𝚁𝙴𝙲𝚄𝙴𝙸𝙻 𝙵𝙻𝙰𝚂𝙷𝚂 - 𝙱𝙰𝙺𝚄𝙳𝙴𝙺𝚄

CHAPITRE - 1

Extrait embarrassant.

Izuku avait paniquer.

Et, comme il est maladroit, ça c'est tout de suite vue sur son visage tacheté que ce qu'il venait d'entendre l'avait perturbé.
Alors, c'est tout à fait normal que interlocuteur ce soit barrer comme un sauvage.

Même lui aurait fait pareil, même pire.

A présent seul dans l'appartement, son cœur bat à tout rompre dans sa poitrine.
Il panique, pas par l'info, car ça y est, il l'a compris, pris en compte.
Non, il tremble d'avoir fait une bêtise, d'avoir fait sous entendre les mauvaises intention.

Comment faire dans ce cas là ? Paniquer encore plus ou affronter ?
Tellement de questions..

Il aimerait bien avoir de l'aide..

Mais c'est pas possible !!

Un bref souffle s'échappe de ses lèvres, un regard est jeter sur l'environnement et le vide l'accueil toujours de la même façon.
Pourtant, après quelques minutes, il se résigne à trouver refuge près de la table à manger pour ce poser.

Sa tête va exploser, mais il doit ce calmer.

Quoi, faire.

C'est la question.

Mais avant toute chose, il doit ce calmer.

C'est important de bien ce poser, se reposer l'esprit pour choisir les bonnes décisions.
Après tout, s'il lui a confier ça, qu'il lui a dit yeux dans les yeux son désir de partager ça, alors il doit répondre dans les meilleurs conditions.

Inspiration.

Expiration.

Ça va aller..

Le silence de la pièce le plonge dans une bulle à la fois bizarre, et réconfortante.
Bon dieu qu'il n'aime pas ça.

Son esprit turbine, sa jambe tressaute de stresse et ça y est, son cœur s'emballe à nouveau.
Ses mains entremêlées dans ses cheveux, ses bouclettes s'enroule autour de ses doigts, et malgré les yeux fermés, il arrive pas à réfléchir.

Il veux faire ça avec lui.

Il rougit, puis ce pince les lèvres.

Qu'elle idiot qu'il est.

- Aller Izuku, fait pas l'idiot, assume tes envies aussi et va le voir.

Pourtant, aucun mouvement.

Indécis, il ouvre les yeux tombant sur la nappe rouge, lui rappelant son interlocuteur et d'un bond, ce lève.

- Imbécile ! Crie t'il.

Sans plus tarder, il prend la clé sur le plan de travail, et fonce à l'extérieur claquant au passage la porte d'entré.
Il court avec le sourire, un peu paniquer, et va jusqu'au jardin de leur enfance juste à côté de leur appartement.

Sans vraiment chercher, pas plus de quelques minutes, il trouve son petit ami qui est assis sur le rocher juste en face du paysage offert.

- Katchan ! Crie t'il.

Le concerner ne répond pas, continuant simplement de fumer pour décompresser.
Le bouclé arrive devant le cendrée, reprenant son souffle difficilement.

- J'suis désolé ! Je - j'ai paniquer ! Ce justifie t'il.

- Tant pis pour toi, j'te dirais plus rien du coup. Susurre Katsuki devant le regard dépité de son amant.

- Mais !

Izuku ce pince les lèvres, détournant les regards, mais très vite, bloquer sur celui de son Katchan.
Ses iris sont si belle, et qu'elle douce sensation qu'il ressent.. il adore le voir comme ça.

- Si t'assumais aussi, t'aurais pas paniquer. Grogne l'explosif.

- Mais j'assume ! Regard là -

Il ce stoppe, devant son petit ami les sourcils arquer.

- Mytho.

L'un comme l'autre se dévisage, mais visiblement le regard intense de Katsuki a raison du bouclé, qui détourne en premier.

- C'est pas vrai, j'assume. Ce justifia Izuku.

Le cendrée sent une douce chaleur au fond de ses entrailles, prenant un petit sourire provocateur.

- Ah ouais, et du coup ?

Il faisait semblant de bouder, ça marche toujours.

T o u j o u r.

- Je veux bien.. Rougissant tout en triturant ses doigts.

- Tu veux bien quoi ? Provoque l'explosif.

Un petit silence s'installe, Katsuki ne manque pas une seule miette du spectacle devant ses yeux.
Il a d o r e le voir comme ça, c'est sa passion.

Il continue de fixer son amant au yeux émeraude tacheter, fixant sa nuque encore parsemé petits suçons fait quelque jours auparavant. Il adore le déstabiliser juste en regardant ses lèvres faire une moue affreusement mignonne.

Une minute passe, peut-être deux, puis violemment.

- C'est bon ta gagner ! Cria Izuku, saisissant la main de son mec pour l'attirer jusqu'à leur domicile.

L'impulsivité, qu'elle provocatrice.

- Gagner quoi ? Provoqua encore Katsuki.

Quelque mètres fait, le sourire au lèvre en zieutant se petit boule alléchant.

- Je ferais ce que tu désire, te faire ligoter le corps avec des cordes et te pousserais à bout telle le dominant que je suis. Cria le bouclé, les pommettes rouge.

Et il sourit, victorieux, faisant par la même occasion un petit clin d'œil au deux vieilles femme qu'ils ont croisés, choquer de telle propos.