Ce mafieux est Obsédé

c'est fini... j'arrête tout

Je voulais lentement les yeux et je perçois une douleur aiguë le traverser la tête. je gemis lentement de douleur et au moment où je voulais me frotter les yeux je remarque tu ne peux pas bouger je gesticule ton bien le mal que je ressens mais mon corps est paralysé. D'un coup, je remarque que je ne suis plus à l'école mais dans un endroit humide et mal odorante. Je commence à paniquer et a hurlé quand une main sorti tout droit de l'ombre est venu s'abattre sur ma joue. Je redouble de pleure.

_ chute, me dit doucement une voix, si tu continues à pleurer j'aurais du mal à me retenir.

_ qu'es que je fais là ? Demandais je paniquer, je vous doit?

_ non petite, on suit seulement les ordres.

D'un coup, je vois le visage de mon oppresseur. Et il n'était pas seul, deux hommes était derrière lui. Il se met à me déshabiller.

_ qu'es que..... QU'EST-CE QUE VOUS FAITE?? LÂCHEZ MOI!!! Hurlais je a ces hommes.

Mais au lieu de me relâcher, il me frappe plus encore et encore en me criant de me taire. Quand l'un a approché sa main de ma bouche, je la saisie avec mes dents en la mordant comme ci ma vie en dépendait. L'homme poussa un juron avant de l'injecter un tranquillisant et après.....

C'est trop dur, je ne peux pas raconter ça dsl.

***
Je me réveille à coter d'une beigne a ordure. Tout est flou dans ma tête et au moment où je me redresse, je sens un affreuse douleur au niveau de mon intimité, et la j'ai compris. Sans le vouloir, les scènes de viol dont j'ai été victime reviennent dans ma mémoire et des perles d'eau salée se jettent en cascade sur ma joue. Je me lève malgré la douleur et commence a faire la marche jusqu'à la maison.

J'aperçois la maison au loin et je me force à avancer pour l'atteindre. Dès que je rentre, j'ai a peine vu la première marche d'escalier que je reçois une gifle monumental de ma mère.

_ ou était tu, Salope???

Je n'avais pas la force de lui tenir tête aujourd'hui. Je me sens détruite moralement je n'arrive pas à comprendre à quel point les gens pouvait être doté d'une telle cruauté !!   J'ai si mal entre mes jambes que j'arrive à peine à marcher et elle elle ne cherche même pas à savoir ce qui m'arrive qu'elle se jette directement sur moi.

_repond, fait vite! Me crie t'elle.

_ sortie de l'école quelqu'un m'a enlevé, attacher et violer avant d'être abandonné à côté d'une Benne à ordure.dis je frénétiquement.

Je sais, dis comme  ça ne paraît pas réaliste mais je n'avais vraiment marre. Marre de la vie, marre de moi-même, marre de ma mère, marre de l'école, fatigué de tout!! je voulais raccrocher, sincèrement je n'avais plus rien comme appui, plus rien ne m'accrocher à la vie, plus rien même ne m'étonnait.

_ TU MENS, dit elle en m'assenant une autre gifle.

_ PUISQUE JE TE DIS, REGARDE TOI MELE MON CORPS!!! AMMENE MOI MEME A L'HOSTO.

_ Ferme ta bouche, tu penses que je suis dupe? ta sœur m'a dit que lorsqu'elle est rentré tu as vu monter dans la voiture d'un gars et que vous avez démarré vers la direction opposé à la maison précisément à 16h.

MON DIEU, je n'arrive pas à y croire !!à 16h j'étais près de la poubelle en train de jeter les ordures que je devais jeter. Où m'a-t-elle vu?? voici celle qui vient encore creuser ma tombe!! je me demande sincèrement ce que je lui ai fait pour qu'elle mente de la sorte.

_ mais plus que- elle me coupe on me frappant de plus belle.

_ mon Dieu que je fais pour avoir une fille qui a sorti non seulement elle me fait honte mais en plus il joue encore prostituée. Tu veux maintenant ouvrir tes fesses à tous les passants de la rue c'est ça ?? sache que dans ma maison je ne tolère pas ça et tu vas apprendre dès aujourd'hui.

J'ai vraiment eu mal qu'elle ne me crois pas. Mais elle c'est elle. Je tourne mon regard pour regarder papa mais à mon grand étonnement lui aussi semble la croire. Il ne fait pas confiance, il a l'air déçu et lorsque j'ai vu ses yeux remplis de dégoût, j'ai totalement été brisé et là c'est sûr plus rien ne me rattache à ce monde.

_ papa.... Dis je en pleurant.

Il ne dit rien.

Ma mère me traîne juste qu'au sous sol ou elle m'attache à de vieilles cordes pour me laceller le corps avec un fouet. Je suis la seule qui a toujours hérité de ce traitement Erza elle ne l'a jamais senti sur sa peau mais seulement moi elle me fouette de plus belle et je ferme mes dents pour me retenir de crier c'est coup augmente en même temps que sa rapidité et elle semble déchargées toute sa colère et frustration sur moi. je doute même que c'est le fait que j'ai découcher que lui rendait ainsi. j'encaisse parce que je n'ai vraiment plus rien à dire, plus rien à faire et plus rien à foutre de ce monde je suis vraiment fatiguée. je pense à ma grand-mère, celle qui a toujours su me comprendre et la seule qui sait ce que je vis. je vois sa lumière qui m'appelle et je sens que j'irai la rejoindre très vite, très très vite et ça je n'aurais pas besoin d'attendre le destin.

* Le lendemain

Je n'ai pas pu fermer l'œil de la nuit trop occupé à pleurer et à essayer de supporter la douleur. Tout mon corps était blessé les marques du fouet était incrusté dans ma peau. J'avais trop mal hier que j'ai même pas pu m'allonger aujourd'hui je vais passer la journée dans la chambre je ne vais même pas un peu sortir.

_ eh la prostituée ?? Descend viens faire la vaisselle, ou bien tu annules tes rdv de la semaine ? Dit ma mère, que j'ai même honte de l'appeler ainsi.

Je suis sorti de ma chambre à contre-cœur pour faire ce qu'elle m'a dit de faire personne ne me jette un regard trop occupé à faire ce qu'ils font tant bien l'unitilité de la chose.
Pour ma mère, Ivana est morte mon nouveau nom est la prostituée elle m'a appelé comme ça toute la journée mon père n'a pas dit un mot, il m'a adressé aucun regard. Ma Sœur celle qu'elle pouvait très bien soupçonné de ce genre d'activité, ne m'adresse aucun regard et fait profil bas. Je sais qu'elle est plus vierge, qu'elle saute de mec en mec, que ses rendez-vous elle revient toujours avec des marques suspectes... mais apparemment et comme toujours je suis la seule à le voir et quand c'est moi qui n'a rien fait, qui fini violer, on dit que je suis une prostituée. Ha! Quelle ironie !! C'en est presque risible.

Et ça dure ainsi pendant une semaine entière jusqu'à ce que je décide de vraiment y mettre un terme....