** Hel ** (Livaï/Levi x OC) 🍋

17.

Dans la forêt qui borde le quartier général du bataillon d'exploration, y été installé différentes silhouettes en bois allant de 5 à 15m de haut. Ces silhouettes avaient toutes la forme humanoïde et étaient pourvues d'une mousse épaisse au niveau de leur nuque.

C'est, ces silhouettes qui aidaient les soldats à s'entraîner pour mettre fin à la vie d'un titan.

Grâce à l'équipement tridimensionnelle, Louise se déplaçait d'arbres en arbres. Usant le moins possible du gaz qui remplissait ses bombonnes. Car oui, Louise avait appris auprès du roublard le plus dangereux des bas-fonds et il lui avait bien évidemment appris à économiser un maximum le gaz. Pour cela, elle utilisait ses jambes et les branches épaisses pour sauter et courir.

Elle allait vite, très vite.

Les membres de l'escouade tactique étaient des plus rapides dans cette exercice. Cela faisait maintenant quelques années qu'ils côtoyaient la mort, ils s'étaient évertués à trouver ensembles les meilleurs moyens de mettre fin au règne de ces infâmes cannibales de plus de 5 mètres de hauteur.

Ils avaient donc pour habitude de finir cette exercices en moins de 20 minutes.

Mais maintenant ils comptaient une personne en plus. Une redoutable soldat, qui avait été entraîné dans un des lieux les plus hostiles d'entre les murs. Elle avait donc pour habitude de se faufiler, de passer, de se ruer dans des lieux étroits et sinueux. Son agilité, en plus de sa rapidité, était déconcertante. Rien n'était fait au hasard, chaque geste était soigneusement exécuté et soigné. Ainsi elle ne perdait pas de temps.

Sans s'en rendre compte les 4 membres de l'escouade du Caporal, s'étaient arrêté sur l'une des branches les plus épaisse d'un arbre et regardait Louise s'exécuter dans une danse macabre. Elle volait, virevoltant, tant tôt très haut tant tôt plus bas, les lames à la mains pour, dans un geste vif et millimétré, couper la mousse rosé d'un titan de bois.

Jamais ils n'avaient vu un spectacle de cette beauté. Elle avait été touchée par la grâce se dit Petra en la regardant se mouvoir. Si seulement, elle ne se doutait pas de comment elle avait été enfant et dans quelles circonstances elle avait grandit. Dans quelles conditions elle avait appris à voler et tuer.

Le bruit métallique des grapins s'accrochant au tronc d'arbre venait de faire sursauter cette dernière. Se retournant vers l'endroit d'où elles provenaient, elle pu voir une silhouette masculine, au trait anguleux et au cheveux de jais, venir dans leur direction à grande vitesse mais surtout avec beaucoup de contrôle.

D'un coup, comme si on venait de lui glisser cette idée par l'oreille. Elle se dit qu'ils se ressemblaient. Louise et Livaï avait ce quelque chose que d'autres n'avait pas. Il se mouvaient avec une telle aisance.

- oï, qu'est ce que vous faites planté là

Alors que personne ne se retourna vers lui, sauf Petra. Il orienta ses yeux vers l'endroit où les leurs se perdaient.
Ainsi il pu voir de ses orbes grises, Louise se déplacer avec grâce et volupté. Elle était rapide, très rapide, elle atteignait chaque point culminant des titans de bois et dans un geste presque invisible elle trancha la nuque de ces derniers.

- elle vient tout juste de réussir son onzième coup. Elle est incroyable.

Souligna Petra. Puis se tournant vers son supérieur elle se risqua à poser une question qui lui brûlé les lèvres.

- il me semble qu'elle n'ait pas fait l'entraînement avec les autres cadets. Savez vous d'où elle a appris à se déplacer avec l'équipement Caporal ?

- comme tu le sais sûrement déjà Rals, elle a grandit dans les bas-fonds et elle y était connu pour des actes de criminalités. C'est dans ce lieu funeste qu'elle a appris à utiliser la tridimensionnalité.

Sans plus de mots il envoya ses grappins vers les arbres lui faisant face, il relâcha la gâchette qui permit au gaz de s'échapper de leur prison et envoya le Caporal dans les airs.

Lui aussi avait un don particulier pour se mouvoir dans cet engin de torture. Usant de l'intégralité de ses muscles, qu'il contractait à son aise. Il avança a une allure qui reduisit en un éclair la distance qui le séparait de Louise.

Plus il avançait, plus il pouvait sentir son corp réagir, il pouvait la détailler et pu voir un des spectacles les plus incroyables. Dans les yeux de Louise, brillaient toutes émotions qu'elle ressentait ici et maintenant.

La nuance qui lui plaisait le plus, n'est sans nul doute le sentiment de liberté. Une nuance qui le toucha particulièrement, car c'est pour celle ci qu'il vivait et se battait chaque jour.

Au fond de ses entrailles, il pouvait ressentir un fourmillement inhabituel, quelques choses qu'il n'avait jamais ressenti jusqu'à cet instant. Ceci le contraria car il avait peur d'être tombé malade.

Tout le monde sait que notre chez caporal est très à cheval sur la propreté et ne supporte pas le plus petit grain de poussière. C'est pourquoi il était vraiment contrarié de ressentir cette chose au fond de son ventre, qui accompagnait une légère chaleure qui remonta le long de ses reins.

- tsss c'est quoi ce bordel.

C'est à cet instant même, qu'il se passa quelques choses qui cloua sur place l'intégralité de l'escouade tactique.

Alors que Livaï était hapé par cet inconfort qui le géné, il ne vit point, le Titan de bois qui venait de se pointer devant lui. En un éclair il jura allègrement, esseya de se contorsionner pour éviter l'impact mais il savait déjà que ce serait un échec.

- putain de merde, fait chier!!

Il se tourna légèrement afin d'amortir l'impact avec son épaule et ferma les yeux.

A une vitesse incroyable et surhumaine, Louise était déjà entre le Caporal et le Titan, car son instinct l'avait poussé à enclencher sa bombe de gaz pour le laisser filer et lui permettre de contre-carré les plans du mal qui guettait Livaï.

Dans un bruit sourd, Livaï fut amortie par le corps de Louise, qui elle se pris de plein fouet son supérieur et le Titan dans le dos. Assommée par ce sauvetage inextremiste, c'est tête la première qu'elle tomba dans le vide, aspirée pas l'attraction terrestre.

Quand Livai compris ce qu'il venait de se passer, il se précipita vers le bas pour la rattraper avant qu'elle ne se fraquasse le crâne sur le sol.

- mais quelle débile cette gamine !

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"La chose la plus lâche que quelqu'un puisse faire est d'abandonner une personne du jour au lendemain sans lui donner d'explication"

1297 mots.

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Hello,
Désolée pour l'attente, en ce moment je suis charrette au taff... 🥵

Biz mes coquillettes.