Harry était entrain de finir de ranger ses maigres bagages dans sa malle, les yeux dans les vagues, ces yeux d'un vert si pur mais pourtant aussi froid que la douce fraîcheur d'un mois bien enneigé en décembre.
Le jeune brun n'arrivait pas à le faire sortir de sa tête, il n'arrivait pas à arrêter de penser à ce putain de blond à l'allure angélique, il n'arrêtait pas de penser à son foutu regard.
Et le comble, il ne pouvait s'empêcher de prier un Dieu en lequel il ne croit même pas pour pouvoir être dans la même maison que le blond.
D'ailleurs en parlant de maison, si il réfléchissait à quelle maison il allait aller. Bien sûr, si le blond va dans une maison complètement différente de lui, il allait sûrement y aller.. bref.
Griffondor. Définitivement pas, non. Cette maison ne lui allait pas, maison du courage et de la confiance. Harry ne connaissait pas le mot confiance. Et courage ? Harry n'avait que le courage de réfléchir à vitesse grand V pour sauver sa personne.
Serdaigle ? Harry n'allait pas mentir, il était intelligent. Harry se savait intelligent, mignon, rusé. Il n'avait besoin de personne pour le savoir. Mais cette maison ne concordait pas avec sa personnalité, Harry aimait les livres, mais jusqu'à ce que cela soit son centre ? Non.
Poufsouffle. Harry savait que dans chaque bonne maison, surtout une bien gentille, bien timide, il y'avait les plus gros cerveau du monde, et que il y est une maison regroupant toutes personnes ayant cette nature, voulais tout dire, mais c'était pas sa maison quand même. Y'a une chose, Harry n'était pas loyale, et gentillesse était un mot qui existait bien avant dans son vocabulaire avant qu'elle ne soit piétiné par la méchanceté de l'homme. Donc non.
Serpentard. La tante Petunia répétait toujours auprès de Dudley dans un monde égoïste, seul un égoïste réussi toujours ! Et elle avait évidemment raison _pour une fois_, les égoïstes, ceux qui pense qu'à eux, Harry en faisait parti, il était égoïste et il assumait. Les Serpentard, d'après le livre qu'il avait lu, était rusé, fourbe, égoïste, et il était également constitué que de mangemort.
Voilà pourquoi Harry n'aimait pas les humains. C'était qu'ils jugeaient trop vite, et quelques fois c'était les religieux. Pourtant si il s'en rappelait bien, le jugement, les critiques sont interdits dans les religions. Mais il ne voulait rien avoir à faire avec ça.
Il secoua sa tête, si il se rappelait bien de ce que le demi géant _un peu trop stupide à son goût _ lui avait dit c'était un chapeau ensorcelé par les grands fondateurs qui va choisir sa maison.
Harry était toujours impressionné de ce que la magie pouvait faire.
Bientôt il va partir, il a hâte de voir cette école, et surtout lui.
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Draco était assis le dos droit, une serviette sur ses jambes et ses vêtements, ses yeux mercure, aussi tranchant que l'acier, regardait l'assiette.
Lucius Malfoy regardait son fils avec qu'une telle insistance que Draco avait envie de vite sortir de cette foutu maison.
- la nourriture est-elle à ton goût ? Dit brusquement Lucius.
Draco releva la tête, une mine impassible sur le visage.
- oui père, je vous remercie. Dit Draco.
Un autre point entre eux, le vouvoiement, Draco au grand jamais n'arrêtera de vouvoyer cet individu.
Lucius serra les poings de rage, son fils ne le regardait pas avec ces yeux là. Son regard se durcissant en se rappelant de comment sa perfection, son œuvre regardait ce bâtard de Potter avec un intérêt qu'il n'avait jamais vu.
Draco ne l'avait jamais regarder avec cet intérêt. Toujours les mêmes yeux impassible, comme si il n'en avait rien à foutre de lui.
- tes bagages sont-ils prêts ? Demanda Lucius en tranchant la viande saignante qui se trouvait dans son assiette avec plus de virulence.
Pas un frisson traversa Draco étant habitué depuis longtemps à cette ambiance macabre.
- oui père. Dit tout simplement Draco en buvant après avoir parlé un verre d'eau.
Lucius regardait le verre dans lequel son fils buvait avant de détourner le regard.
- n'oublie pas ton statut et évite de parler avec des personnes de bas étages, qui va t'assister à la gare ? Dit Lucius en mangeant.
Draco leva les yeux et regarda son père.
- Vincent, Crabbe, Blaise et la jeune fille de la famille Parkinson. Dit Draco, pourtant cela faisait 5 ans ils étaient amis mais il oubliait à chaque instant son prénom.
La fourchette de Malfoy senior s'arrêta à mi chemin sa bouche et il tapa des poings sur la table, Draco ne scilla même pas levant juste des yeux pour regarder son père qui le regardait avec une telle colère. Il voulait soupirer mais il pourrait pas.
Il savait ce qui allait arriver ensuite.
- suis-moi. Dit simplement le géniteur de Draco en recourbant ses manches.
Draco se leva lentement et marcha à la suite de son père. Il n'allait pas l'épargner.
Pourtant une promesse est une promesse, il allait en finir avec Malfoy senior.. il allait finir avec eux tous.
À suivre...
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Vous allez haïr Lucius, si vous ne le haïssez pas déjà..
Bonsoir bonsoir ! Vous allez bien ? Je suis ravie de vous parler et de vous présenter un nouvel chapitre !
Je vous dis à bientôt !
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Fiksi Penggemarlє mσndє n'étαít-íl pαs mαgnífíquє вrísєr ? lα víє n'étαít-єllє pαs plus вєllє dαns un mσndє chασtíquє ? lєs gєns quí sє dísєnt nσrmαuх répσndrσnt quє nσn, c'étαít pαs mαgnífíquє. mαís pσur hαrrч.. σuí pσur hαrrч, c'étαít unє purє mєrvєíllє. íl α ét...