Je suis en plein stresse, je trifouille ma jupe et lisse ma chemise.
Mes cheveux sont coiffés en queue de cheval bouclée et mon maquillage est naturel mais présent pour me sublimer ou plutôt cacher mes cernes.
Je suis dans une énorme maison assise sur un canapé confortable, doux et chic. La bâtisse est un magnifique manoir, que je présume, doit appartenir à la famille depuis des générations. Une maison qui exprime la puissance de la bourgeoisie.Le Majordome qui m'a ouvert la porte m'a laissé patienter dans un salon privé avec une tasse de thé. C'est assez cliché des mœurs de riche, pour autant cela est agréable d'être traitée de la sorte ! Je peux même affirmer que c'est la première fois que l'on m'accueille avec autant de considération.
Seule, je révise donc ma présentation de peur de perdre tous mes moyens. Cet emploi est vraiment important pour moi, je dirais même vitale !
Dix minutes était déjà passé sans avoir des nouvelles de mon entretien. Le majordome apparut confus, il s'excusa pour le retard de Monsieur. Le prétendu maitre de maison, dont le nom m'avait déjà échappé. Et sans aucune autre explication, il s'éclipsa.
N'étant pas une personne rebelle et effrontée je prie mon mal en patience. Sagement et tristement, j'attendis 45 minutes sans aucune distraction.Un bruit sourd comme un objet qui se fracasse contre le sol, suivit de cris retentirent dans la maison. Mon premier réflexe fut de sortir de cette pièce dans laquelle on m'avait enfermé afin de briser cette routine de l'ennuie.
Deuxièmement, Je reconnus les pleurent d'un enfant, ce qui était le cœur de métier pour lequel je postulais.
Je marchais donc à l'aveuglette dans une somptueuse maison décorée avec goût. Dans mon empressement j'eu le temps d'apercevoir beaucoup d'œuvres d'art. J'étais complètement séduite par cette visite furtive.
J'arrivais enfin dans le hall de la maison, près de la voix que j'entendais.Un petit garçon blond aux cheveux bouclés était en pleure face au majordome démuni. Il était tellement adorable et mignon que je me pris immédiatement d'affection pour lui. En analysant rapidement la cause de toutes ses larmes, je compris le drame de ce petit être. Surement en jouant, il a du cassé le vase étalé sur le sol et être en état de choc. Toujours en pleure, je prie la main de ce petit bout pour vérifié qu'il n'avait aucune blessure.
Je pris la parole pour rassurer ce petit homme :
- Tu t'es fait mal ?
Ma voix était plus douce qu'a l'ordinaire pour ne pas l'effrayer et le rassurer.
Je continuais à toucher ses mains puis son visage. Il se laissa faire en pleurant et en reniflant.Sans réponse de sa part, je le prie dans mes
bras et me retourna pour questionner ce vielle homme :- Quel âge a-t-il ? dis-je l'enfant dans mes bras.
- Il a deux ans Mademoiselle. En regardant le majordome je compris qu'il était inquiet plus que de raison. Est-il blessé ?
- oh non, ne vous inquiétez pas, il a juste eu peur ! Un gros câlin suffira.
Je me concentrais sur ce petit être qui me serrait très fort et je pris ce que je présumais être son doudou ainsi que sa tétine.
- Pourriez vous m'indiquer la cuisine s'il vous plaît, demandais-je
A ce même moment une silhouette apparut dans l'escalier,
Un homme très grand et carré fit son entré.
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Dear Mr Glenn
RomanceÉden, une jeune femme de 20 ans déterminée à réussir, décide de partir étudier en Ecosse. Grâce à sa ténacité, elle décroche le meilleur travail qu'elle pouvait espérer ! S'occuper d'un petit garçon. Oui un petit rêve ! Mais à quel prix ? La ren...