Ce mafieux est Obsédé

Chapitre 14

PDV ERICK

J'avance dans la pénombre de cette viel usine. Elle pu la mort. J'arrive pret de Garko et je sors mon arme.

_ tiens donc, dit il essoufflé, est ce la mort qui vient me voir ?

_ je vois que tu as la force pour parler Garko. Dit moi quelle est ton but, et qui t'envoie.

Il se met à rire. Ça m'énerve tout au plus. Je sais que voler ma marchandise n'était qu'une diversion il est bien trop malin pour faire ça aussi bêtement.

_ cherche. Il me le dit tout hilare.

   Un très large sourire, sadique s'étire sur mon visage. Je fais le tour de la pièce et trouve une pince a ferraille, un poignard, une clé a molette et j'en passe. Je les rapporte prêt de lui. Je peux entendre sa respiration devenir saccadée. Je prend le poignard et m'approche de lui.

_ N.....non, a...ttend .

_ Trop tard.

Et avec le poignard, je lui tranche un doigt, et il hurle de douleur. Pour mon plus grand plaisir. Je fais courir ensuite la lame sur sa peau en laissant des jolis petits traits puis je tranche ensuite son oreille gauche.

_ JE VAIS PARLER, dit il en criant, c.... C'est ce...celui.

_ Parle bien, je n'ai pas toute la nuit.

Il sursaute de peur, avant de reprendre.

_ Il voulais la fille, le....le parrain sicilien, la diversion était pour la prendre mais il  a eu un empêchement.

Sans plus attendre, un coup de feu retenti, marquant la fin de cet échange. Mon corps bouilli de rage, comment ose t'il convoité ce qui m'appartient? Je détruis tout ce qui m'entourent animer d'une rage sans nom. Dès que j'ai eu un semblant d'apaisement je suis sortie.

Choqué de voir ma petite chose les yeux larmoyant j'avance a pas contrôler vers eux.

_ ça va ? Dis je a son attention.

Mon bras droit me semble bien tendu et sur le choc de quelques choses lui aussi.

_ oui, dit elle, mr Sergey me racontait l'histoire de la naissance de sa fille.

_ c'est une histoire émouvante, en effet mais je ne te savais pas aussi sensible. Viens en s'en va. Sergey, nettoie le reste.

Arrivée au QG, la bonne dame fonce dans sa chambre sans un regarde en arrière. Quelle mystère cette fille. Je m'en vais dans la mienne faire tomber toute c'est odeur de sang sous une bonne douche.

****

Je sors de mon bureau en colère,  parce que j3 viens d'apprendre que ma petite chose refuse encore de manger. Depuis ce matin, Elle est hostille avec tt monde, ne parle pas et reste enfermer dans sa chambre.
J'ouvre la chambre dans un gros fracas et mon regard se dirigent droit sur elle. Elle était vêtu d'un simple pantalon bagui et d'un petit haut sauter qui laisse entrevoir son ventre. Dio, quelle etait sexy. Elle se serai encore plus si elle ne me jettait pas en ce moment son plus beau regard noir.

_ pourquoi refuse tu de manger? Je demande calmement.

_ Sors d'ici, je ne veux pas te voir, murmure t elle.

J'avance doucement vers elle, surpros par son audace.

_ je suis ici chez moi petite chose, et tout ce qui est ici m'appartient, y compris toi, je dis en carresant son visage.

Elle me repousse violemment et tente de giffler. Heureusement que j'ai pris sa main au vole sinon je ne donnerai pas chère  de ma peau. Comme elle voit qu'elle n'a pas reussi a me giffler, elle me crache sur le visage.

Une douce fureur me saisit. Mes yeux s'assombrit et la main me demange. Oui, a cet instant j'ai envie de lui fesser tellement fort qu'elle ne pourra plus s'assoir. Une sombre idée me vient a l'esprit.

_ Soi prête dans 10min,j' annonce en peinant a retenir mes envies. Mes hommes viendront te chercher.

_ pourquoi faire? Je n'irai nulle part avec toi. Crache t'elle.

Je souris et sort simplement de sa chambre, en savourant d avance se que je vais lui faire.

* PDV Ivana

Je ravale mes larmes, encore une fois. Bon sang que je hais cet homme ! Si seulement je avais bien vu où je montais, pensais je dans un murmure. Je me rassis au bord de la fenêtre en contemplant, sans vraiment regarder le soleil orange du soir.
 
Tout a coup, ma porte s'ouvre dans un gros fracas laissant apparaître des hommes armés. Ils me dévisage et m'indique de les suivre.

***

Après 30 min de voiture, j'arrive devant une plaine rocheuse. Seul le bruit du vent et de quelques feuilles mortes se fait entendre. J' avance tout droit et après avoir parcouru une bonne distance, toujours accompagné de ses hommes, je vois Erick assis debout devant une chaise. Je suppose que c'est la sienne. Suivant son regard, je vois plusieurs bouteille aligner les unes derrières les autres et étaient séparer d'environ un mètre. Lorsque je reporte mon regard sur lui,je remarque qu'il me fixe a son tour. Mes yeux tombent presque immédiatement sur l'arme qu'il tient dans sa main et mon sang n'a fait qu'un tour.

_ viens cara, n'aie pas peur.

La peur me saisit, et l'immobiliser. L'un de ses gardes me pousse légèrement pour m'inciter a avancer.
 
_ Tend tes mains.

C'était un ordre. Je lève alors mes mains toute tremblante, de manière a lui montrer les paumes et la a ma plus grande terreur, il y dépose l'arme qu'il avait tantôt dans ses mains.
Mon cœur bat si violement, que j'ai mm l'impression que je vais m'evanouir! Je n'ai jamais toucher une arme de ma vie.

Après m'avoir bien regarder,il reporte son regard sur la plaine rempli de bouteilles.

_tu vois ces bouteilles, il y en a 30 alignés les unes derrière les autres et  chacune est  séparé d'un mètre de l'autre. Chaque bouteille représente une minute et chaque bouteille manquer représente une heure de punition. Tu as une minute pour tirer sur une seule bouteille si après que les une minute soit écoulé et que tu n'as pas tiré cela se transforme en une heure de punition. Donc tu as 30 minutes chronométrer pour éclater toutes ces bouteilles. Si tu l'est rate tous, je vais emménager ta chambre dans la pièce a torturé où il n'y ni lumière ni fenêtre et plein de sang. Si tu en rate 20, tu dormiras attacher au vieux chêne de mon jardin et si tu en manque 10, tu dormiras avec moi des a présent. Aucune chance que tu les réussie tous.

Je n'ai jamais aussi trembler de toute ma vie. A telle point que je n'ai pas senti quand m'avait position née dans un cercle pour limite. Tout mes organe était secouer. J'en avais les yeux embuée et....

_ prêt, retentit la voix d'un homme, TOP!

Les une minute avait commencé. Je positionne mes bras, les deux mains sur l'arme et les yeux river sur la bouteille. Je tremble tellement et quand je tire, la balle passe a coté.

_ STOP! Manquer. Position, reprit l'homme.

Je crois que je vais faire une crise, l'air circule difficilement. Les muscles me fond mal. D'un coup sec , je tire encore et je l'ai encore louper.
Ça y est, je vais faire une crise. J'ai l'impression que je vais vomir mon cœur tellement il battait déraisonnablement. Les larmes sont coincés dans les yeux. J'ai si mal....

***

Je tire, avec le peux de force qu'il reste dans mes bras et éclate la dernière bouteille. Qui était a plus de 30m de moi.
Je m'écroule sur le sol, en attrapant ma gorge. Je fais une crise de panique! Les larmes coulent a Flo et mon cœur est victime de tremblement violent. Erick s'approche et me prend dans ses bras, en me parler dans sa langue natale, tout en me caressant la tête. Je niche ma tête dans son coup tout en pleurant plus fort.

- je...... J'ai ..... Sniff.

_ shut, c'est fini, tu as été formidable, tu es incroyablement douer Ivy.

Si ce n'est pas que j'étais priver de ma voix temporairement, je l'aurai cracher dessus et insultant lui et sa famille de malade.