~Chef au féminin - Park Jimin x readers~

11.

Il s'approche dangereusement de moi avec le même regard provocateur.

Xienna : Tu n'étais quand même pas sérieux là tout de suite ?

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Il continue de s'approcher.

Xienna : Jimin ??

Il se met accroupi devant moi puis me sourit.

Jimin : Tu es trop bête. T'as vraiment cru que j'étais sérieux ?

Xienna : T'es trop con.

Jimin : Non, juste intelligent. Bon, comment on va pouvoir sortir de là maintenant ?

Xienna : Comment ça "on" ?

Jimin : Eh bien, toi et moi. Quelle question.

Xienna : Non. JE vais essayer de sortir toi tu es où il faut.

Jimin : Comment ça ?

Xienna : Tu as ta place ici et tu es en sécurité.

Jimin : Je ne te laisserai jamais seule. C'est hors de question.

Xienna : Crois moi. Nous ne nous connaissons plus. nous n'avons jamais aucune discussion ensemble. Je suis ton ennemie.

Jimin : Mais je ne peux pas !

Xienna : Tu n'as pas le choix. C'est ta seule chance de t'en sortir sans aucune conséquences.

Jimin : Et toi dans tout ça ?

Xienna : Ne t'en fais pas pour moi.

Jimin  : Je refuse. Je refuse de te considérer comme mon ennemie. 

Xienna : Mais pourquoi ?! Jimin, ta vie en dépend ! Alors pourquoi ?

J'ai les larmes aux yeux. Je ne veux pas qu'il lui arrive quelque chose. Je m'attache de plus en plus à lui. Plus le temps passe, plus je ressens ce sentiment. Je ne devrais pas, mais c'est plus fort que moi.

Jimin : Parce que je t'aime Xienna ! 

Xienna : Comment ça ?

Jimin : Tu m'as très bien entendu. Je ne peux pas m'empêcher de penser à toi ni de m'en faire pour toi ou même faire tout ce que je peux pour m'approcher de toi !

Xienna : Mais tu ne peux pas.

Jimin : Ose me dire dans les yeux que tu ne ressens rien pour moi et je m'abstiendrai.

Xienna : Je...

Bien évidemment que je ne peux pas. Je l'aime et lui mentir serait cruel. J'ai déjà dit trop de mensonges dans ma vie pour continuer ainsi. Il a réussi. Cet idiot a réussi me faire tomber amoureuse de lui.

Jimin : C'est bien ce que je pensais.

Il se relève, pose ses mains sur mes joues et m'embrasse passionnément comme si c'était la première et la dernière fois.  

Jimin : Aller, maintenant on y va.

Il me détache de toutes les cordes qui me retenait à la chaise m'aide à me relever, car malgré tout, j'étais toujours blessée. Il sort un pistolet qui était dissimulé dans sa veste. Normal me diriez-vous, c'est le fils du chef de la mafia de son gang. Je le regarde avec un sourire provocateur.

Xienna : Qu'est-ce que cette arme te donne un charme. Je vais en devenir jalouse.

Il me fait un sourire en coin.