𝐈𝐂𝐄 { 𝐓𝐄𝐑𝐌𝐈𝐍𝐄́𝐄 }

𝐂𝐇𝐀𝐏𝐈𝐓𝐑𝐄 𝐕𝐈𝐍𝐆𝐓 𝐃𝐄𝐔𝐗 : 𝐏𝐀𝐑𝐀 𝐂𝐎𝐍 𝐌𝐄

HENA WILSON

𝑷𝒂𝒓𝒍𝒆 𝒎𝒐𝒊

𝑻𝒘 : 𝑪𝒐𝒏𝒕𝒆𝒏𝒖 𝒔𝒆𝒏𝒔𝒊𝒃𝒍𝒆

Merde

Merde

Merde

Merde

Merde...

Tout ça... Non, non, non.

Qu'est-ce qu'il s'était passé pour que tout parte en poussières. Qu'est-ce qu'il s'était passé dans ma putain de tête.

Pourquoi je n'avait pas fermé la porte ?
Pourquoi je ne l'avait pas kidnappé ?
Pourquoi ? Pourquoi ? ET POURQUOI ?

Mouiller jusqu'au cou. Et il  fallait que ça tombe sur lui. Sur lui. SUR PUTAIN DE SCOTT...-

-  Hena avance ta putain de voiture, je vais m'énerver.

Je crois que l'égorgement était de trop, je pense. Mes lèvres se faisaient mordre par mes dents, pourquoi j'avais un pique de stress ?

c'étaient la première fois que cela m'arrivait. Et j'avais voulu habiter encore plus loin, et c'était pile devant ma voiture que celle de Scott se stoppait.

Alors j'éteignais mon contact, ma portière cédait, elle aussi, son doigt appuyait sur l'encoche de la ceinture et mon corps sortait de cette voiture.

Toujours sous l'emprise du blond.

Sa main se posait directement à l'endroit de ma poche, celle-ci sortait mes clés et il ne prenait même pas le temps de me demander quoi que ce soit, car la porte était déjà ouverte.

Il me faisait entrer, malgré son énervement, en douceur. Il ne m'avait pas poussé comme si j'étais une sorcière. La porte claque, la clé tourne.

Hena, tu était dans la merde.

-  Assieds-toi, parle.

Je ne relevais pas sa dernière phrase, car mes pieds claquaient contre l'escalier. Je voulais juste me déshabiller et me laver. j'avais l'impression de puer le fer. De puer le sang.

Une fois arrivée à l'étage, je l'entendais souffler. Alors, je me dépêchais, commence par enlever mes talons, suivi par mon pantalon en cuir. Quand c'était le son de ma porte qui grinçait.

Juste. Derrière. Moi.

Ma putain d'heure avait sonné.

-  Hena, tu vas me faire vriller. Tu cherches quoi là ?

- J'ai le droit d'aller me laver ou je dois te demander la permission ?

-  La seule permission que tu auras de ma part, c'est ton putain de consentement pour te mettre dans ton lit.

Pardon ?
Mes yeux s'agrandissaient.

Mais quoi ? Il avait un soucis avec sa masculinité ou quoi ?

-  T'es un obsédé ? Tu parles tout le temps de ça, va te faire soigner.

-  On a toujours le temps pour un quart d'heure de sexe, ma jolie. Mais avant ça, tu vas vite, allez t'asseoir et m'expliquer ce que tu foutais avec une arme dans les mains.