Chapitre 11 : Vif

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La route fût courte, et heureusement car mes souvenirs sombres avaient commencés à refaire surface.

-Avant toutes choses je tiens à te dire que tu verras plusieurs personnes et peut-être même certaines que tu connaisses, tu n'a pas le droit de leurs parler sans mon autorisation, tu vas sombrer avec moi ce soir.

-Oui, monsieur Smith.

Nous nous dirigeons vers les portes où toute une file de personnes attendent avec deux grands vigiles se tenant devant l'entrée. Nous leurs passons devant et les deux grands hommes saluent Monsieur Smith.

-C'est donc cela d'être riche ? Demandai-je doucement.

-Non, propriétaire de cet endroit.

Je me stoppait net, je venais de comprendre, un endroit où je n'avait pas le droit et comme propriétaire un homme adepte au sexe sadique, un club BDSM.

Il sourit à ma réaction, j'hésita à prendre sa main mais je savais que je n'avais qu'une envie découvrir le club.

Je le suivi et nous arrivâmes dans une grande boite de nuit où plusieurs personnes dansaient et d'autres discutaient avec des personnes à leurs pieds, en position dégradante. La vue de cette humiliation réveilla mes pulsions.

Mais mon maitre ne voulait pas m'emmener ici, nous prîmes un escalier et il y eu une ambiance plus calme au deuxième étage, c'était une énorme pièce avec des personnes faisant tous types d'activités sexuelle différentes.

Un homme vint à notre rencontre et ce fut monsieur Harrigton, lui aussi alors.

-Wayne je vois que tu est bien accompagné de ma secrétaire qui devrait normalement travailler car elle n'a pas vraiment fini ses papiers. Dit mon patron.

-Disons qu'elle les fera à un autre moment. Renchérit Wayne.

Ils se mirent ensuite à rigoler et je ne compris pas pourquoi. Nous sommes allés nous assoir sur un canapé et devant une femme dansait autour d'une barre de pole dance, ses cheveux étaient tiré en un chignon strict. Elle dansait en sous-vêtement et ses jambes nues étaient marqués de marques différentes chacune de couleurs différentes.

-Maeve danse plus sensuellement et met tes marques en évidence. Dit Harrington le sourire au lèvre.

Elle lui sourit et comme il lui avait demandé, elle s'exécuta.

Ils discutèrent longtemps ensembles du travail, je compris seulement que les affaires marchaient et que le club était un bon investissement car les nombre de personnes présente ici ne faisait qu'augmenter de jours en jours.

-Bien James, nous devons vous laissés, j'ai quelques différents à régler avec ta secrétaire.

Nous reprîmes le même escalier et descendirent plus bas que le rez-de-chaussée, il y avait un grand couloirs avec plusieurs portes, nous prîmes celle qui était le plus au fond du long couloir et nous entrâmes dans la pièce.

C'était une superbe salle de bondage un peut comme celle qu'il avait chez-lui, on aurait quand même dit qu'elle contenait plus d'articles.

-Bien, déshabille toi entièrement, on aime me provoquer ? Et encore plus me mentir ? Rajouta-il à la fin de sa phrase.

Je me déshabille, comme il l'a demandé. Il me regarde avec ses yeux glaçant de luxure comme si j'allais être son dîner.

-Mets tes mains sur ton crâne, je ne veux pas qu'elles bougent, et je ne veux rien entendre.

Je fait ce qu'il me dit de faire, son souffle passe dans mon cou et des frissons parcourent mon corps. Il s'en va et me laisse seule dans la pièce.
Je regarde la porte se refermer tandis que je me demande pourquoi est-il parti.

Dans cette salle il y a une horloge. Après plusieurs minutes je me rends compte que la position dans la quelle je me tiens est si difficile. Des larmes sortent des mes yeux, ce n'est pas de la tristesse mais du désespoir, je suis si excitée.

Après vingt bonnes minutes il entre. Monsieur Smith tournoie autour de moi comme si j'étais son sandwich. Il me regarde de bas en haut et son fameux regard de luxure apparaît.

-Bien, c'est bien tu n'as pas essayé de bouger je suis si fière.

Il va ouvrir un petit tiroir ou ce trouve une cravache. Je frissonne d'angoisse. Il doit le remarquer car sa mains arrive rapidement contre ma nuque.

Il m'embrasse tendrement, je résiste à l'envie de ne pas lui parler mais si je parle j'ai peur de ce qui peut advenir de moi.

-Calme. Dit-il dans un ton si inaudible.

Un bandeau que je n'avais pas vu viens se poser sur mes yeux. Mes sens se décuplent et je commence à stresser. Je respire du mieux que je peux.

Mes pensées se bousculent lorsque, soudain un coup vif qui coupe l'air me frappe le ventre. J'ai une sensation de douleur et d'excitation en même temps, je commence à trembloter.

Il s'en aperçoit et le jette contre une petite banquette, je suppose.

Mon dos s'affaisse contre le cuir, une pluie de coup de cravache traverse l'air et atterrit toujours sur mon ventre à de différentes intensités.

Il s'arrête, cela me permet de me remettre de mes émotions mais j'en redemande car mon corps commence à bouger.

-Mauvaise fille, tu en veux, tu va être servie. Me dit-il.

Un coup frappe l'air et atterri sur mon mamelon droit, je ne peux retenir un hurlement, j'ai mal tellement mal que je suis en transe.

Il s'arrête un moment et il reprend sur mon autre sein.

-Ils sont tous rouges, j'ai tellement hâtes que tu les vois.

Il continue ses coups jusqu'à ce qu'il se lasse et qu'il commence à m'embrasser le corps de pleins de baisés, ce ne sont pas des baisés qui veulent dire « je t'aime » ou « je te vénère » mais plus pour me réconforter.

Il me fait me redresser et marcher, il m'enlève ensuite le bandeau.

-Regardes-toi.

Je suis devant un miroir et je m'admire, je vois mes yeux ou tous le maquillage à couler due aux larmes, mais ensuite j'aperçois mes sein et mon ventre de la même couleur qu'une tomate cerise.

Il ricane et m'observe comme si j'étais son moyens de réaliser ses rêves.

Cela dit il commence à glisser ses doigts dangereusement vers une zone sensible...

Soumets toi à mes désirsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant