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Une semaine après..

La nuit, commence à tomber lorsque je quitte mon campus accompagné de mon amie. Zïa et moi discute de notre prochain travaux à rendre, on avait décidé de se mettre ensemble. Se plaignant de chaque étape ou encore des certain détails a apporté à notre rendu. Je sentais parfois que son regard se concentrait sur ma blessure à la lèvre, me rappelant ce que j'ai vécu durant cette soirée.

Cette homme, lui ou encore mon agresseur, je pouvais le nommé de différentes façons mais, je sais qu'il réapparaîtra dans ma vie. Il me l'a fait comprendre, il veut savoir mon nom. Ma vie. Mon passé. Je l'ai vu à travers ses yeux remplis d'haine tourné vers moi.

— Farah ? Zïa, claque ses doigts entre eux pour me sortir de ma bulle. Tu m'écoutes ? Rigole-t-elle,

Pourquoi tu envahis mes pensées ? Connard.

Je remets correctement mon sac à main qui glisse de mon épaule et la regarde en souriant en lui disant :

Excuse-moi tu disais ?

Que nous devrions aller à la bibliothèque pour notre travaux, demain.

— Effectivement, ça pourrait être cool, lui répondais-je avec un faux sourire.

Je prends mes clés de voiture dans mon sac, saluant Zïa d'un signe de la main en me conduisant vers ma voiture. Je commence déjà à avoir froid, le climat baissait de plus en plus à Sydney. J'ouvrais la portière de ma Mercedes, j'étais fan de ma voiture. Vingt-et-un ans et j'avais déjà pu m'acheter moi-même ma voiture sans aucune aide de ma famille.

Je dépose mes affaires sur le siège en cuir noir à côté et claque la portière derrière moi, j'allume le moteur qui gronde d'impatience. J'allume le chauffage et démarre, et lance ma playlist sur Spotify. Le son greedy de McRae, passe dans l'habitacle.

Maintenant que je commençais que le travail que à vingt-et-une heure, j'avais le temps de relire un peu mes cours. Cela dépendait de mon envie ou des envies de Travis, de me faire réviser autrement...

Je tape sur le volant avec mes doigt en fredonnant la musique, j'arrivais déjà à mon appartement. La circulation a été fluide ne me déplaisant pas, j'aperçois la voiture de Travis signe que lui aussi était rentré. Lorsque je sors de la voiture, il fait entièrement la nuit a déjà prit le dessus. Je me dépêche d'arriver devant la porte et bip ma clé.

Je monte dans l'ascenseur et met mon étage, je patiente sur mon téléphone espérant que personne demande l'ascenseur durant que je monte. Plutôt, impatiente de rentré enfin chez moi, au calme, en sécurité, près de Travis.

J'ouvre enfin la porte sentant une bonne odeur de chocolat dans mes narines. Un sourire enfantin prends forme sur mes lèvres, je ferme la porte à clé et avance dans le salon. Lorsque j'arrive, l'image de Travis fredonnant une musique en sortant le gâteau du four apparaît devant moi.

Enfin, rentrer ! Pile à l'heure, dit-il en me faisant un clin d'œil. Il sait que j'ai un amour infinie pour le chocolat. Il enlève le gâteau au chocolat du moule pour le mettre dans une assiette.

Tu me connais vraiment par cœur, lui disais-je en contournant l'îlot pour l'atteindre.

T'as vu ça, répond-il en m'attrapant par la hanche et m'approche de lui en la serrant. Il saisit mon menton et déposa un léger bisou sur mes lèvres avant de me relâcher.

Il attrape un bout de gâteau et me le tends pour que je le goûte, j'ouvre la bouche et mange le gâteau, il avait laissé des morceaux de chocolat à l'intérieur.

Le Sans-cœurOù les histoires vivent. Découvrez maintenant