Chapitre 20

76 3 1
                                    

Mes yeux s'ouvrent violement accompagnés d'un hurlement avec une puissance qui m'était inconnu. Le cœur battant a tout rompre je me lève, le corps à moitié endormie. Je tourne sur moi même essayant de distinguer du mieux que je le pouvais où je me situe. Complètement perdue et dans l'obscurité totale, rien ne m'aide. Mon angoisse monte en flèche. Mon cœur bat trop fort. Ma tête tourne, brisant mon équilibre. J'ai peur. Mes cheveux humide de sueur me collant la peau, augmente la chaleur étouffante de la salle qui rend ma respiration difficile. Ma chambre que je voyait d'habitude si grande semblait avoir rapetissit à m'y emprisonner. Mes jambes flanchent et de cause des mouvement brusque de mes bras je renverse de nombreux objet qui semblait être poser sur ma table de chevet. J'halète de plus en plus. Voulant chercher la poignet de la porte pour m'enfuir et retrouver la lumière et l'oxygène qui me manque. Ma main percute un objet qui semble être le verre ou je range mes outils, le bruit de son fracas semble si lointain presque inaudible. L'angoisse me devance, la peur prend le dessus. Les pleurent et les hurlement hystérique me possèdent, je perds la maitrise de mes mouvements dans cette phase de panique totale. Je dois sortir. Mon corps percute violement les relief en bois de la porte. Je tâte les mur à la recherche de la poignet. La panique prenant le dessus en ne trouvant rien je me met a taper avec force la porte m'étouffant dans mes propre larmes.

Je vais mourir.

Je balance mon corps contre la porte essayant de la défoncer avec le peu de force qui me reste. Je dois sortir. Je me met à hurler. Mes pleures redoublent. J'attrape enfin la poignet de la tourne avant de m'écraser au sol tête la première. Je n'ai pas mal. Je tâte le sol, des fourmillement se propage dans tout mon être.

Je me fige.

Je me redresse doucement. Rien, je ne vois rien. Je me tourne dans tout les sens mais rien n'apparait devant moi autre qu'un noir opaque. Je ne distingue rien malgré la présence de la lune qui aurait du m'éclairé. Je ne vois rien.

Je suis aveugle.

Un hurlement de peur sors de mon corps instinctivement. Je tente de me relever du mieux que je peut afin de tapoter autour de moi a la recherche d'un miracle ou de ne serait-ce quelque chose de visible, de savoir ou je suis réellement. Une main m'attrape le bras. Mon cœur ratte un battement et par réflexe mon autre main lance un coup dans la personne et je m'en fuis a quatre patte en chutant plusieurs fois cherchant un mur. Je me colle au mur lançant toute sortes de menace et injures essayant de me protéger du mieux que je pouvais. Mon corps tremble de peur. Je suis tétaniser.

MOI : Ne me touchez pas !

Je me met à pleurer à grosse larmes en griffant le mur a la recherche d'un échappatoire. Je suis fatigué et apeurée. Ne trouvant rien je me recroqueville coller au mur pleurant qu'on vienne me sauver de se cauchemar. Je ne vois rien, n'entend rien, chaque contact ou douleur m'ont l'air lointaine comme si...comme si j'était enfermer dans une bulle opaque et insonoriser.

MOI : S'il vous plait...

Les larmes coulent sans cesse. J'ai si peur. Mais qui viendra pour moi? Je n'ai personne ici, je suis seule.

Alors que j'essayait toujours plus de me cachait dans le coin du mur une main robuste ce pose sur mon bras. Je sursauta un premier temps puis le parfum de la personne m'enveloppa et je compris qui cela était.

MOI : Jean...?

Sa deuxième main me m'entoura doucement et je me retrouves blottis contre lui tremblante et pleurante. Je m'agrippe a lui effrayé.

MOI : Jean... Jean je suis aveugle! Je vais mourir Jean! J-Je...!

Je m'écroule dans ses bras. Il passe une main dans mon dos pendant qu'il me dis des choses que j'entend très peut comme s'il était a des kilomètre. Il me relève doucement et malgré que mes jambes manquent clairement de force. Quelque pas détacher de Jean sont fait de mes jambes tremblantes avant qu'elle me lâche complètement. Mon corps percute des bras muscler qui me rattrape. Un bras dans mon dos et sous mes genoux et je me retrouve rapidement haletante et porter.

Usurper ( EREN x OC)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant