Chapitre 8 : Punition

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PDV Emily

Cela faisait maintenant bien une semaine qu'il ne m'avait pas parler, je lui ai envoyé des messages sur le fait qu'il me manquait mais il n'a répondu que pas des « moi aussi » ou des « je prépare ton arrivée chez moi ».

Mes affaires étaient parties petit à petit car il avait engagé des déménageurs et il m'avait envoyé un message me donnant l'adresse et qu'il m'attendais à 18h00 dans sa maison. J'ai appelé un taxi et je lui ai donné l'adresse.

Sa maison devait se trouver autour de la ville car il m'a fallu un long moment pour arriver chez lui, heureusement que j'étais partie très tôt. Après une bonne heure de trajet, je suis arrivé devant un portail.

Ce portrait était très foncé, j'ai payé cher le taxi et j'ai appuyé sur les touches, le portail c'est ouvert, et une longue allée de gravier c'est présentée devant moi, au fond il y avait un vieux manoir tous rénové et pas une maison.

Un jardin s'étendait sur plusieurs hectares de chaque côtés et plusieurs jardiniers arrosaient des plantes. J'ai marcher longtemps avant d'arriver devant le manoir et de frapper à la porte.

Une vieille dame m'a ouverte et elle m'a fait un grand sourire d'entrer. Le hall était tous rénové mais encore avec une petite touche de vieillesse, ce qui donnait tous son charme à cette endroit.

Un grand escalier était sur ma gauche et le plafond avait été cassé pour faire un maximum de place, en regardant tous cela ma tête a tourner tellement il y avait de choses à regarder.

La femme m'a conduit dans le salon, un grand et beau salon. Elle m'a dit que monsieur Smith ne tarderait pas à arriver.

Ce fut que quelques minutes plus tard que je senti des doigts se poser sur la naissance de mon cou.

-Mademoiselle Brown, bienvenue chez vous.

-Monsieur, n'était ce pas censé être une maison ?

-C'est un manoir mais c'est ma maison.

-Je vois, je tiens à dire que j'adore ce que cette endroit rend c'est beau.

Il a rit.

-Venez je vais vous faire visiter ma demeure.

Je pris sa mains rugueuses et il me fit visiter sa maison, l'étage était encore plus ravissant. Je découvrit ses nombreuses pièces qu'il avait a montrer et toutes étaient plus belles que les précédentes.

Son bureau était noir entièrement noir et j'avais pu apercevoir quelques anneaux un peu partout dans quelques endroits de la pièce.

La pièce qu'il m'a fait voir en dernier était sa salle de jeux, belle et moderne, la couleur qui y régnait était le noir et le vert sapin, ce mélange de couleur était ravisant.

Il y avait des meubles et des étagères rempli d'objets presque inconnus pour la plupart, ainsi que des vitrines où étaient exposées des colliers et des bâillons. Il y avait même un grand lit et en face de ce lit trônait un bureau avec un anneau qui y pendait juste au dessus.

Il y avait aussi une croix de saint André facile à reconnaître et un banc à fessé, et un piloris au fond de la salle.

Je pense que selon lui la pièce n'est pas assez grande car il y a une seconde porte, mon maître m'a dit qu'il se trouvait toutes autre sortes d'objets derrière et une cage et une chaise pour les « vilaines filles »

Ce qui a évidemment fait mouiller ma culotte.

-Maintenant que nous somme ici, je dois régler un petit détail. Ma t'il annoncé.

-Et de quoi s'agit-il monsieur.

-Tu te souviens des 50 dollars dans ma poche.

Je baissa le regard ne sachant que faire puis il me releva la la tête afin que je le regarde dans les yeux.

-Oui, M...maître mais je ne pouvais pas vous laisser payer !

-Je t'avais pourtant interdit, déshabilles-toi et entièrement, si je vois une seule once d'hésitation j'intensifierais ta punition mauvaise fille.

Prise de court je ne répondu pas et sous ses yeux je me déshabille lentement mais sûrement afin d'éviter une punition plus forte.

Après avoir enlevé ma chemise et mon jean je dégrafait mon soutien-gorge et j'enlevais ma culotte, je me retrouve alors nue sous ses beaux yeux, le rouge me monte aux joues.

-Assieds-toi sur le lit et écarte les cuisses, ta nudité est mienne ici et je n'accepterai pas que tu en ai honte.

Je fais ce qu'il me dit et je m'assois, j'écarte doucement mes cuisses et je gémis fortement lorsque ma vulve s'écarte et rentre en contact avec le froid de la pièce.

Il approche dangereusement de moi et il place deux doigts sur ma partie intime, comme si il marquait son territoire. Il les enleva à contre cœur car je le senti. Et il mis ses doigts sur mon sein droit qui durcit rapidement.

Je m'éloigna de lui sans vraiment le faire exprès ce qui me valu une très forte gifle sur mon sein, je cria de douleur mais aussi de plaisir.

-Bien, maintenant écarte ta chatte avec tes doigts et avec ton autre main touche un sein de ton choix.

Je me mis à la tâche, j'étais clairement trempé. Il alla chercher quelques instruments. Il me plaça un petit bouchon sur mon sein libre ou un objet au bout pompait l'air présent entre mon sein de le bouchon. A chaque petites aspirations mon mamelon devin rouge violacé mais il continua afin que la douleur soit presque insupportable.

-N'oublie pas le mot de sécurité ma belle.

Ma belle, j'aime ce surnom.

Après m'avoir bien aspirer le mamelon il m'enleva la main de l'autre et me fit le même supplice qu'à l'autre.

Mes seins étaient dès à présents violets mais ce n'est pas tous il inséra un petit œuf vibrant en moi ce qui me valu des spasmes de plaisir.

Mes mains pendaient sur le lit, j'étais en phase d'enivrements et je ne voyais que lui, seulement lui.

-Monsieur, s'il vous plaît...

Sa main se plaça sur ma bouche, il voulait que le me taise.

Je revins à moi lorsque il enleva les deux bouchons de mes seins et qu'il écrasa une cravache sur chaque mamelons rapidement et fortement ma tête partait en arrière, car je venais de recevoir un orgasme violent de douleur et de plaisir.

-Maître je vais exploser encore.

-Dix coups sur chaque mamelons et dix autres sur ta chatte et vingt sur tes fesses afin de reprendre cinquante, compte, si tu ne compte pas ma belle tu dormiras sans moi ce soir.

-Oui maître.

Il commença ses supplices en commençant pas mes mamelons qu'ils ne rataient pas puis mes fesses, la douleur avait vite changé en plaisir et j'avais du mal à compter mais je comptais.

Il a ensuite frappé sur ma vulve et je cru avaler mon acte de naissance plusieurs fois, je sais qu'il n'utilise pas toute sa force mais mon dieu, je gémi à chaque coups de cravache, je comptais avec difficulté vu mon second orgasme grandissant mais il est hors de question de dormir toute seule.

-Cinquante, m...m...maître, pardon, je vais exploser.

-Explose et ne te retiens surtout pas.

Une explosion me parut directement lorsque la cravache s'abattît cette fois en plein milieux de mon clitoris et qu'il plaça son indexe en moi ou je me senti me contracter sur lui.

Il me retira le petit œuf, puis il me posa un plaid autour de moi et monsieur smith me posa sous les draps où il se joignit à moi et qu'il m'embrassa en ne cessant de répéter qu'il me trouvait incroyable.

-Je voulais que tu dises tes mots de sécurité mais tu n'as pas flanché, petite et perverse soumise que tu es, dors ma belle, ce soir il te faudra reprendre des efforts.

-Merci monsieur Smith, j'ai aimé.

Il m'embrassa tendrement et lui contrairement aux autre il a pensé à mon plaisir et pas au siens et je sais qu'il faut que je lui rende l'appareil.

Soumets toi à mes désirsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant