AZAYAN: LES LIENS DU NOIR.

[CH.7] « Seul Dieu sait.»

HELLO !! ʚɞ

Vous allez bien les petites princesses/princes ? ^^
Moi ça va grave ! J'essaye d'être productive un maximum malgré ma panoplie d'examens et de contrôles en ce moment...
Mais bon, mon cerveau et ma tête n'est remplie que d'imagination et d'inspiration en ce moment par rapport à l'histoire que c'est difficile de se concentrer ahah !
Bref, je vous souhaite une bonne lecture 📖

AZAYAN.

Nous sommes maintenant à l'intérieur de l'aéroport. Chaque action est automatisée avec une précision et une expertise immense pour ne pas se faire prendre comme des débutants.

L'avion part dans moins de 15 minutes précisément.

Je suis toujours posté derrière Kaeliyra, guettant le moindre mouvement suspect. Tandis qu'elle suit sans broncher, Ali, devant elle, qui se dirige vers l'enregistrement.

La femme derrière le comptoir nous accueille avec ce sourire marketing hypocrite.

Elle prend les faux documents, les faux passeports, les faux billets électroniques, ainsi que les numéros de réservation.

Toujours avec ce faux sourire de merde, elle se penche plus attentivement révélant son décolleté, me jetant des coups d'œil curieux ou " séducteurs ".

Mon visage reste impassible, elle nous fait perdre du temps et je déteste ça, ça commence à me faire fulminer.

La femme fait mine de vérifier attentivement chaque détail, scrutant nos visages pour s'assurer de notre identité. Son regard se pose brièvement sur Ali, puis revient vers moi.

Je vois une lueur passer sous ses yeux lorsqu'elle analyse les documents de Kaeliyra, son regard dévie entre moi et elle. Pour ensuite reporter son attention à l'ordinateur.

Après avoir confirmé nos informations, elle attribue à chacun de nous un siège dans l'avion et imprime nos cartes d'embarquement. Elle me les tend avec précaution frôlant ma main, m'attribuant un large sourire que j'ai envie d'exploser contre le mur.

Je déteste les personnes fausses, hypocrites, et surtout le fait que cette femme ose presque me toucher sans scrupule. Si j'étais pas dans mon élément dissimulé je lui aurais déjà foutu une balle entre les deux yeux.

Il nous reste moins de 10 minutes désormais.

-On y va.

-Elle voulait te bouffer je crois. Rigole Ali.

-Comme toutes les femmes ici, Ali. Dis-je, visionnant le regard des femmes qui s'attardent sur mon physique.

-Ça va les chevilles ?

-Ne sois pas si jaloux mon frère, y'en a pour tout le monde.

J'avance droit devant, toujours en regardant derrière moi, vérifiant si elle ne s'enfuit pas.

Mais non, et ça me surprend presque, elle reste près de nous.

Elle porte une jupe longue et évasée de couleur blanche ornée de détails subtils. La jupe s'arrête juste à la limite de son bassin, dévoilant un t-shirt blanc qui s'arrête légèrement au-dessus de la jupe. Elle porte un chapeau d'été assorti, cachant une perruque blonde très réaliste en dessous, ainsi que des lunettes de soleil.

Sa posture, la façon dont elle marche, son corps qui est objectivement élancé, montre qu'elle fait bien carrière dans ces agences superficielles. Elle attire les regards curieux des hommes et ceux jaloux, des femmes.