il permet aussi de se découvrir.

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Appartement de Flora Martinez, 21 mai 1982.

|19h 42|

La locatrice n'était pas encore rentrée, elle était partie assisté un ami endeuillé, depuis quelques heures déjà. Elle avait tout de même dit à Ariane qu'elle allait être de retour avant 21h passé. De son côté, cette dernière venait de rentrer des cours.

Malgré qu'elle ne fût pas chez elle, la blonde ne s'empêchait pas de ressentir cette envie qu'elle avait refoulée il y a longtemps déjà. À chaque fois qu'elle entrait dans une salle de bain avec ces idées folles, elle se sentit tout autre. Toutefois, cette pièce comportait deux de ses péchés mignons en matière de sexe.

L'eau chaude et les miroirs.

Parce qu'elle trouvait agréable de faire l'amour sous l'eau et qu'elle trouvait ça torride quand elle baise devant un miroir.

Depuis son adolescence, c'est dans une salle de bain que l'étudiante avait appris ce qu'aimait son corps et qu'elle avait expérimenté ses premières caresses intimes.

Ariane ne compte plus le nombre de fois où elle s'est faite du bien en prenant sa douche.

Voilà de quoi elle avait envie à ce moment, maintenant qu'elle était totalement nue devant le miroir. Ses mains commençaient à effleurer délicatement sa poitrine généreuse, le carrelage glacé sous ses pieds fit dresser ses tétons roses, cela lui procurait la chair de poule.

Ses pensées allaient bon train vers l'objet de son fantasme depuis quelques mois, son professeur, M. Corvius.

Seule avec ses mains, la femme blonde laissa ses fantasmes pénétrer littéralement son esprit, bien décidée à les approfondir jusqu'au bout de ses doigts.

Dans ses pensées les plus sombres, les doigts qui pinçaient ses tétons, les faisant rouler, n'étaient plus les siens, mais ceux de son professeur.

C'est également les siens qui vinrent doucement se perdre sur sa peau, glissant le long de ses côtes comme si elle voulait créer un deuxième Adam, sur ses cuisses comme une pluie tendre et chaude, puis, plus bas, trouvant les vingt-milles lieues sous les mers.

« Mmh, ouh ! »

S'exclamma-t-elle les yeux fermés imaginant mille et un scénario pornographique avec l'acteur qui ne jouera probablement jamais dans son film.

Ariane n'avait fait qu'effleurer son intimité du bout des doigts et elle sentit déjà que son fantasme ne la laissait pas indifférente, loin de là.

« Il n'est pas là, mais il réussit à me faire mouiller. »