«Citer la pensée de l'autre c'est regretter de ne pas l'avoir trouvée soi-même »

Chapitre 68: Cette lueur est partie..

"Cette lueur est partie.."

Je vous passe deux mois ouais a chaque mois ou jours ou seconde qui passe me fais perdre espoir ce putain de biper qui sonne pas Nelyssa qui s'affaiblis de jour en jour je deviens fou on est en pleins mois de juin les enfants sont en vacance, Nelyssa m'avais forcé à retourner au studio comment elle m'a menacé que si je retourne pas ou que Koffy non plus elle ne fera plus aucune chimio alors j'y suis allé mais je suis pris de haine a chaque fois que je m'éloigne d'elle ouais une haine in considérable j'avais retranscrit cette haine sur un son que j'avais écrit un jour ou elle été en chimio et que j'avais laissé la place de l'accompagnant à sa mère et comme à chaque fois que je suis loin d'elle je tremble de rage de haine j'écris sans réfléchir je sais même pas a qui je m'adresse dans se son mais je met juste en avant l'ordure que je suis elle m'a éclairé de sa lumière mais quand elle est loin de moi tout redeviens sombre en moi et mes vieux démons ressorte.

Amir : Koffy on va arrêter la pour aujourd'hui t'es pas dedans.

Koffy : Ouais.

Amir : Ousman tu veux essayé quelque chose ou pas t'es pas obligé je ...

Je me lève j'avais besoin d'extériorisé mes vieux démons sont ressortie dans cette chanson que j'avais écrit je me met en cabine et sans interruption je commence à débité les parole sombre.

Point du vue du narrateur

Ousman été derrière le micro l'ingénieur son envoi une instru aléatoire mais Ousman été déjà lancé sans même prendre le temps de respiré ou de faire une pose les mots sortent à une allure folle comme pour ce défoulé comme pour craché sa haine

Ousman : Mort est son avenir proche
Les anges de l'enfer l'escortent
Le hashtag #Vie tient peut-être d'elle mais moi je fermé toute les porte
Trop jeune pour comprendre l'impact des mots
J'm'en fous de c'qu'elle veut tant que j'ai ce qu'il me faut
13 ans déjà mon premier rapport
Depuis mon cœur avais fermé la porte
Aussi bizarre que cela puisse paraître
Après les avoir ken' j'voulais qu'elles disparaissent
Elles voulait qu'on s'aime mais je n'voulais pas
J'étais l'dernier à faire le premier pas
Plus les années passent et plus lourde est la tâche
J'les trouvais pas bonne et j'voulais qu'elles le sachent
Dans la méchanceté j'me sentais si bien
J'étais loin d'imaginer que j'allais tombé love d'un ange qui sans qui aujourd'hui je serais mort.
Faux-cul j'étais comme un "Allez l'OM" scandé par un supporter parisien
Le jour de sa mort je n'en reviendrais pas
La veille moi j'la prenais dans mes bras
Tfaçon j'suis pas doué dès qu'on s'éloigne des draps
J'suis plus dans le "suce-moi et concentre-toi »

Dernier message elle parle au répondeur
J'décrochais pas j'voulais pas faire d'erreur
Qu'elle me dise je pars c'est ce dont j'avais peur
Et la dernière fois que j'entendrais ses pleurs
Elle sera morte et moi je lui ai dirais  "A toute à l'heure"

Depuis je fume pour l'oublier
Je fume pour oublier que j'l'ai tuée
Depuis je fume pour l'oublier
Je fume pour oublier que j'l'ai tuée
Depuis je fume pour l'oublier
Je fume pour oublier que j'l'ai tuée
Depuis je fume pour l'oublier

Amir Issac et l'ingé son se regarde se sont est vraiment violent mais à la fois remplis de puissance de vérité à travers ces mots on sent à quel point Ousman est détruit personne n'ose l'interrompre.

Ousman : Aujourd'hui j'prie pour que l'amnésie s'en prenne à moi
J'assume mes actes en fumant des noix
Pt'être que son avenir me pardonnera
Le jour de l'enterrement j'm'en battrait les couilles
Bizarrement c'est comme si je sentais pas les coups
En même temps j'serais pas là pour voir sa dépouille

J'me serais déjà buté sans aucune embrouille

J'me construis plus dans le regard des autres
J'suis ni des leurs, ni des vôtres, ni des nôtres
Cul terreux loin des beaux bâtiments
Remords hideux, sombre châtiment
Et la dernière fois que j'sentirais son pouls
Elle sera morte et moi je serais déjà au fond du trou.