Assassin's Creed: Last chance, before the end

Amaury Vidic

<ul style="margin: 0px; padding: 7px 4px; list-style-type: none; position: relative; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; line-height: normal; text-align: left;">

<li class="post" style="margin: 0px 0px 8px; padding: 10px 0px 0px; clear: both; line-height: 1.3em; background-image: url('http://image.jeuxvideo.com/css_img/defaut/sep_444.gif'); background-position: 50% 0%; background-repeat: repeat no-repeat;">"Alors, monsieur Bertson, comment trouvez-vous l'Animus ?" 

L'homme âgé avait posé cette question d'une voix intéressée, sans toutefois quitter des yeux son écran. 

-Co...comment ? 

-Je vois. dit-il en frottant sa main contre sa barbe jaunâtre. 

Il se levait ensuite, avec le plus grand calme dont un être humain est sans doute capable et marchait sereinement jusqu'à la table ou était couché Roman et s'assit sur une chaise transparent à quelques centimètres de celle-ci. Il retira alors ses lunettes en verre et les posa sur une sorte de table de chevet blanche où se situait un verre d'eau qu'il tendit à Roman. 

-Tenez, buvez. déclara-il en souriant. 

Roman, tout en buvant, senti qu'il reprenait de l'énergie et qu'il était comme "libéré" d'un poids coincé au fond de son ventre. Il sentait qu'il se réveillait. 

-Je suis sûr que vous vous êtes déjà demandé qu'est ce que vous faites ici ou bien tout simplement où vous êtes. 

-Si, une fois ou deux, avant qu'on me plonge dans cette foutue machine ! 

-L'Animus. coupa l'homme fermement en resserrant son visage. 

Il était assez imposant de taille, un peu enveloppé, les cheveux gris autrefois blonds coiffés en arrière et formant des boucles à certains recoins. Ses yeux étaient bleus clairs et il avait une barbe jaunâtres très prononcée, atteignant les aisément les cinq centimètres. De nombreuses rides se promenaient tout le long de son visage, le faisant ressembler à première vue à un vieil homme sympathique et heureux. 

Il était vêtu d'une longue veste blanc cassé, laissant voir une chemise très blanche rentrée dans un pantalon noir et nouée par une cravate noire parcouru par une ceinture et portait des chaussures italiennes. 

-Oh, vous regardez mes chaussures ? Voyez vous, j'ai toujours eu un faible pour les chaussures italiennes, elles me donnent un air...comment dites vous...chic ? dit il en rigolant. 

Roman ne pu s'empêcher d'esquisser un sourire. Il eu un peu honte de s'être énervé contre ce vieil homme si sympathique. 

-Leila, allez me chercher l'empreinte mémoire que je puisse l'analyser, je vous prie. 

-Bien, professeur. 

La femme brune quitta ensuite la salle, ses pas rapides claquant sans cesse contre le sol transparent et propre de la salle, jusqu'à ce que la porte se ferme automatiquement en dégageant de l'air froid. 

-Qui êtes vous ? demanda ensuite poliment Roman. 

-Ah, j'attendais impatiemment cette question. Je suis je suis le professeur Vidic. Amaury Vidic. dit-il sur un ton enjoué, contrastant parfaitement avec son apparence. Je suis responsable de la section 9 du département de la recherche génétique au Brésil. 

-Au Brésil ?! s'exclama Roman en se redressant brutalement de la table, sentant qu'il allait imploser. 

-On ne vous a pas mis au courant ? Soit, vous vous trouvez au Brésil dans les locaux d'Abstergo Industries au Brésil. 

-Mais comment j'ai bien pu atterrir au Brésil ? 

-On vous a enlevé. 

-Enlevé ?! cria-t'il dans toute la salle. Soudain, il se souvint de la bagarre qu'il avait mené, des policiers, des hommes en uniforme bleu, de l'avion, de la balle qu'il avait reçue.