𝖭𝖾 𝖼𝗈𝗆𝖻𝖺𝗍 𝗃𝖺𝗆𝖺𝗂𝗌 𝗊𝗎𝖾𝗅𝗊𝗎'𝗎𝗇 𝗊𝗎𝗂 𝗇'𝖺 𝗋𝗂𝖾𝗇 𝖺̀ 𝗉𝖾𝗋𝖽𝗋𝖾

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❝𝐉𝐞 𝐧'𝐚𝐯𝐚𝐢𝐬 𝐫𝐢𝐞𝐧 𝐚̀ 𝐩𝐞𝐫𝐝𝐫𝐞 𝐣𝐮𝐬𝐪𝐮'𝐚̀ 𝐥𝐮𝐢❞
𝟏𝟏.

Bien...

- Saori, viens, je veux te parler. En privée.
Insistais je.

Ran - Oula...

Elle se lève et s'avance vers moi avec une démarche de prostituer.

Je me demande si un jour Dai à pas faillit la ramasser sur le trottoir en mode c'est une pute.

Bref.

Elle arrive à mon niveau, je lui prend le poignet et la tire le long du couloir.

Une fois qu'on est hors de vue des deux autres zozos.

Je la pousse violemment contre le mur en craquant mes mains.

- Ecoute moi bien, j'ai mes règles, je suis donc vraiment pas d'humeur à jouer.

Elle sourit simplement.

Saori - Jouer à quoi ? ~

- Alors soit tu dégages soit je t'éclate la gueule là maintenant.

Saori - Tu peux pas me toucher sinon je leurs dirais tout.

- Tu pourras pas je vais t'écraser la mâchoire de sorte à ce qu'on puisse même plus la réparer.

Saori - Maman va te haïr !

- Tant mieux au moins ça sera réciproque.

Je m'avances vers elle qui me regarde terrifiée.

Rin - Miyo ?

Je m'arrête nettement en lançant un regard noir à saori.

- Ouais ?
Je me retourne vers lui.

Rin - Ça va ?..

- Bah ouais ? Embrouille de frère et soeur t'inquiète.

Rin - Mmh....

Je mets mes mains dans mes poches et me dirige vers l'ascenseur.

- Je vais marcher, ça m'a saoulé.

Rin - Hein ? Mais Miyo-

- Laisse moi.

Les portes se referment et me laisse lâcher un souffle de soulagement.

Je suis sûre qu'elle manigance un truc...

Sérieux pile le jour où l'autre m'appelle elle débarque.

Comme par hasard elle me rencontre, et vingt minutes après elle est dans l'appartement des Haitani.

Très proche de Ran en plus.

Elle doit savoir qu'il est proche des filles alors elle en profite, mais une fois qu'il aura tiré son coup il va l'ignorer salement.

Je sors de l'ascenseur puis de l'immeuble continuant ma route dans mes pensées.

Je tourne pour rentrer dans une ruelle qui me sert de raccourci quand je tombe nez à nez avec la fille au cheveux rose de la supérette.

Sur son visage il y a quelques taches de sang par ci par là et ses mains dégoulinent de sang qui apparement n'est pas le sien.

Elle me regarde froidement avant de sourire et d'apporter son doigt devant ses lèvres pour me faire signe de ne rien dire.

Puis elle part.

Because i'm not a boyOù les histoires vivent. Découvrez maintenant