Polaris (Reader x Bonten)

01

Troisième personne POV.

"Quatre semaines se sont écoulées depuis l'incident de l'accident de l'avion qui s'est produit sur un champ abandonné à la périphérie de Shibuya, avec cinquante de ses passagers déclarés morts ; le fonctionnaire n'a pas encore confirmé l'identité des victimes et les détails de l'avion mystérieux.

L'enquête est toujours en cours, pour découvrir la cause de l'accident et l'origine de l'avion et de ses passagers..."

"Éteins moi cette merde, ça me donne mal à la tête."

Suivant les ordres de son patron, l'homme landroit a éteint la télévision, revenant du côté de son patron immédiatement après.

"Bonzu vous a envoyé ?" L'homme d'âge moyen leva le front alors qu'il regardait la figure de la femme devant lui, son subordonné lui donnant également une fois avec son regard rempli de critiques de jugement.

"Oui." Elle a répondu brusquement, son expression ne donnant rien alors qu'elle regardait les hommes éclater dans des moqueurs moqueurs.

"Je ne savais pas qu'il enverrait une femme faire son sale boulot, n'êtes-vous pas censé réchauffer son lit à la place." L'homme s'est penché, se penchant sur son siège glorifié alors qu'il prenait une longue traînée de tabac ; son regard se glorifiait de convoitise alors qu'il regardait sans vergogne sa forme.

"S'il ne te traite pas correctement, tu peux venir dans le mien ~"

Une autre série de rires dégoûtants.

"Je crains de devoir faire la charcuterie de votre offre, je ne suis ici que pour récupérer les marchandises en votre possession." Elle a répondu en haussant les épaules du sac qui pendait au-dessus de son épaule. "Voici votre salaire." Elle a laissé tomber le sac sur le sol, et l'homme a fait signe à l'un de ses associés de le récupérer.

"Comptez-le et assurez-vous qu'il est complet." Il a ordonné, lui rendant son attention. "C'est dommage chérie, mais je ne peux pas te forcer, n'est-ce pas ?" Il a haussé les épaules, un sourire sinistre enroulant ses lèvres gercées.

Après s'être assurés que l'argent était intact, ils lui ont remis la marchandise.

"C'était un plaisir de faire des affaires avec toi chérie, j'espère que nous nous verrons plus." L'homme sourit, les coins de ses yeux froissés.

"C'est très peu probable."

Elle dit franchement, en se tournant vers la sortie.

******

Votre point de vue

Une fois sorti, vous avez levé les yeux vers le ciel pour voir que la lune faisait déjà connaître sa présence à tous, palpitant avec des rayons empruntés à son partenaire ; le soleil.

Les rues étaient vides, et vous avez pris du réconfort dans son silence alors que vous regardiez les étoiles se réveiller dans l'obscurité.

C'était étrangement apaisant, le seul son étant le doux bruissement des arbres endormis dans la brise nocturne.

Jusqu'à...

Cliquez.

Sentant un objet dur mais rafraîchissant appuyer contre l'arrière de votre tête ; vous avez glissée vos mains derrière votre dos alors que vos pas s'arrêtaient.

"Qu'est-ce que tu veux ?" Vous demandez ennuyeusement, déjà habitué à cette configuration.

"tu ne pensez pas que vous serais libre après avoir manqué de respect au patron, n'est-ce pas ?" Une voix gravele profonde a rebondi sur vos oreilles, bouillonnant évidemment de rage.