D'après Ibn Abbâs, lorsque le Messager d'Allah ﷺ accomplit le voyage nocturne, ce dernier sentit une agréable odeur. Il demanda :
« O Jibrîl ! Quelle est cette odeur ? »
Il répondit :
« C'est l'odeur de la coiffeuse de la fille du Pharaon et de ses enfants. Un jour qu'elle la coiffait, le peigne tomba de sa main ; alors elle dit :
« Au nom d'Allah. »
Entendant cela, la fille du Pharaon lui demanda :
« Tu parles de mon père ? »
« Non, rétorqua la coiffeuse. Plutôt de mon Seigneur et du Seigneur de ton père. »
L'enfant demanda :
« Dois-je informer mon père ? »
« Oui » répondit la coiffeuse.
Elle en informa son père qui convoqua la coiffeuse et ses enfants. Elle dit alors à Pharaon :
« J'ai une faveur à te demander. »
« Et quelle est-elle ? » Demanda-t-il.
Elle avança sa requête :
« Que tu réunisse tous mes ossements et ceux de mes enfants et que tu les enterres ensemble. »
Il acquiesça :
« C'est un droit que tu as sur nous. »
Il ordonna que l'on jette ses enfants [dans l'huile bouillante] un par un. Arrivé au dernier, qui était encore un nourrisson, et à qui Allah a donné le droit de pouvoir parler comme un adulte, dit à sa mère :
«Patiente-donc, ô mère ! Car tu es certes sur la verité. »
Puis elle fut jetée avec son enfant à son tour.
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⟬ 𝗥𝗲́𝗰𝗶𝘁 𝗱𝗲𝘀 𝗳𝗲𝗺𝗺𝗲𝘀 𝘃𝗲𝗿𝘁𝘂𝗲𝘂𝘀𝗲𝘀 ⟭
Ficción histórica﷽ 𝖢𝖾𝗌 𝗇𝗈𝖻𝗅𝖾𝗌 𝖿𝖾𝗆𝗆𝖾𝗌 𝗊𝗎𝗂 𝗇𝗈𝗎𝗌 𝗈𝗇𝗍 𝖽𝖾𝗏𝖺𝗇𝖼𝖾́ 𝗌𝗎𝗋 𝗅𝖾 𝗆𝖾́𝗋𝗂𝗍𝖾. 𝖢𝖾𝗅𝗅𝖾𝗌 𝗊𝗎𝗂 𝖽𝖾𝗏𝗋𝖺𝗂𝖾𝗇t 𝖾̂𝗍𝗋𝖾 𝗎𝗇 𝖾𝗑𝖾𝗆𝗉𝗅𝖾 𝗉𝗈𝗎𝗋 𝗇𝗈𝗎𝗌 𝖺𝗎𝗃𝗈𝗎𝗋𝖽'𝗁𝗎𝗂, 𝗆𝖺𝗂𝗌 𝗊𝗎𝖾 𝗆𝖺𝗅𝗁𝖾𝗎𝗋𝖾𝗎𝗌𝖾...