𝐈𝐂𝐄 { 𝐓𝐄𝐑𝐌𝐈𝐍𝐄́𝐄 }

𝐂𝐇𝐀𝐏𝐈𝐓𝐑𝐄 𝐒𝐄𝐈𝐙𝐄 : 𝐁𝐑𝐔𝐂𝐈𝐀𝐓𝐔𝐑𝐀

HENA WILSON

𝑻𝒘 : 𝑩𝒓𝒖̂𝒍𝒖𝒓𝒆𝒔

Un long soupir s'échappait quand mon front se posait durement contre le bois de ma porte fermée. Il était enfin part...-

Non, mais dites-moi que je rêvais.

Un cri de rage sortait de mes cordes vocales en me redressant. J'ouvrais rageusement la porte. Et croisait mes bras sur ma poitrine en le voyant.

Garé devant chez moi, le moteur qui grondait encore

La fenêtre du côté passager s'ouvrait quand c'était avec un air moqueur qu'il me demandait :

-  Tu ne veux toujours pas de moi, curicino ?

-  Même pas en rêve.

-  Tu es sûre ? Tu ne veux pas de ma compagnie ?

Je le regardais longuement sans rien dire, au bout de plusieurs minutes, je l'entendais de nouveau rouspéter avant qu'il n'éteigne sa voiture, refermait les vitres et de se pointer face à moi. 

Scott me souriait avant de passer devant moi et d'entrer, mais je sentais quelque chose s'enrouler autour de mes cuisses.

Un cri aigu sortait de ma bouche quand je me sens lever du sol et tomber sur son épaule. Et c'était ma main qui se relevais avant de lui donner un grand coup à l'arrière de la tête, puis se posait sur mes fesses.

Les cachant du peignoir qui s'était relevé.

-  Je les ai déjà vues, tes fesses, tu as les plus belles, pas la peine de les cacher.

-  Pfff

Que voulez-vous que je réponde à ça ?

J'avais déjà remarqué qu'il avait un égo surdimensionné, mais en plus un esprit plus que pervers.

Je plaignais sa femme. Enfin, qui voudrais un jour se marier avec lui ?

Aucune personne normalement constituée n'acceptera, à part si une dote de plusieurs milliards étaient donnée, pourquoi pas.

-  AAAHHH, mais ça NE VA PAS ?

-  Ça va parfaitement, bon, je suis prêt pour les recherches, moi.

-  Pour commencer, tu vas finir par me lâcher et me laisser aller m'habiller, parce que moi, je n'ai pas dit oui, encore.

-  Pas besoin de t'habiller, je t'ai déjà vu nue. Et pas que mes yeux d'ailleurs... Ma langue a exploré chacun de ses recoins les plus beaux. Piccola ragazza..-

𓅨

« -  Bonne fille. »

« -  Comme tu es belle. »

« - Tu n'es pas docile, dommage, certaines filles, elles le sont. Tu devrais prendre exemple, piccola ragazza. »

« - C'est malheureux pour toi, tu es grosse, pourtant quand je te regarde, tu me fais bander, piccola ragazza. »

« -  Tu as des formes de rêve, certaines filles rêvent d'avoir un corps comme le tien, et toi, tu le tues en devenant grosse, c'est une honte, saleté de ragazza. »

« -  Seigneur, arrête de manger et va maigrir, ce n'est pas comme ça que tu te trouveras un mari qui pourra t'assurer une descendance digne piccola ragazza. »