«Citer la pensée de l'autre c'est regretter de ne pas l'avoir trouvée soi-même »

Chapitre 39 : Une putain de poupée

"Une putain de poupée" 

Au moment où j'allais répondre à ces message il me rappel je me lève et m'eloigne un peu du groupe pour répondre.

Moi : All........

Nelson : LA PUTAIN DE TA RACE T'ES OU POURQUOI TU REPOND PAS !!!!

Moi : Calme toi je suis à l'anniversaire d'un ami.

Nelson : QUOI ???? UN AMI TA CRUS J'ETAIS UN PD TOI OU QUOI RENTRE VITE JE VAIS M'OCCUPER DE TOI RENTRE VEILLE MEUF.

Et il raccroche j'étais sur le cul vraiment j'avais l'habitude de l'entendre crier a tous va mais là j'avais jamais vu une tel violence dans ces mots je regagne la table mais je n'étais plus trop concentré j'étais mal vraiment mais le pire resté a venir on a mangé le gâteau on lui offert ces cadeau puis on à quitter le restaurant on avait passé une bonne soirée malgré tous comme à l'ancienne tout le monde commençais à partir il restais plus que Ousman et Laurie Amir et Roukia et Meliana et Ramzi.

Ousman : Laurie stp tu peux aller chercher la voiture j'ai trop mal a la tête.

Laurie : D'accord mon cœur j'y vais elle lui fait un bisous avant de partir.

Moi : Bon moi je vais vous laisser.

Je fais la bise à tout le monde arrivé à Ousman.

Ousman : Nelyssa regarde-moi.

Je le regarde dans les yeux je ne sais pas ce qu'il y avait dedans j'avais m'impression d'y voir un once d'inquiétude.

Ousman : Tu va bien ?

Moi : Oui pourquoi ?

Ousman : J'avais l'impression que quelque te mettais mal.

Il me connais par cœur cette homme je lui sourit et lui fais la bise en lui disant de pas s'inquiété que j'étais juste un peu fatigué.

Il me fais un signe je regagne ma voiture arrivé à la cité je n'est pas le temps de coupé le moteur que la porte côté conducteur s'ouvre et Nelson monte.

Moi : Putain tu ma fais peur.

Nelson : Cette ami c'est Issac ?

Moi : Euh oui.

Nelson : Le frère de Ousman ?

Moi : Oui.

Nelson : Qui bien sûr étais présent ce soir ?

Moi : Oui mais..

Et là je n'ai rien vu venir il m'a décollé une de ces baffes que je ressens encore sur ma joue je suis abasourdie je le regarde je suis sous le choc et lui respiré comme un bœuf je voyais toute la haine du monde dans son regard je sors très rapidement de la voiture et je cours vers ma tour je l'entend crié mon prénom mais j'ai été plus rapide je suis chez moi en pleure dans ma chambre je réalise pas ce qui viens de se passé pour moi aucun homme n'a le droit de me frapper je me met au lit mon téléphone est inondé d'appel et de message d'excuse mais pour moi c'est fini enfin c'est ce que je pensais mais quel conne j'ai été ..

Une semaine plus tard je viens de finir les cours avec Souley...

On se dirige vers la sortie.

Souleyman : Quesqui y a Nely je te sens triste ces dernier jours.

Moi : Mdr non juste fatigué des cours vivement l'été mdr.

Souleyman : Ca va dans 4 mois et demi inshallah.