laisse tomber chapitre 5

11 1 1
                                    

-c'est assez compliqué à tout dévoiler d'un coup, mais bon t'en pis. Est-ce que tu as vus des visions où tu voyais rouge partout autour de toi. Tu ne te sentais pas bien tous les jours, mais tu ne disais rien.
- Oui... pourquoi ?
-ta famille est un cas un peu particulier, nous faisons partie d'un ligné de vampire. Quand deux vampires font un enfant. Il a une chance sur deux que ce soit un humain ou un vampire. Mais, le plus souvent, reste un vampire. Ta sœur, elle a été un cas encore plus particulier, c'était en même temps un vampire et une humaine.
-je ne comprends pas explique plus clairement
-laisse-moi finir s'il te plaît. Bon, je reprends, en fait Ori pouvait vieillir de vieillesse et pouvait tomber malade, pas comme les autres vampires, mais au fond, elle restait vampire. Toi, par exemple, tu es devenue une humaine et dans, c'est cas là, des vampires ont décidé de créer comment un humain pouvaient devenir vampires. Et, puis à la fin, ils sont réussis à trouver. Bien évidemment, au début, ils ont gardé ça secret pour pas que tous les vampires transforme tous les humains en vampires. La plupart du temps, on l'utilise pour des cas comme toi. Mais, pour le faire, il faut avoir l'accord du conseil, car cela reste quand même caché. Je suis désolée de te l'apprendre, mais Summer aussi est un vampire.
-quoi ?!
-c'est lui qui t'a transformé. Puisque c'est le fils d'un des conseillers justement, et ce n'était pas de l'argent que j'ai donné à Summer, ce sont des Lyts de l'argent de vampire plus précisément.

J'avais l'air hypnotisé par ce que ma mère disait, j'avais l'impression d'entendre de la mythologie grecque, mais là, c'était la réalité, je ne ressentais plus rien à part de la peur, je n'arrivais même plus à parler. La seule chose qui me venait a l'esprit, c'était de m'enfuir. Oui, m'enfuir le plus loin possible. Qui suis-je, qui est devenu mes parents, ma famille, l'ami que j'ai aimé, ma sœur. Des vampires non impossible ça n'existe pas. C'est un cauchemar, je vais me réveiller c'est sûr ! Après que mère a fini, je suis partie en courant en claquent la porte, mon téléphone à la main, les écouteurs dans les oreilles. Je courais, courais sans m'arrêter, j'étais angoissée.
Des larmes tombaient de mes yeux et glisser doucement sur mes joues. Tellement de questions restaient bloquées dans ma tête sans partir. Je voulais juste oublier. Mais, je n'arrivais pas.
Certaines personnes trouveraient ça incroyable, diront que j'ai trop de chance. Mais, ils ne savent pas la douleur dans moi, dans mon cœur. Non mais sérieux, on est où dans un conte de fée. Je suis arrivé dans un Parc ou souvent, je faisais des pique-niques avec Sofia. Les souvenirs refaisaient sur face. Après être partie de chez moi. Je ne voulais pas revenir. Entré chez moi et dire salut, je suis rentrée...
Non sans façon, merci. Tiens ça fait longtemps que je ne suis pas allée chez Sofia puisque je n'ai pas envie de rentrer chez moi, autant lui rendre visite.
J'ouvris la porte du café à quelques rues de chez Sofia pour lui prendre son gâteau favori. En entrant, j'ai eu une hésitation, comme un mauvais présage ou une sensation particulière. À l'intérieur, il n'y avait qu'un homme et un boulanger. Je regardais l'homme avec précaution. Je ne comprenais pas, je n'arrivais pas à dépasser la porte, il avait une aura menaçante, mais le boulanger n'avait pas l'air de la ressentir. L'homme a fini par partir je ne sais pas, un vampire peut-être. J'en ai marre de cette histoire. Je l'ai regardée sans y aller. Et, j'ai pu rentrer avec une allure convenable dans la boulangerie j'enlève mes écouteurs de mes oreilles. En avançant vers le comptoir
- bonjour une tartelette à la fraise s'il vous plaît
- très bien
-merci au revoir
- bonne journée
Je ferma la porte et me dirigea vers la rue de chez Sofia. En me replongeant dans mes pensées. Mes cheveux longs volaient dans les airs et le vent rafraîchit l'air chaud.

- laisse tomber -Où les histoires vivent. Découvrez maintenant