Revoir Julian?

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Elle: Madame, vous êtes dans un état faible, n'importe quelle chose qui pourrais vous affaiblir, pourrais vous tuer.

Moi: Je vous ai dit que je ressens presque rien!

Elle: D'accord...Il est en opération, rien n' ai promis, il peut mourir d'un moment à l'autre...

Je reste bouche bée, mais pas pour longtemps, je commence à avoir mal à la tête à un point mortel.

Moi en tenant ma tête: Aaaaaah!

Elle: Oh mon dieu!

Moi: Partez pas!!!

Elle: Il faut que je...

Moi: Je blaguais. hahaha...essayai je de mentir

Elle: Oh Ok! Hahaha! J'ai eu peur! Tu vas pouvoir sortir dans 24 heures!
Je m'excuse pour votre...ami.

Puis, elle part. Du moment où elle a franchit cette porte, je pleure à chaude larmes. Je mets une main sur ma bouche pour que personne ne m'entend. Comment est ce que j'ai fais ça? Pourquoi il a fait ça?

Quelque chose m'interrompe de ma profonde réflexion. John...

Lui: Bravo! Tu l'as presque tuer! Noir qui pensait que tu n'étais pas capable!

Il affiche un sourire qui me dégoute et je ne me gêne pas de lui dire ni de le montrer en le fixant.

Moi: Tu me dégoutes. je crache.

Il arête de sourire.

Lui: Je pourrais bien te tuer mais je ne le fais pas, compte toi chanceuse.

Moi: chanceuse? Hahaha! Je dis ironiquement, J'aimerais mieux être sous terre que vivre ici...avec quelqu'un comme...je le regarde de haut en bas, toi.

Il serre ses deux mains tellement fort qu'on voit ses phalanges devenir blanches.

Moi: Allez! Frappe moi! Fait toi plaisir! Ce n'est pas moi qui va mourir avec aucune fierté! Je suis ici et je te dis de me tuer car je vais mourir avec la tête haute! Pas comme toi!

Lui: ARÊTE!!!

Il pars en claquant la porte. Je suis morte de rire, oui, de rire. Regarder la faiblesse des gens. Regarder comment la situation est stupide. Regarder comment tout le monde est aussi égoïste. Ils sont tous aveugles, mais moi, je décide de ne pas l'être, je décide d'ouvrir les yeux comme Julian l'a fait pour moi. Voir comment je suis, un peu chanceuse. Il y a des gens qui veulent qu'une gorgée d'eau pur, des gens qui se bat pour vivre. Pendant que ici, on joue avec la mort. Il y a des gens qui prennent la drogue. Ceux qui tuent tous ceux qu'ils veulent. Ouvre les yeux, soit capable de faire des geste altruiste qui proviennent de ton coeur. Ne sois pas absorber par ta propre obsession. Il y a d'autres gens que toi. On est tous réunis on est tous fait à partir d'os et de chair, blanc, noir, asiatiques, musulmans, chrétiens, hindous, bouddhiste, tout. Mais les gens aiment mieux faire du favoritisme... C'est pour cela que je suis reconnaissantes de ce que j'ai en pensant qu'il y a pire.

L'infirmière m'apporte quelque chose à manger.

Elle: Tenez, vous avez besoin d'aliment nourrissant.

Moi: Les restaurants rapides sont plus nourrissant que qu'est ce que vous donnez.

Je lui cloua le bec et elle reprend ce qu'elle a mis sur la table. Je veux juste sortir d'ici.

Après une heure, l'infirmière revient avec une pizza!

Elle: Comme tu trouves que nos repas ne sont pas nourrissant, je t'ai acheté ça.

Elle me fait un clin d'œil.

Elle: Amies pour ce dernier 24 heures?

Je souris et lui réponde brièvement oui.
Je me sens mal de l'avoir traiter comme ça. Elle est vraiment gentille. Pendant qu'elle rit, et que je mange comme un porc, (car moi je n'ai juste pas le goût de rire) une personne cogne à la porte. Kelly rentre et me saute dessus en oubliant la présence de Léna. Celle ci sort pour nous laisser de l'intimité.

Elle: Tu es passé où?! Petite folle! Je pensais que t'étais morte! Et après je sais que tu es à l'hôpital!

Moi: Kel...

Elle: Avec un gars.

Elle me fait un sourire et un clin d'œil tout en oubliant qu'on est à l'hôpital et ce n'est pas obliger que je connaisse Julian. Je vais lui dire ma façon de penser.

Moi: Kelly! Ce n'est pas...

Elle: C'est quoi son nom?

Je laisse faire...

Moi: Julian.

Elle: Vous vous aimez?

Je n'ai jamais menti à Kelly, mais cette fois ci il le faut. Même, je ne vais pas mentir je vais juste enlever tout les détails. Je ne vais pas quand même lui dire: Non, non, c'est juste qu'il faut que je le tue pour ravoir ma sœur saine et sauve!

Moi: Non, une simple connaissance de mon père.

Son visage s'assombrit. Elle me regarde avec tristesse. Je pense que je ne suis pas la seule à savoir qu'ils sont morts...

Elle: J'ai su pour ton père,ta mère et ta sœur...

Ma sœur?!?

Elle: Je suis là, tes parents ne méritent pas de mourir et je le sais. Les policiers te cherchent pour te demander où ils sont.

Moi: Mais je m'en fous des policiers!
Je ne veux rien dire!

Elle: Mais, je voudrais leurs rendre visite au cimetière.

Moi: Ils ne sont pas dans le cimetière, leurs corps n'ont pas été trouver.

Je mens encore une fois! Je me déteste!

Elle: Mmh...

Elle ne me croit pas, elle me connais assez pour savoir si je mens. Après quelques minutes sans que je parle.

Elle: Tu sais, c'est la première fois que tu me mens.

Je mord ma lèvre.

Moi: Kelly... Je ne peux rien dire! Je m'en veux tellement de t'avoir menti mais ne m'oblige pas de te dire quoi que ce soit...S'il vous plait...

Elle: Ça a rapport avec John, je le sens.

Mon silence lui dicte ma réponse.

Elle: Pourquoi il fait ça...

Ça réponse ne sonnait pas comme une question mais plutôt un supplies.

Moi: Il t'aime et veux prendre sa revanche.

Elle: Je vais aller le voir.

Moi: Non! Je peux mourrir si tu le fais.

Elle: Pourquoi tu pourrais mourrir?

Moi: Kelly...reviens demain avec 8h00, j'ai besoin de rester toute seule.

Elle: D'accord.

Elle me salue, sors de vêtements propre pour moi sur la table et sors. Je ne vais pas rester toute seule. Je vais aller voir Julian. La seule personne que je veux voir c'est lui. Je détache tout les machines relier à mon corps et pour que je passe ni vue ni connu, je mets les vêtements que Kelly m'a laissé.
Je sors de la chambre le plus discrètement possible et va vers la secrétaire.

Moi: Je voudrais savoir ou est Julian Parker.

Elle: Je vais chercher tout de suite.

Elle pianote sur son ordinateur.

Elle: Au deuxième étages au soins intensifs, il vient juste de sortir de l'opération. Vous ne pouvez pas aller le parler mais le voir par la vitrine est permis.

Elle pense que je vais écouter ses consignes, pff.

Moi: Ouais, ouais.

Je cours jusqu'à la salle indiqué. Je le vois. Je mets mes mains sur la vitrine.

-Julian...Non...

Forcé à tuer?Où les histoires vivent. Découvrez maintenant