Chapitre 1 : L'indépendance

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Hey tout le monde !
Vous allez entrer dans l'univers de Stella qui, est assez cocasse. Ceci est la première partie du chapitre1.
Dites moi ce que vous en avez pensé.
Bonne lecture !

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~ Stella ~

"Bip, Bip, Bip"
"Bip, Bip, Bip"

Fichu réveil !
J'ouvre difficilement les yeux. Ma chambre est encore plongée dans le noir ce qui me confirme qu'il est bien trop tôt pour me réveiller. Malheureusement pour moi, je ne peux pas me recoucher étant donné qu'aujourd'hui, est le premier jour de mes visites d'appartements.

Oui, les portes de l'indépendance s'ouvrent à moi. Mes parents me permettent de me rapprocher de mon école pour que je n'ai plus à faire le trajet, et que je puisse me consacrer pleinement à mes études. J'aimerai être proche des Champs Élysées. Les nombreuses boutiques qui s'y trouvent et son atmosphère féerique lorsqu'elles sont illuminées ne me lasseront jamais.

Pour moi, on commence les recherches d'appartements beaucoup trop tard, mais mes parents sont persuadés que les bonnes affaires se font maintenant. Et quand "Papa le PDG" parle de business il ne faut pas le contredire.

J'ai diagnostiqué à mon père la "bipapalarité". Je m'explique, la "bipapalarité" désigne les différentes facettes que mon père peut avoir.
Nous avons "Papa le PDG", quand mon père parle de l'entreprise, des investissements et tout le business qui y tourne autour.

Il y a aussi "Papa le kiwi", lorsqu'au travail ça ne se passe pas bien, c'est la déprime. Pourquoi le kiwi ? Car je n'aime pas le kiwi, sérieusement, qui aime manger ce fruit.

A contrario, nous avons "Papa la banane", alors là, c'est la fête à la maison. On fait péter le champagne ! Cela veut dire qu'à l'entreprise tout se passe dans le meilleur des mondes, que les bénéfices ont été nombreux. C'est LA bonne journée pour mon père.

J'ai surnommé la dernière facette "Papa le papa". Elle apparaît souvent pendant les vacances. Ce sont les moments où il n'est pas dans son bureau ou en déplacement, les périodes où il ne parle pas de business ou d'affaires. C'est la facette que je préfère, les fois où je retrouve la complicité que j'ai avec mon père. La plupart du temps, il est soit absent, car il travaille à l'international ou dans son bureau, soit à parler constamment de l'entreprise.
Si je dois résumer mes relations avec mon père : elles sont basées principalement sur le travail et l'entreprise familiale.

Mon père est millionnaire, PDG d'une grande entreprise de technologies : l'entreprise familiale.
Depuis les années 1970, la famille Croft est une famille d'entrepreneurs. Mon père travaille donc constamment, même le dimanche. En fait, dès qu'il le peut il bosse.
Mes parents sont convaincus que j'oublierai leurs absences en me donnant de l'argent de poche ou en me faisant des cadeaux. Mais ça ne fonctionne pas.
Ma mère a toujours été absente, elle est hôtesse de l'air donc elle doit sans arrêt partir dans différents pays.

Enfin, je ne vais pas me plaindre, j'ai la chance de ne manquer de rien et d'avoir une petite vie bien tranquille.

Assez de réflexion pour le moment, il faut que je me lève sinon je vais être en retard.
Je m'étire, sors un pied du lit, puis le deuxième. Exécute le premier pas de la journée avant de perdre l'équilibre et de m'écraser contre le parquet de ma chambre.

- Aïe ! Super, la journée commence bien !

Après m'être relevée avec aucune grâce, je file sous la douche. Il va me falloir une bonne dose d'anti cerne pour cacher les dégâts de la soirée d'hier soir.

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Hâte pour la suite du chapitre 1 ?

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