Mexico (Tome 2)

Chapitre 26

Point de vue:Marianna

J'ai la tête qui tourne.

J'ouvre les yeux difficilement.

J'ai été amener par Enrico.Il m'a foutu a l'arrière d'une camionnette avant que ne perde connaissance.Il a retirer le couteau de ma jambe et mon sang coule à flot.Sa me fait un mal de chien.

-Enfin t'es réveillé.

Je sursaute avant de me redresser, je regarde devant moi.Diego est là devant moi du sang lui coule du nez et de la tête.

-Diego?Qu'est ce que tu fait la?

-A ton avis je suis pas ici pour jouer au foot.

Charmant son attitude,comme toujours.

Je déplie mes jambes et je grimace de douleur.

Son regard se rive sur ma blessure et il fronce des sourcils.

-T'a perdu connaissance combien de fois?Me demande t'il tout en fixant toujours la plaie qui saigne sur ma cuisse.

-Deux ou trois fois je dirais.

-Et merde..

Il enlève son t-shirt et se met à genoux pour s'approcher de moi.Il déchirer un bout avec ses dents.Il prend le plus large et le plie plusieurs fois pour en faire une compresse.Il le place sur ma plaie et prend le second bout de tissu plus mince et plus long cet fois.

-Sa va faire un mal de chien.

Il enroule son morceau de vêtement autour de ma cuisse et fait un noeud sur l'entaille puis il me fixe.

Je plonge mon regard dans le sien il ne démontre aucune émotions comme d'habitude.Le vert de ses yeux est beaucoup plus foncé et profond que son frère aîné.

Puis sans me prévenir il serre le noeud d'un coup sec avec une force incroyable et j'allais hurler de douleur mais il plaque sa main sur ma bouche pour que j'évite d'alerter nos ravisseurs.

Il s'éloigne et se replace là où il était.Le dos appuyer contre la parois du fourguons les jambes plie et les coudes appuyer dessus.

-Pourquoi t'a fait sa?

-De quoi tu parle?

-Me soigner,m'aider peut importe comment tu appel ça.

Il soupire.

-Parce que si je m'en sort vivant et pas toi Adam me buterais pour ne pas avoir tout fait pour te garder en vie.

Il a lâché cette phrase sans émotions sans une seul expression facial.

Je l'examine plus en détail.Il a les cheveux châtains comme son frère mais il a le crâne presque rasé pas comme son frère qui a les cheveux qui lui arrive au lobe.Il a des trait fins et ses lèvres sont fines.Mon attention se porte sur ses mains qui sont large et veineuse.L'une d'elle est tatouée d'un aigle au griffe acérée.C'est l'emblème du cartel d'Adam.Il sont marqué à vie.Tout ceux qui porte ce tatouage sont condamnés à mourir dans la violence et le danger.

Puis mon regard se baisse sur son torse.Il est musclé mais sa silhouette n'es pas aussi bien dessiné qu'un athlète c'est plutôt discret mais attirant à la fois.Je remarque une cicatrice d'environ cinq centimètre de long sur le côté de son abdomen.

-Je te dérange peut être?

Je sort de mes pensé et le regarde.

-Quoi?

Il se me regarde dans le yeux et je dois avouer qu'il ne m'impressionne pas autant que la première fois que je l'ai vu.

-Tu n'arrête pas de me regarde depuis tout à l'heure.

Je baisse les yeux.

-Et c'est franchement agaçant.

Je joue nerveusement avec mes doigt gêner de m'avoir fait prendre en flagrant délit.

-Désolé..murmurai-je

Il me fait une signe de la main qui veut clairement dire qu'il s'en tape.

-Je..je voulais seulement savoir d'où provient cette cicatrice sur ton vente.

Il soupire de nouveau.

Je relève la tête et soutient son regard.

-Et pourquoi je devrais te dire quoi ce soit?

Il est direct.

-J'en sais rien..dis-je en baisant pour la énième fois.

C'est vrai je ne sais même pas pourquoi je veut savoir.Ont ne c'est jamais adresser la parole avant maintenant alors qu'est ce que sa peut me faire?

-C'est un cadeau de mon beau père.

Surprise qu'il m'ai répondu je relève la tête et le regarde.Son expression facile c'est crispé mais sa posture est plus détendu.

-Quand j'étais gosse Alejandro et moi vivions dans un quartier pauvre avec notre mère toxico.Notre père est décédé quelque mois après ma naissance.Il a été tué par un cartel asiatique.Alors sans lui on a vite dégringolé dans la hiérarchie et on est devenue pauvre.

Il prend un pause et continue de soutenir mon regard.

-Lorsque mon frère a eux dix-sept ans il est parti de la maison.C'est lui qui ramenais l'argent à la maison car notre mère était pas foutu de garder un emploi.Alors quand il c'est tirer on avais plus un rond.Ma mère dépensais son allocation parentale dans de la drogue et de l'alcool.On avais plus rien à manger.J'ai du manger des bouts de pain durant trois semaines.Certains était même moisi.Sa me rendais malade.

Il raconte tout sa avec une voix claire et froide comme si ce n'étais pas sa vie à lui qu'il récitait.

-Elle a rencontré un mec.Un enfoiré de première.Un petit dealer de merde accro à l'alcool.Un duo pathétique pas vrai?Une toxico et un alcoolique.J'avais seulement douze ans a l'époque.C'était un gringo mais il ramenais de la tune.Je pouvais manger des repas surgelé et des pizzas à l'occasion maintenant alors je le supportais.

Je sens déjà la merde venir.

-Tout les soirs il se bourrais la gueule et frappais ma mère sous mes yeux la plupart du temp.Une nuit je me suis réveiller et je l'ai entendu pleurer et hurler.J'entendais des coups et des gémissement.Elle suppliait.Il était en train de la violer dans la chambre juste à côté de la mienne.J'ai mis mon casque et j'ai écouter de la musique jusqu'au petit matin.Je faisais ça à chaque fois que je l'entendais cogner ma mère.Je pouvais rien faire.J'étais un môme.

Les larmes commence à couler sur mes joues et j'écoute son histoire affreuse qui n'est pas encore fini.

-Sa durée cinq ans.La même histoire tout les soirs toute les nuits pendant cinq putain d'année.Il l'a frappais et la violait quand parfois elle était trop défoncé pour réagir.J'avais aucune nouvelle de mon frère.Il avais disparu de la surface du globe.Je le haïssais pour sa.Je le détestais de m'avoir abandonné avec cette mère indigne et de me laisser pourrir dans ce taudis.

J'essayais mes joues avec la paume de mes mains.

-Un soir alors que je fêtais mes dix-sept ans tout à dérapé..