Poly Molly.

Le début.

Il est enfin 19 heures, Je me lève pour regarder mon reflet sur la fenêtre de la salle d'attente , mes cheveux son défait et même mon costume et tout froissé je ne crois pas que j'étais comme ça toute la journée je me dirige vers le bureau de monsieur Rodriguez qui lève toujours les yeux vers la porte avant que j'arrive en entendant le son de mes talents qui s'approche de sa porte , j'arrive il me sourit comme d'habitude.
Des fois j'ai l'impression que j'ai cinquante ans je veux me retrouver.

—Vous n'avez plus besoin de moi monsieur ?
—Non madame Hamilton vous pouvez partir.

Dieu merci , si il m'a dit qu'il avait besoin de quelques choses je suis sûr que j'allai m'évanouir.

Je hoche la tête et je repars pour éteindre mon ordinateur et ranger mon bureau avant de sortir en courant comme un oiseau qui était en cage et qu'il vient d'être libéré, c'est vrai que j'aime mon travail mais je ne vais pas mentir je suis une personne paresseuse.
Je décide de marcher un peu j'aime profiter du coucher de soleil et voir les gens et les maisons , sur tous en plein ville je regarde souvent les fenêtres et dire dans ma tête est ce que les personnes qui habitent dans ses appartements sont heureux, malheureux, est ce que ces baraque sont vide ou est ce qu'ils célèbrent quelques choses ? Est ce qu'il ya une personne avec un coeur brisé qui attend son amoureux comme moi je le fais chaque jour , je pense souvent à ça , c'est logique que des milliers de personnes son comme ça dans tous le monde mais quand tu as le cœur brisé tu as l'impression que tu es la seule personne au monde qui souffre que tu pose toujours la même question « Pourquoi moi ? » alors que tu sais très bien qu'il ne s'agit pas que de toi.
Je marche jusqu'à ce que j'atteins Lincoln avenue où ce trouve mon restaurant préféré je vais bien prendre des chicken nuggets et des frites a Billy's , c'est un de mes restaurants préférés pas parceque leurs bouffe est bonne bien au contraire j'ai pleins de souvenirs où j'étais une personne vivante , j'étais au lycée moi et Nathan ont venions souvent ici avec nos amis , même notre premier baisé était dans les toilettes où il m'a suivi et fermer la porte derrière lui , ma pris de mon cou et ma fais savoir ce qu'une femme désiré voulais dire , je sourie a chaque fois que je pense à ça.
J'arrive devant le restaurant déjà je pousse la porte vers moi mais ça ne s'ouvre pas je ne comprends pas pour quoi , je sais que c'est pas fermé car je vois les gens dedans qui me regardent bizarrement, une jeune fille se dirige vers la porte et l'ouvre pour moi en me souriant ça se voit qu'elle se tenait pour ne pas rigoler.

—Madame vous devriez pousser la porte vers l'intérieur pas l'extérieur.
—je - je m'excuse j'ai oublier peut-être.
—Ce n'est pas grave.

La honte , je ne sais pas encore pourquoi je me met dans des situations pareil je dois vraiment travailler sur moi même.

Je lui sourit et me dirige vers le comptoir pour déposer ma commande, il y avait une queue de six personnes et j'étais là septième , je met mes écouteurs pour faire passer le temps , je retiens mes larmes, a cause de ce qui c'est passer je suis devenue une femme sans caractère a cause de mes problèmes de couple et parceque je me met dans des situations idiotes a chaque fois je ressens que je suis stupide et que je n'es plus de valeur , le temps passe vite et il reste deux personnes avant moi , un long jeune avec un costume, et une vielle femme quand un jeune homme habillé comme un motard avance et ne parle avec personnes mais appelle directement la serveuse qui tenait le comptoir, je ne pouvais pas me contrôler ,  je me dirige vers lui et je le retiens par l'avant bras pour le faire retourner vers moi « Mais franchement tu n'a pas vue des personnes attendre leurs tour ? Vous croyez que tous est permis franchement.. attendez votre rôle ! »  je lui ait dit en criant sur le jeune homme , tous d'un coup je ressens une main sur mon épaule et une autre qui m'enlève mon écouteurs, je lève la tête doucement je vois  l'homme qui était en premier entrain de lancer sa commande, un homme avec une peau foncé et des yeux bridé Bleu clair , propres , très bien entretenu déjà son odeur inspire la propreté qui me sourit et me dis doucement avec sa voix grave « shhht calme toi , ce n'est pas un problème » puis lève la tête vers le monsieur.

—Excuse la elle portait ses écouteurs elle n'a pas entendue que vous étiez le livreur.

Merci , merci monsieur mais je peu me débrouiller.

J'ai même pas entendue leurs discussions par contre je regardais autour de moi pour voir que les personnes autour de moi me regardais  a travers, je suis devenue toute rouge comme une cerise j'ai même demander des excuses au livreur mais il ne m'a même pas répondu, et il avait raison, je remercie le monsieur qui a pris ma défense et j'attend mon tour , je prend ma commande et je sors en vitesse du restaurant, tous ce que je pensais c'est pourquoi je me fout toujours la honte, je suis sûre que les gens pensent que je suis une malade ou une pauvre débile.

« Madame , madame » je retourne la tête vers la route et je vois une très belle voiture noir , et c'était l'homme qui a pris ma défonce.

Il veut quoi ?

—Oui monsieur vous avez besoin de quelques choses ?
—Non .. je me demandais si je pouvais vous déposer quelques part !
—Merci .. mais je pense que mon mari ne vas pas apprécier ça je vais prendre un taxi.
—Mais .. je vais juste vous déposer ..

Puisque il insiste je hoche la tête du haut en bas comme une petite fille alors il sort en courant pour m'ouvrir la portière arrière et je monte.