Chapitre 13 : Collant et Noir

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Lorsque Harrington est parti de mon bureau je trouve les papiers manquants et je m'empresse de les tamponner. Après avoir fini je fais un peu d'ordre sur mon bureau car je n'aimais pas vraiment comment était placé l'ordinateur et mes caisses de rangements.

Quand arrive le midi je sors dehors pour aller me chercher des pâtes à réchauffer au micro-onde, j'ai horreur du goût qu'elles ont mais c'est un truc qui nourrit et qui me permet de ne pas avoir faim jusqu'au soir.

Après avoir chauffé mon repas dans la petite salle de repos où les messes basses et le critiques sont reines là-bas, je décide d'aller manger dans la pièce où je travail.

J'allume mon ordinateur et je vais dans mes mails, je place certains rendez-vous avec des auteurs qui aimeraient éditer des livres et d'autres choses salaces.

Mais lorsque je vois un mail de monsieur Smith, je deviens rouge pivoine.

L'objet est intitulé « Rapidement »

Son message est clair et dit « Rapidement dans mon bureau, n'oublie pas, j'ai changé ta carte et l'étage est le dernier. »

J'aurais plutôt aimé un mail avec des mots soutenu et structuré venant de lui, mais je suppose que ça doit être un jour sans.

Je me retrouve rapidement à l'entrée de son bureau, devant cette porte. Je toque plusieurs fois avant de recevoir un « entrez ».

J'ouvre la porte et la referme derrière moi, je sais que je vais être punie et ça m'excite autant que ça m'effraie.

-Mademoiselle Brown, mon employée, vous êtes en retard au travail d'heures consécutives car vous étiez épuisé à cause de luxure ? Me demande t'il.

-Oui, monsieur.

-Cela n'est absolument pas tolérable et digne de notre entreprise, asseyez-vous.

J'approche à petit pas et je m'assieds sur une petite chaise mise en face de son bureau, de la il me domine forcément et je n'ose pas le regarder dans les yeux.

-Je pense qu'une petite correction sera nécessaire, ne dites plus un mot.

Je le laisse faire et il se lève de sa chaise, je le vois se déplacer vers moi, mais il pose une cagoule sur ma tête, j'ai du mal à respirer car il y a seulement une ouverture pour la bouche. Je déglutis car j'entends très peu

Sa main frôle ma nuque et me la masse à travers la laine épaisse d'un geste rassurant. Mes pieds tremblent et des fourmis se forment dans le creux de mes reins.

Mon maître me fait lever les mains en l'air et il enlève mon haut avec, d'un geste plus rapide on m'enlève mon jean et je me retrouve debout avec seulement sur moi un string et une cagoule, j'avais oublié le soutien-gorge et je n'avais pas le temps d'aller en chercher un. Il m'enlève la cagoule.

-Je suis fière de toi tu n'as pas beaucoup paniqué, je vais te faire certaines choses que tu vas très peu aimé, c'est normal c'est une punition, mais j'ai besoin de tes safes word afin que tu n'aies rien, si ça va trop loin pour toi tu dis rouge directement.

-Bien monsieur, je suis prête.

Je le vois aller chercher un scotch noir, je suis très curieuse de ce qu'il va faire avec, il se munit aussi d'un ciseau.

Mon maître avance vers moi.

-Tu n'avais pas envie de mettre un soutien-gorge aujourd'hui à ce que je vois.

Il commence a placer le scotch sur ma peau et des petits papillons se forment dans mon ventre, il déroule encore plus le collant et il fait quatre tour en collant toute ma poitrine et il n'hésite pas a serrer afin d'avoir un effet « push-up ».

Je me sens si oppressée, mais j'aime tellement ça. Sa main se presse contre mon bustier et m'insiste à avancer. Nous nous retrouvons en face de son bureau.

-bien pose ton front sur le bureau et étend tes bras dessus bien devant toi.

Je sens le scotch s'enrouler autour de ma nuque puis du haut de mes biceps afin que mes bras soit tellement rapproché de mon cou. Puis je sens deux bracelets se placer sur mes poignets et se fixer à la table par peut-être des mousquetons.

La première partie de mon corps est entièrement à sa merci et j'en dégouline.

Il vient retirer ma culotte et mes fesses sont exposées à lui, il me prend une jambe, l'attache au pied de la table toujours avec son scotch et fait pareil avec l'autre.

-Bonne fille, je ne veux pas t'entendre c'est fois-ci.

Je ne dis rien j'attends et je sens ma mouille couler contre mes cuisses, c'est exaltant.

Il part et reviens, je le sens appliquer une chose froide et peu désagréable sur l'entré de mon anus. Par réflexe je sers les fesses mais une petite fessé me montre que c'est lui qui décide.

-Tu as mis cela dans une limite a ne pas franchir mais vue que tu m'as dit que tu voulais tous essayer j'ai décidé de tester le plug anal ma chère.

Je n'ai pas le temps d'assimiler ce qu'il viens de dire que l'objet est à l'intérieur de moi et ça me fait si mal. Je ne peut pas bouger et pourtant aucuns son ne sort de ma bouche car même si c'est une punition et que je suis censée détester, j'adore.

Il me laisse m'adapter à la chose qui est logé dans mon postérieur et quand je relâche ma pression, il commence à me fesser avec des intensités différentes.

De un cela réanime mes assauts de hier et de deux le plug bouge dans tous les sens que c'est insoutenable.

Ça main s'amuse à frôler mon clitoris. Je ne dois faire aucuns son et je n'en fais aucun, c'est difficile mais j'y arrive.

Il continue d'alterner fesse droite puis gauche, je suis au bout.

-Une mauvaise fille endurante et séduisante, qui ne lâche rien, tu vas me donner du défi pour te faire craqué.

Une fessée plus grosse que les autres arrive en plein milieu et il s'arrête. Je pense que je n'aurais pas tenu encore s'il m'en avait remise une.

Il me détache de tous et me dit :

-Bien, petite fille, maintenant rhabille toi et laisse le scotch autour de ta poitrine ça me fait fantasmer de savoir que t'es seins sont tellement compressés que quand je les enlèverai tu m'aimeras parce que ça te soulagera mais que tu me détestera car ils seront dans ma bouche et tu crieras mon nom.

La seule chose que j'ai fait avant de sortir était de toussoter et de rougir.

Soumets toi à mes désirsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant