Le lendemain matin, je me réveille la tête encore dans les vapes, il est 9h30, quand j'entends mon père chanter en bas.
Alala si les gens le voyaient comme ça, il leur ferait moins d'allure et de peur tout d'un coup.
Il me fait rire.
Je me couche et je m'y cette tenue :Et me mit juste un peu de mascara.
Je descends en bas et en effet je vois me mon père entrain de chantonner et fessait des pancakes.- Coucou, alors de bonne humeur ce matin à ce que je vois. Lui dis-je en lui fessant un bisous sur la joue
- Oui exactement ma puce, assis toi je t'es fais des pancakes.Je pose mon téléphone sur la table de la cuisine.
- Tu peux aller fermer la fenêtre du salon il fait frais. Me demande t-il
- Bien-surJe me dirige vers le salon énorme qui est pas loin.
Quand d'un coup j'entends mon père gueuler.
Je cours vers la cuisine et je le vois avec mon téléphone en appel.- Essaie encore une seule fois de l'a joindre et je te tuerais !! Cri t-il
- Papa !! Qui s'est ! Et rend moi mon téléphone !J'essaie de l'atteindre mais sans succès, il est bien trop grand.
- Ouais aller casse toi sale connard ! Je tente plus jamais rien !
Il raccroche et pianote sur mon téléphone quand je lui retire des mains.
- Tu joues à quoi la ! crie-je
- C'est plutôt toi ! Pourquoi tu as pris contacte avec un de mes clients ! Jason.Eh merde.
- Je.. je te le connaissais déjà avant que ce soit ton client.
- Tu mens Skye.Je souffle.
- Ok je mens, mais j'en est rien a foutre ! Je fais ce que je veux quand je veux et avec qui je veux !
Je cours à l'étage pour aller à ma chambre et je l'entend crier mon prénom mais je claque la porte.
J'en peut plus de lui et le fait qu'il soit sur protecteur, ok il tient à moi et il a peut-être peur pour moi mais ça commence à peser lourd.Mon père ne vint pas me voir.
Il a trop de fierté pour ça après tout.Je reste dans ma chambre toute la matinée et quand mon père fut sorti vers 13h30, je descends prendre quelques choses à manger.
Je remonte et me remis dans mon lit.
Quand soudain j'entends à bruit à ma fenêtre.
Je me lève et j'aperçois Rafe en bas.
J'ouvre la fenêtre.- T'es malade ou quoi ! Tu veux casser ma fenêtre !
- Euh ça se passe pas comme ça habituellement.
- Ah parce que tu fais ça à pleins de filles.Il se mit à rire.
- Mais non, je parle dans les films, habituellement le mec fait ça et la fille ne réagis pas comme ça.
- Qu'est-ce que tu veux, je suis différente.On se mit à rire puis un silence.
- Pourquoi t'es là Cameron ?
- Tu le plais bien Skye, je veux juste savoir si on pourrait se revoir tu vois comme-Je ne laisse pas finir.
- Ça ne marchera pas, mon père est tellement saoulant que rien n'y fera.
Il eut un rictus aux lèvres.
- Bah il sera pas toujours là et il n'en saura rien.
- Mais..attend tu sais quoi ça fait pitié de parler comme ça, passe par la porte d'entrée mon père est pas là, il est parti faire des courses.Je descends et je lui ouvre la porte puis on se rend à ma chambre.
- Je disais, Rafe..si je sors avec quelqu'un je veux pouvoir être libre avec, que mon père le sache, que nos famille se rencontrent etc..pas dans le secret.
Il me regarde l'air pensif.
- Je comprend Skye..mais tu m'intrigue et m'attire tellement arh..j'ai plus les mots.
Waw waw..je n'aurai jamais cru entendre ces mots sortir de la bouche de Rafe Cameron pour moi.
- Rafe je..
- Je m'en fou, maintenant je veux être avec toi.On est sur mon lit et il s'approche de moi et m'embrasse.
Notre baiser s'intensifie et je monte sur lui, il est allongé.
Puis on ne se lâche plus.
Il met ses mains sur mes hanches.Mais qu'est-ce qu'on fait..
Notre attirance l'un envers l'autre et tellement intense qu'on ne peut s'y remédier.On se lâche quelques secondes pour qu'il enlève son tee-shirt puis on reprend.
Notre baiser est si fort.
Je commence à bouger mon bassin sur lui en continuant de l'embrasser intensément.Je m'apprêtais à enlever mon haut quand j'entends la porte de l'entrée claquer.
Oula mon père vient de rentrer.
Je me lève d'un coup et je jete le teeshirt de Rafe sur son ventre- Mon père est là.
Il remet son teeshirt en vitesse et comme par hasard j'entends les pas de mon père dans les escaliers.
Il se dirige vers la chambre.
Comme par hasard il ne m'a pas parler de toute la journée et il choisit ce moment pour le faire.- Va dans mon dressing !
Il va en vitesse dans mon dressing qui se ferme avec une porte coulissante.
Oui ma chambre est très grande.
Je me met dans mon lit avec mon téléphone.
Puis mon père entre.- Coucou ma puce.
- Oh salut Papa. dis-je assez fort pour que Rafe entende.
- Pas la peine de parler aussi fort je suis pas si vieux.Je lui souris gêné car je veux juste qu'il se dépêche de partir avant que Rafe s'impatiente est fasse du bruit.
- Je m'excuse d'avoir répondu à ton appel et de mettre énerver, j'avoue que je vais loin, mais je ne veux pas que tu fréquentes des clients à moi.
J'entends le rire de Rafe derrière la porte du dressing.
Merde putain il peut pas l'a fermer.- C'était quoi ça ?
- Hein de quoi ?? Euh j'accepte tes excuses Papa, tu m'excuseras faut que je me douche on se voit plus tard. Bisous.Il se lève et me dévisage avant de fermer la porte derrière lui.
Je me dirige vite vers le dressing.
J'ouvre la porte et je donne un coup sur le bras de Rafe.
Il mime une horrible douleur puis il me sourit en rigolant.- Sérieux tu aurais pu nous mettre dans la merde Rafe!
- Désolé princesse.Il se dirige vers mon lit et s'allonge.
- On en était à où ? me dit il en se relevant vers moi et me passant sa main sur ma joue.
- Nul part tu devrais partir.Il se lève et le regarde.
- Toujours pareil, je vais essayer de partir en douce. Ciao.
Il ouvre la porte.
Mon père est en haut dans sa chambre ce qui lui laisse une chance.Je tombe sur mon lit.
Je sais que Rafe est vexer mais on devrait pas s'attacher..
Et je le comprends je me conduis comme si je le voulais et à la seconde d'après je le repousse.
Argh que je suis stupide.
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Fuis moi et je te suis
RomanceJe déteste ce monde sombre dans lequel on m'a forcer à vivre. Le deal. Le bon côté des choses c'est que je suis devenu une femme fatale sans me l'a raconter. Aucun homme ne réussit à m'avoir. Loin de là que ce soit moi qui les empêchèrent de m'appro...