Dragon eye

L'oeil du dragon

Pendant que mon père continue son discourt sur le sujet de l'œil du dragon, après tout j'ai été élevé dans cette histoire. Tant-dis que d'autres princesses et princes, grandissent avec de la littérature, moi j'ai été élevé dans cette histoire.

Père m'a toujours parlé de nos ancêtres, grand père. Roi Miguel 1 est le père de mon père, je sais, c'est compliqué à comprendre, mais a partir du moment où vous savez l'histoire, elle est enregistrée. Miguel 1 était qu'un cireur de chaussure qui devait nourrir sa famille. La famine est la et les maladies aussi. A ce moment, la guerre se déclare dans tout les royaumes. Ce que les autres royaumes veulent? Les dragons. Ils veulent avoir tout les dragons qu'il y avait dans notre partie de l'île. Alors mon grand-père, décida de tuer la plus part de ces dragons, pour mettre fin a la guerre et sauver tout ces pauvres villageois . On le présente maintenant comme un homme brave. En tuant tout les dragons , symbole de pouvoir et de chance, les autres rois eurent peur et cherche maintenant a préserver cette espèce. Le roi du royaume Hasmina se lie alors au simple cireur de chaussures pour trouver une place loin de tout ces royaumes pour garder les dragons, Dragonia. Pour garder le souvenir de lien de paix, ils décide de garder un œil de dragon. Vous commencez à comprendre?

Après tant d'années, les villageois décident de considérer Henri 1 comme un roi et son fils comme l'héritier de la couronne. Plusieurs histoires ont évidement été inventer. Comme: si le symbole de paix qui l'œil du dragon venait disparaître, cela serait le recommencement de la guerre, de la famine,de la mort.

Je suis tiré de mon petit monde par ma mère.

- Vous êtes avec nous Agate?

- Oui pardonnez moi mère.

Ma mère lève les yeux au ciel.

- J'ai toujours dit que vous auriez dû avoir des leçons sur l'éloquence et le savoir bien se tenir, mais votre père tenait réellement à vous apprendre à monter a cheval et a faire du tir a l'arc. Et voilà que maintenant on est la a tout vous apprendre vous a la dernière minute.

Mon père lance un soupire et me fais un clin d'œil.

- Elle va s'en sortir. Essaye mon père de me défendre.

- Père, mère, j'ai terminé de dîner. Puis-je disposer?

- Bien sur Agate,allez donc préparer votre discours
pour votre couronnement. Dit ma mère.

Je me lève de table et me dirige vers ma chambre. En fermant ma porte je me pose contre la porte et je craque, je me met à pleurer. Mon père meurt et je ne peut rien faire. Je n'ai jamais voulu être reine. Il faut que je chance mes pensées. Mes yeux se posent sur ma harpe, ce bel instrument qui adoucit mes pensées.

Je me lève et relève mes manches, et je m'assois sur mon tabouret. Je repose l'instrument sur moi et mes doigts touchent les cordes entrain de vibrers. Les vibrations me détendent. Mon souffle s'intensifie je sans mes poumons se remplir et de se vider d'air. Une mèche de cheveux se détache de mon chignon et glisse le long de mon cou qui va finir par caresser ma clavicule. Cela me fait frissonner.

Après quelques heures, je m'habille de ma robe de chambre, détache mes cheveux. Je me dirige vers ma fenêtre d'où j'ai vue sur l'écurie de mon père, j'aperçois une jeune femmes, je suppose que c'est la fille d'Amelie. Je l'a connais depuis mon plus jeunes âge . Actuellement elle monte un cheval.

Je décide descendre la rejoindre. Elle me voit arriver avec ma chandelle allumée . Elle descend aussi tôt du cheval.

- Je suis désolé votre altesse.

- Quoi donc?

- Voyons, d'avoir monté sur votre cheval.

Ses yeux vert foncés me surprendrons toujours. Je l'a fixe pour la force de relever son regard sur moi, je fais le tour du cheval, elle me suis du regard.

- Ce n'est rien, après tout vous vous en occupez plus que moi de ce cheval.

Ma main effleure le poil de ce dernier. J'arrive près du dos de Linda et elle se retourne pour pouvoir me faire face.

- Cela fait longtemps que je ne vous ai pas revue Linda.

Tout en s'adressant à moi, elle commence à ranger l'écurie.

- En effet, j'étais en voyage. Je suis allé a l'autre royaume chercher des médicaments pour mère.

- Amélie est souffrante? Dis-je d'un air étonnant.

- Oh, ne vous inquiétez pas, juste une petite grippe d'après les médecins. Une pause s'installe. J'ai entendue pour le. Roi, je suis vraiment navré.

- C'est gentil.

J'essaye de me rapprocher d'elle.

- Vous m'avez manqué.

Elle se retourne vers moi, puis me regarde.

- Agate, cela doit cesser.

- Mais pourquoi? Dis-je en riant.

- Car vous allez devenir reine dans deux jours.
Je recule.

- Cela change quelque choses sur vos sentiments?

Elle me retient par la main et me fait revenir proche d'elle.

- Bien su que non, mais demain votre mère va faire venir tout les promis pour vous.

- Je les ferais fuir. Je ne veux pas d'eux.

- Nous savons toute les deux que notre histoire est impossible.

Elle me dit cela tout en rapprochant son corps du miens, crédibilité, zéro. J'arrive même a sentir son parfum de lys. Étant plus grande que moi, je m'agrippe alors à elle, a son col ainsi pour la faire baisser. Je sens sa respiration effleurer mon cou, puis ses mains glissant sur ma taille. Elle dépose ses lèvres sur mon cou. Je sens ses baisers fougueux et passionnés, c'est tellement bon, j'attendais ce moment avec impatience. Jusqu'à ...

- Linda.

Amélie appelle sa fille, on est donc interrompue dans ce moment. Elle continue.

- C'est l'heure de rentrer.

Linda me lâche et lui répond.

- J'arrive.

Elle s'adresse maintenant a moi, vous devriez rentrer, elle me reparle avec son ton froid. J' ai donc saisie le message et je décide donc de remonter dans ma chambre.

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