Chapitre 17 : Préparation

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Pour mettre fin à ce silence, je décide de me pencher pour l'embrasser mais il me saisit le cou.

Je hoquette, mon regard est dans l'incompréhension.

Sa main se serre autour de mon cou, le stress que je commence à ressentir est intense.

-Tu me fais tourner la tête Emily, Relaxe toi d'accord je ne te ferais rien qui puisse te tuer. Me dit-il.

Il reprend la parole après un petit moment :

-En revanche te nuire et tacher les vices de ta beauté...

Sa main se relâche, lorsqu'il finit ses mots.

Ma respiration reviens à la normale et je respire correctement au bout de plusieurs respirations, j'aimerai tellement l'insulter mais son rang et mon rang me dissuade de suite lorsque mes esprits reviennent à la normale.

Quand je suis reprise de mes émotions, il me tire par la main en direction de ma pièce préférée maintenant.

Nous pénétrons dans cette pièce verte. J'avais déjà oublié comment cette pièce était belle.
Il me déchire les habits rapidement. 

-Hé ! Répondis-je.

-Ne t'inquiète pas on ira te racheter des habits.

Il part en direction de sa vitrine où se trouve des colliers et des chaînes, il s'approche de moi et me pousse pour m'assoir sur le lit.

Il lance le collier qu'il a choisit et la chaîne suit le même chemin sur les draps du lit

Ma main se retrouve suspendue en l'air accrochée à un cadrant du lit et il fait de même avec l'autre.

Ma position est inconfortable je suis mi assise et mi debout sur son lit les mains pendues.

Monsieur Smith reviens avec un large collier qui contient un anneau, il me l'accroche et le sert sans scrupule avant de me l'accrocher au niveau de ma nuque avec ce que je devine être un cadenas. Une longue chaîne viens se glisser entre mes seins. Cette chaîne pend dans l'air avant de frôler mon clitoris déjà en feu.

Il repart de plus belle me laissant en manque, il revient avec un foulard qu'il me pose sur les yeux. Ce foulard est tellement doux, c'est tellement doux, tellement jouissif, tellement calme et tranquille.

Je ne vois plus rien et mon cœur bat plus fort, je met des petits accous avec mon bassin car je n'en peu plus. J'ai seulement besoin de son contact.

Je sens qu'il s'approche de mon sein droit, il le touche, roule mon mamelon entre ses doigts. Des petits gémissements sortent de ma bouche.

Son autre main viens prendre la chaîne qui pend et me tire un coup sec, mon cou suit sa demande mais mes mains m'empêche de bouger.

Je sens le froid de la chaîne contre mon tétons durci par ses assauts. Il la retire sèchement. Une chose tournoie dans l'air, je comprend rapidement que c'est un bout de la chaîne.

Je l'entends approcher la chaîne dangereusement de mon téton, je n'ose pas bouger.

Je hurle de douleurs lorsque je sens cette chaîne qui me frappe fébrilement contre cette zone sensible.

Cela dit il continue à me faire cette étrange sensation que me procure tellement de mal mais tellement de jouissance.

-Ton petit sein est tous rouge maintenant.

Sa phrase me fait instinctivement réagir, c'est fou.

Après cette douce torture il s'attaque à mon deuxième sein et répète de plus belle son opération.

-Vois-tu je fini ce que j'avais envie de te faire à tes pauvre petits mamelons qui me réclament sans cesse d'être touchées et je te punirai ensuite pour tes actes.

Je ne m'étais pas rendue compte qu'il avais arrêter ce qu'il faisait.

-Oui monsieur.

-Tes tétons vont tellement plus pointés que ce qu'ils ne pointaient déjà avant, je vais pouvoir m'amuser avec pendant un long petit moment.

Ma bouche s'ouvre, faites le taire, il n'attise que mon désir en parlant.

Je l'entend partir farfouiller dans ses tiroirs, j'ai tellement envie de lui et pourtant nous n'avons toujours pas eu de rapports sexuels.

Je pourrais au moins me vanter d'avoir pu être contentée sans pour autant avoir eu besoin du sexe d'un homme.

La base de mon sein picote, un coup viens de m'être assené, je ne sais pas de quel ustensil il s'agit mais cette douleur est piquante.

Cette objet fend si vite l'air, il siffle dans l'air.

Il me frape plusieurs fois partout sur mes deux seins, j'ai mal tellement mal.

Alors pourquoi est-ce que ça me fait gémir de plaisir au lieu de douleur ?

Ses coups sont précis et maîtrisés. Tel un peintre avec ses pinceaux.

Il retire mon bandeau, il me montre l'instrument de mes tourment, j'aurai dut m'en douter, rien de mieux qu'une cravache.

Sadiquement il continue ses assauts mais tire ma chaîne vers l'arrière, mes seins sont donc plus en avant que d'habitude.

-Regarde tes seins, tu pointes tellement, tu es plus que sensible et j'aime la couleur qui les bleuissent.

-Oui maître ils, ils sont magnifiques et seulement pour vous ! M'exclamais-je difficilement.

-Maintenant tes seins sont préparés pour ta punition, cela dit il me faut ton accord. Tu es nouvelle dans ce domaine et j'ai vraiment envie de tester ça avec toi mais il faut que tu me répondes honnêtement.

Je crois que je ne l'ai jamais autant entendue parler de ma vie.

-De quoi s'agit-il monsieur ?

-De petites aiguille de piqure que je te les rentrerai partout sur tes jolis seins, mais il me faut ton approbation réel, c'est une pratique très masochiste et très difficile à subir, si tu m'acceptes pas ne t'inquiète pas j'ai d'autres choses en tête.

-Je..je ne sais pas monsieur, je n'ai jamais essayée.

Son pouce caresse mon ventre tendrement.

Je le regarde, je sais très bien qu'il ne voudrais pas me faire souffrir mais de là à le laisser me mettre des aiguilles dans la peau, je ne sais vraiment pas.

-Ne t'en fais pas on a toute la nuit pour que tu me donnes ton accord, mais n'oublie pas que je t'ai préparé les seins alors la douleur sera plus intense.

Je ne sais vraiment pas, et pourtant découvrir ce que serait vraiment du BDSM.

Soumets toi à mes désirsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant